Contes Merveilleux

activité. Après avoir pris quelques jours pour observer tant l’équipe que les personnes accueillis, j’ai pris en compte la pathologie de certains et en regard de celle-ci j’ai dirigé mon choix sur un temps d’activité calme. LE CONTE. Si la lecture de contes peut paraitre abstraite j’y associe un temps de paroles pour mesurer la compréhension de chacun, et un temps de coloriage en rapport direct et étroit avec le conte. Après une présentation de la structure je vais présenter le module d’accueil dans

tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin3, ses palefreniers4 étaient ses piqueurs5, le vicaire du village était son grand-aumônier. Ils l'appelaient tous Monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération, et faisait les honneurs de la maison avec une dignité qui la rendait encore plus respectable. Sa fille Cunégonde, âgée de dix-sept

RECHERCHE : DIFFERENCIER LE CONTE, LE ROMAN, ET LE RECIT Définition et présentationLe conte est un récit court (en prose ou en vers), un récit de faits qui pose un regard sur la réalité par le biais du merveilleux ou du fantastique. Le conte est généralement destiné à distraire, à instruire en amusant. Le mérite principal du conte consiste dans la variété et la vérité des peintures, la finesse de la plaisanterie, la vivacité et la convenance du style, le contraste piquant des événements. Dans

sensualité. Pangloss (pan = tout, gloss (γλώσσα) = langue) est assimilé au sorcier ou au sage. Caractéristiques du conte de fées Le conte philosophique commence par « il y avait », ce qui rappelle le « il était une fois » des contes de fées. Thunder-ten-tronckh est un endroit merveilleux où tout est beau. Le château du baron est « le plus beau des châteaux ». Système de surnoms : Candide, Cunégonde, Pangloss. Agressivité du nom « Thunder-ten-tronckh », etc. Critique de la société du 18ème siècle grâce

L’univers présenté dans le chapitre 1 de Candide offre l’image d’un microcosme protégé où tout est pour le mieux, dans une sorte de merveilleux que rendent le ton élogieux, les superlatifs, les hyperboles et les images valorisées. Les formules traditionnelles : l’ouverture du conte par la formule « il y avait » est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des personnages dans des lieux peu précis, à une époque qui relève plutôt de l’intemporalité. Il n’y a ici aucune

LE PERSONNAGE DE LA FEE DANS LES CONTES « LA PRINCESSE PRINTANIERE » ET « LA CHATTE BLANCHE » DE MADAME D’AULNOY Introduction : La fée est un personnage récurrent des contes de fées sans pour autant en être le protagoniste principal. Le mot fée est apparu vers 1140. Il est issu du mot latin fata qui signifie Parques et Destin. Ainsi, il n’est pas rare que le personnage de la fée organise la vie de quelqu’un, décidant de son destin en lui donnant des dons ou en lui jetant un sort. Personnage venu

conte La Belle au bois dormant de Charles Perrault. Ces contes ont une fonction initiale d’instruire le lecteur, cas du Petit Chaperon rouge, où la morale de l’histoire s’adresse principalement à de jeunes filles ou à des enfants, qui devraient rester vigilent et ne pas faire confiance aux inconnus. Cependant il ne faut pas confondre le conte merveilleux aux contes philosophiques, similaire aux contes traditionnelles mais différents car les contes philosophiques cherchent à éveiller l’esprit critique

Le plan du commentaire : I. L’univers du conte A. Les formules traditionnelles du conte B. Les éléments traditionnels du conte C. Une présentation de personnages de contes II. Les « grincements », révélateur de l’ironie du texte A. Les discrètes interventions du narrateur B. Les justifications absurdes révélant l’envers du décor C. Une philosophie qui sonne faux Le commentaire rédigé : Introduction Le texte dont il est ici question est l’incipit de Candide de Voltaire

interroger : Pourquoi et en quoi Diderot effectue-t-il un changement dans le dialogue d’idée ? Nous nous intéresserons particulièrement à ses Contes. La réponse passe alors par l’analyse de sa démarche, relative à la leçon des lumières, par la question du choix de ce genre aux multiples facettes et se termine par l’observation de la forme dialoguée de ses Contes. * Il faut avant tout considérer le fait que Diderot ait une démarche différente de celle qui pousse traditionnellement les philosophes

Guy de Maupassant Comparer la nouvelle au conte | Lecture comparative | Objectifs : - comparer deux textes portant sur le même thème ; - comprendre le motif de la transgression ; - dégager les caractéristiques du réalisme et du merveilleux. Textes supports : La Parure, Guy de Maupassant et Cendrillon, Charles Perrault. Lisez attentivement le conte de Perrault puis répondez aux questions suivantes portant sur les deux textes. 1/ Quel est le thème commun aux deux récits