Contexte Historique Dans Crime Et Châtiment

doué de raison. Il est capable de comprendre un ordre, il est potentiellement un homme libre ; c'est la destinée qui l'a placé dans une condition de servitude. Cependant, il ne faut pas oublier que cette définition d'Aristote répond à une condition historique dans laquelle les hommes ne possédaient pas de technique. Avec les machines la situation est différente. « Si les navettes tissaient d’elles-mêmes,... ni les chefs d’artisans n’auraient besoin d’ouvriers, ni les maîtres d’esclaves ». Dans un monde

prince, il démissionne et ère pendant 14 ans à la recherche d'un souverain capable de l'écouter. En vain, il retourne chez lui pour se consacrer à l'enseignement et à la compilation des textes anciens. La pensée de Confucius se comprend par le contexte de détérioration morale et politique. Confucius veut restaurer l'ordre d'antan, d'avant et s'inscrit dans la continuité d'un ordre famillial, patriarcal et moral. « Je transmets et n'invente rien. A l'Antiquité, va ma confiance et mon attachement »

porte en effet en elle le paradoxe le plus absolu. Objectivement et rationnellement, il semble simple d’énoncer que ce qui est inhumain ne relève pas de l’homme, lui est étranger. Cette affirmation est hors réalité (de par la ténacité des faits historiques immémoriaux) en ce qu’elle confond l’inhumanité avec la non-humanité (qui correspondrait au monde instinctif animal). Si l’on se place sur le plan plus subjectif de l’éthique, des valeurs, de la moralité, tout acte pourrait être qualifié d’inhumain

ne faut pas craindre les dieux. Étant données la nature et l'essence de la divinité, l'homme ne devra redouter de la part de celle-ci aucun mal, ni colère, ni châtiment. Mais il ne pourra non plus en attendre aucun bien, du moins dans l'ordre de ce qu'espère le commun des mortels (miracles, faveurs etc.). On ne doit pas craindre de châtiment après la mort de leur part, puisque pas d'immortalité de l'âme. Or c'est l'argument le plus souvent invoqué pour limiter les plaisirs. On nous dit que ceux qui

constitue en partie. Ainsi, le corps représente le mal pour l’âme : « le mal possède l’homme malgré lui ». Pour Héraclite (545/480 av. JC), le mal contribue à l’harmonie universelle ; pour Démocrite, il est lié au hasard et ne peut faire l’objet de châtiments. La mythologie grecque met aussi en place une forme de « cacogonie » positive. Dans le Protagoras de Platon, on trouve un récit anthropogonique autour des personnages fondateurs que sont les deux frères Epiméthée et Prométhée. Le moins que l’on

pénal. Chapitre II : éléments historiques de la procédure pénale Section 1 : les doctrines fondatrices de la politique criminelle I) césar de Beccaria, père de l’école moderne d’un droit humaniste Italien, En 1764, il publie un livre fondamentale dans l’histoire de la pensée pénale (« du traité des délits et des peines »). C’était un système extrêmement arbitraire (car les infractions n’était pas def de façon précises) et cruelle (car bcp de châtiments corporelle allant jusqu’à la mort)

sont de fortes amendes mais la plupart du temps la peine encourue est la peine capitale. Procédure la plus terrible et elle introduit la rétroactivité de la loi pénale pour la sanction. Cette procédure est donc une arme redoutable. Ex : ex -406 ; contexte : guerre du Péloponnèse, une partie de la flotte athénienne est bloquée dans un port par les Spartiates. Pour dégager cette flotte, les stratèges athéniens montent une opération militaire qui réussit. Mais juste après, grosse tempête et les bateaux

limpide a fait son temps et on se rendra compte en le regardant avec un regard plus critique que les choses ne sont pas aussi évidentes. Dans tous les cas, c’est un personnage qui ne laissera pas indifférent. Il faut faire preuve d’un relativisme historique, pas comme un lecteur de 2008 qui est habitué à toute une série d’images littéraires. Il faut se remettre dans l’esprit d’un lecteur du temps. Par exemple pour le théâtre : c’est l’oeuvre qui a le plus mal vieilli. Incarnation du drame romantique

(article 34 de notre constitution) à la différence de la procédure civile, et elle est mise en œuvre par l’autorité judiciaire qui en vertu de l’article 66 de cette même constitution, est gardienne de la liberté individuelle. Section 2. Approche historique de la procédure pénale et modèles procéduraux Deux modèles procéduraux « modèle accusatoire » et « modèle inquisitoire » se sont succédés dans la construction de la procédure pénale à différentes époques de notre histoire pour aboutir à la mise

approche historique plus que par une étude approfondie des notions et differences qui peuvent naitre des droits et libertésertéertés. Cette notion est en étroite corellation avc l'emergence des Droits de l'Homme. Certe une approche historique complète de ce concept devrait nous conduire a remonter a l'antiquité, la notion de libertés été conciderer par Aristote comme étant la base, le fondement de toute société.Notre objectif doit etre exclusivement ou quasi, juridique. Pour autant le contexte historique