Contexte Social Le Pere Goriot

autour de lui. Dès 18eme- roman mémoire, libertin, épistolaire, [Liaisons Dangereuses] Jacques le fataliste- In medias res- Pas miroir de la société, décousue, projet romanesque , stop avant, la il faut faire réfléchir le lecteur, pas de mise en contexte. Le lecteur s’identifie a lui. I) Le personnage de roman, miroir de la société. A) Le projet des auteurs, de peinture d’une société. – Stendhal – Balzac – Zola (Cf Cours) II. Reflet déformé Le romancier sélectionne les éléments intéressants

réalité Bel-ami de Maupassant 2)Comment la fiction peut-elle nous aider à nous voir autrement ? 3)La fiction peut elle remettre en question notre univers quotidien ? I Introduction : De tous les genres littéraires, le roman est sans contexte celui qui a le plus grand succès auprès de ses lecteurs. Il est un moyen pour le lecteur de s'évader de sa vie de tous les jours et d'ainsi lui permettre de se poser des question et de réfléchir sur lui-même et le monde qui l'entoure, car le romancier

d'être bien « né ». • Ex : Dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, Julien Sorel est représentatif d'une partie de la jeunesse au XIXème ; après la chute de Napoléon 1er, modèle vénéré de beaucoup de jeunes gens nés avec le siècle, la voie de la réussite sociale semble fermée à ceux qui sont de naissance obscure. Faute de pouvoir réussir par les armes, Julien Sorel, fils de paysan, après être devenu précepteur, puis séminariste à Besançon, s'installe à Paris où il découvre l'aristocratie chez le Marquis de

Objet d'étude : Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde. Corpus : Texte A. Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830 Texte B. Balzac, Le père Goriot, 1834 Texte C. Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869 Texte D. Maupassant, Bel-Ami, 1885 Question : Tout en mettant en évidence leurs points communs et leurs différences, montrez comment ces quatre documents transmettent, au travers du héros, une vision de l'homme et du monde. *** Ce corpus est constitué de

1 ) Tout personnage appartient à une classe sociale. Un personnage est souvent caractérisé par des signes selon la classe sociale à laquelle il appartient. C’est signes sont par exemple : la façon de parler ou encore de s’habiller. On peut donc dire que le personnage s'inscrit à un milieu sociale bien précis. l'extrait du roman de Madame Bovary de Gustave FLaubert s'agit d'une vieille femme normande paysane qui appartient au tiers état. Cette femme est pauvre, salle et usée par le travail (

Proposition de réponse à la question sur corpus Le discours du père Goriot est une confession, toute entière à la première personne du singulier, et au passé. C’est un discours de forme directe, contenant du récit et de l’analyse. Il contient un assez grand nombre d’exclamations, beaucoup de phrases courtes juxtaposées les unes aux autres, ce qui montre un certain désordre de la pensée, pourtant organisée autour d’un seul thème, ses filles. Le lexique important des sentiments laisse paraître la

romantisme, le réalisme et le naturalisme apparaissent comme nouveaux courant littéraire. Ce siècle est souvent surnommé « le siècle des Lumières » Ces passages mettent en scène des personnages qui atteignent une certaine réussite sociale, ils sont tirés du : Père Goriot, de Balzac (roman réaliste), Le Rouge et le Noir, de Stendhal (romantique et réaliste), L’Éducation sentimentale, de Gustave Flaubert (romantique et réaliste), La Curée, de Émile Zola (naturaliste), Bel-ami, de Maupassant (naturaliste)

riches, émouvantes. Mélange d’histoire, fantaisie, problèmes sociaux et moraux Cadre: historique( plus ou moins correspondant à la réalité)Le “passé collectif Éléments utilisés: mémoires, historiographie Conditions pour ce type de roman: dynamisme de l’action, ton familier, littérature de faits, de sentiments, de passions Initiateur: Walter Scott Romancier: conteur, historien, critique Exemples: Dumas père “Le Comte de Monte Christo”, Hugo “Les Misérables”, Balzac “La

L’ARRIVISTE : EMBLÈME DU DÉPLACEMENT DANS LE ROMAN RÉALISTE FRANÇAIS DES ANNÉES 1830–1895. ESQUISSE A b s t r a i t. L’arriviste est l’exemple type de l’enfant du XIXe siècle. Il naît à cette époque-là, grâce aux bouleversements historiques et sociaux que sont la Révolution française, l’épopée na- poléonienne, mais aussi la révolution industrielle. Ces événements donnent aux jeunes gens de ce siècle de grandes opportunités et, surtout, stimulent leur imagination en éveillant en eux des am- bitions

etc.), des théoriciens du roman (parmi lesquels Ph. Hamon, V. Jouve et L. Quéffelec) mais aussi des penseurs contemporains (J. Rancière, T. Pavel, Deleuze ou A. Birnbaum). Comme le précise l’auteur, « La Fausse Maîtresse, Le Colonel Chabert et Le Père Goriot seront particulièrement sollicités » (p. 17) du fait de leurs galeries de portraits, sans qu’ils ne constituent pour autant le corpus exclusif de cette étude. La démarche adoptée par J.D. Ebguy repose sur deux questions principales : comment l’héroïsation