Contracyclique

ratio de liquidité à long terme (NSFR) Renforcer les exigences en fonds propres pour les expositions entre institutions financières Maîtriser l’effet de levier Intégrer des matelas de sécurité (coussin de conservation, coussin contracyclique) Envisager une surcharge en capital pour les institutions systémiques 4 | Bâle III Bâle III | 5 3. Principales mesures 3.1 Amélioration de la qualité des fonds propres 3.2 Renforcement du niveau des fonds propres Bâle

sera supérieur à la conso qu’il faisait avant avec le même salaire. | |friedman (Milton) | |S’est opposé à l’idée qu’il fut possible de mener une politique de stabilisation contracyclique active. | | | |Définit le concept de « revenu permanent ». Un ménage va définir son niveau de consommation en fonction

Keynésienne indique que l'effet de relance sera plus fort avec une hausse des dépenses publics. Question 8 : Les stabilisateur automatique sont les mécanismes par lesquels le solde budgétaire joue un rôle de stabilisation de la conjoncture (action contracyclique) de manière spontané et automatique. En effet, en période de récession les dépenses augmente et les recettes fiscales diminuent mécaniquement d'où l'apparition d'un déficit budgétaire. Inversement en période de croissance, les recettes fiscales

 donc la production.  3. Les I publics jouent également un rôle particulier du fait des externalités positives qu'ils engendrent et qui  ont  eux  aussi  des  effets  quantitatifs  et  qualitatifs.  En  outre,  que  ces  I  peuvent  aussi  jouer  un  rôle  contracyclique face à un ralentissement économique  momentané (cf. Keynes).    B) Sans investissements, il ne peut y avoir ni progrès technique, ni croissance  Faute d’I, la production ne peut croître ni en volume, ni en qualité.  1.  On  ne  peut  accroître 

modifications car des investissements publics coûteux sont nécessaires pour soutenir la croissance ainsi certaines dépenses ne sont plus comptabilisés. Enfin, vu la récession qui se profile, les déficits budgétaires devraient se creuser et jouer leur rôle contracyclique dans les mois et les années qui viennent. Les enjeux nouveaux en termes de coordination et de redéfinition des politiques structurelles a) Les difficultés de coordination des politiques économiques Des difficultés sont apparues à plusieurs

charges de la dette = solde observé   Lors que le solde se dégrade il y a deux possibilités : -         soit elle laisse filer le déficit pour éviter l'ampleur de la crise. Mais cela va conduire à un gonflement des dépenses publiques : politique contracyclique. -         Soit les autorités refusent de laisser filer le déficit et essaie de retrouver l'équilibre au risque de l'aggraver la récession. La justification de ces politiques et d'éviter l'effet d'éviction des taux d'intérêt. On parle alors de

donc une compression de la demande globale à laquelle les autorités peuvent réagir en menant une politique à contre- courant. La politique monétaire est ainsi souvent désignée comme l’instrument countracyclique par excellence. Cette démarche contracyclique vise l’expansion de la pro- duction (et de l’emploi), mais elle entraîne un gonflement de la masse monétaire et, partant, une hausse des prix. Lorsque la production s’approche de la pleine capacité, toute augmenta- tion de la demande renchérit

politique mixte), les pouvoirs publics disposent de deux éléments majeurs pour lutter contre les effets d’une crise à savoir : la politique monétaire, la politique budgétaire. Ces deux éléments leur permettent d’engager des politiques contracycliques (de lutte contre les cycles) en fonction des circonstances. La politique monétaire qui consiste à jouer sur les taux d’intérêts est intéressante pour juguler l’inflation et elle pourra accompagner une relance par des taux d’intérêt faibles

économiques. C’est cette fonction qui avait manqué dans les années 1930 dans la plupart des pays industrialisés et qui explique l’enlisement au cours de cette période. On dit alors que l’Etat mène, dans une perspective très keynésienne, une politique contracyclique, c’est-à-dire qui va toujours à l’encontre des dynamiques que la sphère privée donne au cycle. Durant les Trente Glorieuses, on dénombre 4 grands cycles : La période 1945-1951, qui marque la période de reconstruction et de redémarrage de l’économie

de la consommation globale (Keynes) puisque la redistribution est horizontale donc à destination des ménages à la propension marginale à consommer la plus élevée. - rôle de stabilisateur automatique joué par la redistribution qui a un rôle contracyclique. Elle permet à la consommation de ne pas chuter en période de crise. Inconvénients - Désincitation au travail et à la production : trop d’impôts tue l’impôt (courbe de Laffer) - Incitation à la paresse, à l’oisiveté ou à prolonger la