Contradiction

BRUN janvier 2010 30 Les attitudes d’attaque dans la vie quotidienne L’autocrate (position hiérarchique  dominante) Obtient le consentement  par la terreur, pièges et disgrâces.  L’insurgé: dénonce tout ( c’est un piège!)  Esprit de contradiction: tout échange  est l’occasion de s’opposer ou s’imposer  La personne qui sabote  La personne redresseuse de torts  La personne mielleuse: trop polie pour être honnête, cache mal une agressivité prête à sortir  La personne sourde aux opinions

l’ « antithèse », comme l’on dit ordinairement) jusqu’à ce qu’elles aboutissent respectivement à une impasse, c’est-à-dire au constat de leur inconsistance ; -          enfin, tenter de surmonter et de résoudre, en construisant un dernier développement, la contradiction obtenue par les deux thèses opposées et soutenues dans les deux premiers développements (thèse et antithèse).   La dissertation comprend donc, impérativement, plusieurs mouvements : une introduction, des développements (deux, trois ou quatre)

leur subversion, les ressorts essentiels de la logique. La logique traditionnelle, sous la diversité des types de raisonnement, repose sur trois grands principes: d’identité, de contradiction, du tiers exclu. Le principe d’identité postule qu’un jugement vrai reste toujours vrai. Le principe de contradiction implique que deux idées contradictoires ne puissent être vraies ensembles. Le principe du tiers exclu – utilisé en mathématiques dans le raisonnement par absurde – établit que dans

que nous écrivons, dans l’autre notre histoire ne serait qu’un jouet de déterminants qui nous dépassent. » Aussi, bien qu’elle nous soit propre, notre histoire ne nous appartiendrait pas. Comment expliquer ce paradoxe ? (§3 : Présentation de la contradiction + Question problématique).

double argument : 1°) argument par définition, mais par non-définition d’une part, 2°) argument d’autorité d’autre part, même si cela reste sousentendu, car il s’agit d’un souvenir des Lettres de Lucilius. - On dirait même que par esprit de contradiction, Montaigne rejette précisément les livres. Alors que les livres, depuis l’invention de l’imprimerie, sont pour les Humanistes un bon moyen de se cultiver et de se renseigner sur l’homme. EX : « Ce qu’on sait droitement, on en dispose, sans regarder

définitions puis nous allons vous détailler leurs fonctions. 1. Les fonctions du rire Fonction sociale : permet de créer de lien avec d’autres individus ou de maintenir une cohésion de groupe Fonction subversive : il fait apparaitre un esprit de contradiction Fonction politique : permet de secouer les institutions en pratiquant la critique des puissances politique Fonction épistémologique : l’humour nous permet de nous remettre en question, de prendre du recul face_à l’évènement Fonctionphysiologique :

sévère. Renvoi à un personnage sombre, comme dans le roman gothique. Idée que les personnages ne peuvent plus parler registre morbide. A l’opposé, le colonel donne une explication inverse. Il présente le personnage comme un ami cher et fidèle. Contradiction qui laisse un flou important autour de ces deux personnages. On a ici deux coups de théâtre fantastique, et l’entrée d’un personnage en apparence ambiguë. En plus d’être un personnage du récit, c’est aussi un parasite dans le récit. Il force

président dois répéter régulièrement. On observe d’ailleurs une construction ternaire, très rhétorique de son discours : 3 vertus, 3victimes, 3 calamités. Mais l’anaphore de l’impératif "ne m’interromps pas" souligne l’inconsistance du président : contradiction absolue entre les deux arguments "surtout pour dire la même chose" "surtout pour me contredire". L’évolution du dialogue : le ton du président monte jusqu’au "Tais toi, Agathe !", ce qui contrasta avec le retour du terme affectueux "chéri"

meurs … et tu perdras bientôt ce malheureux maître" pour qu'A ait la mort d'I sur la conscience · arguments d'autorité amenant une punition des dieux et la réprobation de son père (18-24) aussi une menace · argument mettant en évidence une contradiction du comportement d'A "tu dis que tu m'aimes et tu me fais milles injures" II Arlequin se défend des accusations d'Iphicrate · tourne en dérision le caractère hyperbolique des menaces d'I "je te défend de mourir par malice, par maladie, passe

grandeur) « La grandeur de l’Homme est grande en ce qu’il se connaît misérable » Pascal. V- Peut-on dire que les pensées dressent un portrait du XVII siècle ? VI- L’aspect dialogique dans les pensées. VII- Peut-on dire que Pascal a un esprit de contradiction ? VIII- Quelle importance accorder à la figure du roi ? IX- Quelle image de la justice nous propose-t-il ? X- Que dire du style Pascalien ? XI- Qu’est-ce que le bonheur pour Pascal ?