Contraintes Et Libertés Du Poete

habile À ces travaux qui font les jours émerveillés Et que l’on vient de loin saluer dans sa ville Paris, mon cœur, trois ans vainement fusillé ! Heureuse et forte enfin qui portez pour écharpe Cet arc-en-ciel témoin qu’il ne tonnera plus, Liberté dont frémit le silence des harpes, Ma France d’au-delà le déluge, salut ! Louis Aragon, Le Musée Grévin, 1943 CONTEXTE HISTORIQUE I) La résistance sous l'occupation en France Le 18 juin 1940, le général De Gaulle lance un appel à la résistance

jeunes gens comme A. Breton ou P. Soupault qui sont des étudiants en médecine, se retrouvent infirmiers sur le front pendant la guerre et ils voient les horreurs et les massacres de celle‐ci se qui va provoquer un certain rejet de la raison et de la liberté de leur part. Le surréalisme est donc une chose qui est « au-delà du réel » et de l’imaginaire. Dada Le Mouvement «Dada », aussi dit Dadaïsme est un courant intellectuel, littéraire et artistique né en février 1916 à Zurich (en Suisse) lors de

poètes pour déclarer leur flamme à la femme qu’ils aiment. C’est le cas dans ce poème intitulé "La maison d’Hélène" écrit par René-Guy Cadou entre 1944 et 1951 dans Hélène ou le Règne végétal. Ainsi il est dédié à Hélène, sa femme, qui fût également poète. Il est construit autour du thème de la nature, transformant la maison en paradis et montrant clairement la vision du bonheur selon Cadou. Lecture Annonce des axes Etude I - La Nature 1 - Présence de la nature Champ lexical des animaux

| |Enfance, |Paul est le fils de Clément Grindel, comptable, et Jeanne, couturière. Atteint de tuberculose à l’âge de dix-sept ans, après une enfance | |Etudes |heureuse, il est contraint d’interrompre ses études. A un sanatorium en Suisse, il rencontre une jeune russe Helena Diakonova qu’il | | |surnomme Gala et dont il tombe amoureux, Eugène écrit ses premiers poèmes.

laquelle s'affrontent les 2 sensibilités du poète: la tendance à la mélancolie et l'aspiration (désir) vers l'Idéal. Ce poème se place du côté de l'Idéal. Le poème adressé à Marie Daubrun (jeune actrice qu’il aima), dans lequel Baudelaire l'invite à imaginer avec lui un pays parfait, où ils pourraient vivre un amour à la fois sensuel et spirituel. On étudiera d'abord la présence de la femme dans ce poème, notamment la relation privilégiée que le poète instaure entre la femme et le paysage évoqué

de mise en scène est encore inexistant. On ne parle pas de metteur en scène au sens propre comme aujourd'hui. C'est généralement le chef de troupe, si il y en a un, qui endosse ce rôle là. On ne parle donc pas de metteur en scène mais d'auteur, de poète, qui écrivent une œuvre qui par la suite va être jouer par une troupe. Les auteur n'ont aucun droit sur l'oeuvre écrite, une fois remise aux comédiens. Lorsqu'elle est donnée, c'est la troupe qui prend la suite. Les acteurs ont mauvaise réputation

La Liberté par la poésie Sommaire -Préface p1-2 16eme siècle -tableau «  liberté » d’Alain Gaudin p3 -poème « J'aime la liberté, et languis en service » de Joachim Du Bellay p4 -tableau « Vue de la cellule du baron de Besenval à la prison du hâtelet » de Hubert Robert p5 -poème « Douce Liberté désirée » de Philippe Desportes p6 19eme siècle -peinture « liberté » artiste inconnu p7 -poème « liberté ! » de Victor Hugo p8

Lorsqu’il écrit de la poésie, le poète insiste sur la forme du message elle-même : la poésie importe par son sens, certes, mais avant tout par sa forme.Car en fait, le genre poétique a cela comme spécificité qu’il met en œuvre le langage pour lui-même. Le poème, c’est un peu un jeu du langage, un jeu en liberté : jeu de rythmes, jeux de mots, jeux de sons, etc. Le langage poétique dispose de caractéristiques qui expliquent son statut particulier : il repose sur des contraintes formelles qui sont variables

féminité et un «je » qui est le poète. Le personnage féminin est assez mystérieux. Il n'est pas nommé, simplement désigné par le pronom personnel. Elle est à peine décrite : deux traits la caractérisent : la beauté (« comme une fée ») et son aspect négligé (« Elle est déchaussée et pieds nus »). Le poème insiste sur ses pieds nus qui permettent d'érotiser la scène. Le personnage masculin quant à lui est d'abord évoqué par le pronom personnel "moi". Il s'agit du poète. Il est, comme souvent dans les

comme boursier à l'école supérieure Colbert. Il obtient en 1912 son brevet et en juillet part se reposer, sa santé apparaissant fragile, avec sa mère, à Glion, en Suisse. Une grave crise hémoptysique l'oblige à prolonger son séjour et il est alors contraint, à l'âge de seize ans, d'interrompre ses études, car il est atteint detuberculose. Il reste hospitalisé jusqu'en février 1914 au sanatorium de Clavadel, près de Davos[5]. Il y rencontre une jeune russe de son âge en exil Helena Diakonova qu'il surnomme