Contraintes Vision 2020 Tourisme

agricole commune), d’autant que le mécanisme de subventions est mis en cause par l’OMC. Enfin, le domaine des services est lui aussi performant. Ils emploient 70% des salariés et assurent 70% du PNB. L’UE est le premier pôle touristique mondial. Le tourisme fournit beaucoup d'emplois et de revenus. Il représente 10 % des emplois en Espagne par exemple. Les banques, les assurances, les cabinets de conseil connaissent une forte croissance dans un contexte de MONDIALISATION. S’y ajoutent les chaînes de

environ 15% de la hausse du BIP40 depuis 2002. 7 On considère ici les T.I.C. dans leurs deux aspects : Information et Communication (on pourrait dire l’aspect numérisation et l’aspect réseau, ou encore l’aspect Informatique et l’aspect Internet). 8 SMART 2020 « Enabling the low carbon economy in the information age », rapport publié en 2008 par le Climate Group dans le cadre de la GeSI (Global e-Sustainability Initiative http://www.smart2020.org/ cinq majuscules du sigle SMART correspondent à standardizing

quatre zones. Staline va poser son goût rapidement, c'est le début de la Guerre Froide, notamment à Berlin avec le blocus aérien, auquel s'opposeront les EU avec un pont aérien. Les Russes construiront le mur de Berlin, le mur de la honte. Deux visions opposées planent sur l'Europe. Le discours de Zürich prononcé par Winston Churchill à la jeunesse européenne; pour la première fois, il parle de réconciliation. Il propose la création des Etats-Unis d'Europe. Cela montre les mouvements fédéralistes

mars 2007, les 27 Chefs d’État et de gouvernement de l’Union Européenne se sont engagés lors du sommet de Bruxelles sur des objectifs à l’horizon de 2020 appelés « 3 fois 20% »[3] : - Réduction de 20% des émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990 - Réduction de 20% de la consommation d’énergie par rapport au tendanciel à 2020 - Augmentation à hauteur de 20% de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique Le Protocole de Kyoto s’inscrit de la même

économiques Le conflit du Sahara : prétexte historique à un déficit démocratique ? 2006 : Un contexte plus favorable à l’intégration régionale ? II - Algérie et les relations intermaghrébines : Intégration ou rivalités ? L’intégration régionale : une contrainte extérieure ? Algérie / Libye : un avenir non complémentaire ? III - Analyse des données Intégration régionale et mondialisation Le blocage de l’UMA : le Sahara Occidental La démocratie comme voie de sortie : la création d’un parlement maghrébin

économique des “ trente glorieuses ” et sa poursuite dans des périodes d’incertitude économique plus grande (chocs pétroliers de 1973 et 1981 notamment), l’urbanisation massive, la création des grandes infrastructures dans l’énergie, les transports, le tourisme, la croissance considérable de la consommation finale et l’accumulation de capital en Europe occidentale, l’amélioration de la qualité de la vie pour le plus grand nombre ont été sources de transformations profondes. Ces trente années ont aussi été

écologistes et économistes ont tenté d’évaluer la « capacité de charge » de notre planète et de déterminer un « optimum de population » pour enrayer la « surpopulation », désamorcer « la bombe à retardement »… de « l’explosion démographique ». Certes cette vision catastrophiste a été par la suite nuancée, mais elle semble refaire surface pour qualifier la brutale entrée de l’Afrique dans la transition démographique. Les tenants de cette théorie estiment que la hausse de la population entraîne la raréfaction

siècle� Ayant rompu avec les convulsions politiques et les crises à répétition qui entravaient son décollage, la région connaît une phase d’embellie inédite dans son histoire et a désormais beaucoup d’atouts pour prendre en main son destin dans une vision du développement économique et social en résonance avec les aspirations de sociétés aujourd’hui acteurs politiques à part entière dans le cadre démocratique du continent� si les différences de ressources, de niveaux de développement, de systèmes politiques

visant à stimuler la croissance agricole et industrielle, la Côte d’Ivoire s’est dotée d’une stratégie de transformation économique pour faire du pays une économie industrielle d’ici à 2020, l’Ouganda compte accélérer sa transformation socioéconomique grâce au programme Vision 2040, tandis que l’initiative Vision 2020 du Lesotho met le développement industriel en avant. D’autres pays − Afrique du Sud, Égypte, Kenya, Rwanda, Sierra Leone et Zimbabwe, notamment  − ont eux aussi élaboré des plans et des

la société de l’Information, création de richesses et de nouvelles opportunités d’emploi et enfin rayonnement de notre pays au niveau international. La valeur stratégique de ce document se justifie à plusieurs égards. D’abord, on y confirme la vision globale, les recommandations fruits de retour d’expériences, les champs et les leviers d’action qui en découlent, ainsi que les axes capables de développer le secteur. Pragmatique enfin, en incitant les différents acteurs à utiliser au maximum