Contraste

côté droit Introduction Ce poème appartient au recueil Poésie d’Arthur Rimbaud. Ecrit en pleine guerre de la France contre la Prusse, il dénonce les jeunes vie offertes à la guerre. Il se distingue par l’originalité de sa structure et ses contrastes d’ambiance qui se terminent sur une chute brutale A – Une structure originale 1 – Un sonnet, en alexandrins. Des rimes croisées non conventionnelles, et plus nombreuses que dans les sonnets traditionnels (abab, cdcd, eef, ggf). Seul est respecté

comparaison à la métaphore (les fourmis) ou à la synecdoque (carapaces) => Prolongements : action des humains n'est pas traduite syntaxiquement : cloche se mit à sonner, les grandes portes s'ouvrirent, les portes des maisons commencèrent à souffler Un contraste (faiblesse/force) dans le choix des images, l'évolution des procédés (comparaison => métaphore, synecdoque, oxymore) - semblable à un osselet, enfants vêtus de blancs qui portaient des bannières => les bannières blanches, noires comme des fourmis

jamais écrire, de ne délivrer jamais aucune preuve de a défaite » - , Mme de Merteuil écrit deux fois moins que Valmont, mais elle est bien renseignée. Comme dans un opéra, Laclos donne à entendre plusieurs duos : harmonieux : les deux jeunes héros ; contrasté : le libertin et la dévote, dont les partitions se rejoignent comme chez Mozart ; dissonant : les manipulateurs, dont le duo se transforme en duel (« la guerre »). Laclos invente d'autres combinaisons : chaque libertin prend un naïf sous sa protection

l’aristocratie du XVIII siècle. L’auteur se moque de la société de l’époque et cette situation fait rire les gens qui la regardent au XIX siècle. II- Quels sont les procédés qui rendent la pièce comique La situation comique de la pièce vient du contraste entre un timide et un passif Folleville et un marquis au caractère autoritaire et affectueux. Cela donne des répliques un peu hésitantes de la part du premier et des répliques répétitives de la part du marquis. 1.- • procédés de répétition :

La mise en relation de grandeur. De nombreuses illusions produisent une mise en relation de grandeur des éléments de la figure. Il en résulte généralement un effet de contraste : la grandeur apparente des éléments les plus grands est surestimée par comparaison au plus petit et inversement. Le cas le plus évident est sans doute l’illusion de Titchener (à droite). On a cependant invoqué à certains moments le principe d’assimilation suivant lequel, lorsque les différences sont minimes entre les plus

assez familière - Sentiment de se sentir exclus du spectacle - Ils n’ont pas eu le spectacle attendu - Crime bâclé, déjà vue, sans originalité 2) Le procureur royal - Contraste étonnant avec les paysans chasseurs - Contraste avec Langlois de part son physique : plus vieux que Langlois (75 ans) et plus gros que lui. - Contraste entre sa corpulence et sa légèreté aéronautique - Sa rapidité traduit une curiosité (amateur d’âmes) - Il a deviné un tourment secret chez Langlois 3) Langlois - Pas

la couronne, placée en incise, mais surtout la responsabilité de la couronne sur son existence. Sur le plan sémantique, Proust établit tout d’abord un contraste entre « pied » et « dominait » conférant ainsi de la vivacité à l’extrait et créant un effet de surprise, ce qui dirige l’attention du lecteur vers l’étang. Ensuite, Proust crée un contraste entre « artificiel » et « naturelle », affirmant ainsi la domination de la nature sur la création humaine. Cette image s’intensifie par le recours au

pourraient donner l’impression que leur mouvement est celui d’une vague. La mer peut aussi se confondre avec le ciel et les nuages voilent le paysage. CONTRASTES, COULEURS ET LUMIERE On constate, sur la toile, un fort contraste entre le premier plan (le rocher où se tient le personnage) et le second plan (le paysage contemplé). Le contraste se fait au niveau des couleurs et des contours et on peut observer une opposition entre le rocher qui occupe le premier plan et le reste du tableau. On voit

historique ou reportage journalistique. Pourtant contraste entre le tire/ date. Condition humaine —> semble être un roman moral. b) 21 mars —> symbolique : date du 1er jour du printemps (symbole du renouveau, ici politique te social) c) minuit et demi. minuit : heure du crime • l’heure donne un caractère dramatique et policier. • heure sombre, « la seule lumière » l.8, « nuit » lignes 19 et 29 accentuent l’idée des ténèbres sombres ainsi que le silence —> contrastes symboliques 2° Le cadre spatial. a) jeu

la jeune fille, associée aux lèvres rouges écarlates permettent d’obtenir un contraste encore plus important avec le fond uni plus foncé,créant alors une illusion d’espace. Sur cette toile, nous pouvons constaté que la fille est vétue d’une veste jaune-marron, et le col blanc éclatant contraste intensément avec lui. Nous pouvons voir également que celle-ci est coiffé d’un turban bleu qui représente un autre contraste par rapport au voile de tissu jaune citron. Il est important de remarquer