Contrat Mensonge

l'erreur peut être utile. Surtout pour ouvrir les yeux sur certaines choses. Tout peut nous rendre mal à l'aise. Un regard, une parole, un geste, un sourire. De multitudes de choses nous angoissent, nous font perdre nos moyens. Parfois, un secret, un mensonge ou tout simplement la vérité peut nous gêner. Seulement, toutes ces petites choses que nous trouvons sûrement inutiles, dans le monde dans lequel nous vivons, on a besoin de ses sensations. Comme nous avons besoin d'un coeur pour vivre. Les sentiments

hyperréalisme qui le fait ressembler à une photographie. INTERPRETATION DE L’OEUVRE L’autodérision Dans ce Triple autoportrait, l’artiste se moque de lui-même en se montrant vieillissant dans une posture peu flatteuse et en mettant en scène le mensonge qui est au coeur de toute représentation de soi. Par ailleurs, les éléments du domaine militaire (aigle, casque), comme dans les portraits des grands généraux, contrastent avec le reste du décor en désordre : poubelle fumante, pinceaux et tube de

Kant une action est bonne et juste si elle est conforme et universalisable. Si on viole ce principe l’action sera mauvaise est injuste. Pour Kant il n’y a donc aucune exception possible à ce qu’il appelle la loi morale. Par exemple pour Kant le mensonge est toujours condamnable car si tout le monde se mettaient à mentir plus personne n’auraient confiance en autrui et les fondements de la société s’effondrés. La morale de Kant est une morale « rigoriste », une morale « principaliste » (l’action

effectivement « Dieu » (l.2) a « récompensé [la] franchise » (l.3) du narrateur, qui affirme aussi que « la vérité […] se venge tôt ou tard ». De plus, il met en opposition le bien et le mal par le biais d'antithèses telles que « la vérité » (l.12) et « des mensonges » (l.13) ; une « fierté sensée » (l.23) opposée à un « orgueil impertinent » (l.24). Enfin le narrateur n'hésite pas à émettre un jugement, comme lorsqu'il évoque une « bonne fin » (l.15) et des « mépris injustes » (l.22), mais aussi à donner des

l'esprit les insidieuses épines de la matière pour mieux le rapprocher de sa véritable essence. Le silence est le prix de l'évolution. Il est l'absence de tout et en même temps le commencement et l'aboutissement du Tout. Il libère la conscience des mensonges de la dualité intellectuelle qui sans cesse oppose les antonymes apparents d'une même vérité, pour nous faire gravir les marches de l'intuition, clef de la vraie connaissance. Le silence est l'absence de sons. Cruel oxymoron que de vouloir le décrire

échappe. [Gustave FLAUBERT] Si tout le monde savait ce que tout le monde dit de tout le monde, personne ne parlerait à personne. [Gabriel Hanotaux] Quand un homme n'a pas peur de coucher avec une femme, c'est qu'il ne l'aime pas. [Jacques Brel] Le mensonge est une carapace qui vous étouffe pour vous détruire. [Vissio Guillaume] Il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites. Marc Levy C'est le propre de l'amour véritable - laisser une

RACINE, Jean. Phèdre, Gallimard, Folio, 1995, 154 pages. 1677 Théatre Résumé C'est une histoire qui se déroule dans un milieu monarchique. Hippolyte, fils de Thésée décide de partir à la recherche de son père disparu depuis environ 6 mois. Entre temps, Phèdre, la belle mère d'Hyppolyte se meur d'un mal secret. Elle finit par avouer à sa servante se qui la déchire. En fait , Phèdre est en amour avec son beau fils. Croyant que son mari, Thésée ne reviendra jamais ..et sous la pression de sa servante

d’une part, elle retarde son aveu pour ménager sa pudeur et les bienséances, d’autre part, elle doit repousser le départ de Dorante qui apporterait un dénouement tragique à leur badinage. Silvia excite d’abord la jalousie de Dorante en entretenant le mensonge de sa rivalité avec Mario. Ensuite, avec mauvaise foi, elle feint d’ignorer les raisons de son départ précipité. Toutefois, son amour-propre qui se dénonce lui même sous la forme d’une dénégation (l. 27 : « je n’ai pas la vanité de m’y arrêter

|Acte II |Personnages présents |Péripéties |Citations | |II,1 |Suzanne, la comtesse |Suzanne révèle à la comtesse les |La comtesse : « Comme tous les | | | |intentions du comte. Allusion au |maris, ma chère ! […] je l’ai | | | |ruban

véritable aliénation serait de s'y opposer. Je me rappelle avoir reproché par-dessus tout au Parti un culte de la falsification et du mensonge. Mais pouvais-je moi-même prétendre détenir la vérité ? La réalité n'est ni extérieure, ni objective, elle existe uniquement dans l'esprit des individus, dans l'esprit du Parti. Peut-on alors qualifier de mensonge un énoncé approuvé unanimement ? La maîtrise de la doublepensée est la plus grande vertu qu'un individu puisse acquérir car seul un esprit