Contre-la-montre

Enfant tenant à la main une grenade factice, New York City, USA (1962) est une célèbre photographie de Diane Arbus. Apres avoir décrit la photographie, on verra comment elle montre son engagement politique et social. La photo montre un jeune garçon, avec la sangle de gauche de son cavalier maladroitement accroché à son épaule, tendu, tenant son bras longs et minces à côté de lui. Serrait dans sa main droite est une grenade jouet, et sa main gauche est tenue dans un geste comme des griffes; expression

[Étude de cas] Le Proche-Orient, la poudrière du monde, p. 16-23 1. Le conflit israélo-arabe : une paix qui s’éloigne ? 2. L’Irak en proie à la guerre 3. Le pétrole et l’eau, enjeux stratégiques Ce qu’il faut savoir du Sujet d’étude Il s’agit de montrer que beaucoup de facteurs font de cette région un lieu stratégique dont les enjeux sont mondiaux. Thème 1 Les relations internationales 15 L’Amérique latine dans les relations internationales depuis 1945 On propose une vue d’ensemble de l’évolution

d'autre genre litteraire, a souvent montré les personnes de pouvoir comme des êtres non soucieux du malheur du peuple. Citons au XVII ème siècle Les fables de La fontaine , au XVIII ème les lettres persannes de Montesquieu ou encore dans les écrits plus contemporains , Caligula d'Albert Camu dans lequel on retrouve une féroce satire des rois tyraniques. Dans l'extrait de Ubu roi de Alfred Jarry publié en 1888, le roi Ubu qui a pris le pouvoir grâce à un complot contre le roi Venceslas, fait régner à

septembre 2001 sur les tours jumelles. Le document huit nous montre que les photos immortalisent des moments qui deviennent rare. Le document neuf montre les dégradations que peut engendrer la nature ou l’homme. Pourquoi la photo est-elle une force ou un danger pour l’humanité ? Notre synthèse se présentera en deux partie, la première sur les forces de la photographie avec trois sous partie qui seront elle certifie le réel, elle lutte contre l’angoisse et l’émotion qu’elle transmet. La deuxième partie

la famille pendant quelques minutes et les plans sur le désert rajoutent ce sentiment d'inconnu quant aux agresseurs. On a l'impression que le désert attaque Mc Bain, que ce sont ses terres, qui sont l'élément déclencheur du film, qui se rebellent contre lui et le tue. Cette scène a un double intérêt; tout d'abord elle présente la trame de l'histoire, c'est l'élément déclencheur qui engendrera les péripéties des personnages principaux. De plus elle a pour but de présenter le méchant de l'histoire:

premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés). « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition mais aussi la montée de la résistance dès 1942 et l’existence de maquis comme celui du Vercors ou celui d’Ecot, dans la région de Montbéliard. Le chant souligne également l’alliance du peuple français contre l’occupant nazi : le terme « ouvriers » montre que les usines sont à la solde des nazis et le terme « paysans », les réquisitions de bétail et de récoltes

l’Allemagne nazie, pendant la Seconde Guerre mondiale. Créées en 1943, les paroles de Joseph Kessel et de Maurice Druon, et la musique est composée par Anna Marley. Message que l’auteur a voulu transmettre : C’est un chant de fraternité, de combat contre les forces de la nuit, un appel intemporel à résister. « Le chant des Partisans » est aussi un appel à la lutte fraternelle pour la liberté (« C’est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères ») et la certitude que le combat n’est jamais

société dans laquelle il vit. S’il s’agit d’une contre-utopie elle va lui montrer les inconvénients de celle-ci et donc le fais réfléchir sur une amélioration de sa condition de vie. Par exemple, Histoire naturelle, civile et politique des Galligènes ou Mémoires de Duncan, (1765) de Charles-François Tiphaigne de La Roche. Ce peuple antipodal tirant son origine des Français, voit progressivement son idéal social se dégrader à la base. Il s’agit d’une contre utopie. Elle confronte le lecteur à une réalité

de la nuit du romancier de l’entre deux guerres, Céline. Ces trois textes évoquent-ils le combat de la même façon ? Dans cet extrait de Gargantua, de registre épique, Rabelais fait une description très détaillée du combat. Ce roman de chevalerie montre le combat comme un événement héroïque, merveilleux : «  les merveilleux voltigements qu’il avait fait ». Pour un chevalier, le combat est un événement qui se passe beaucoup. « Il convient à tous les chevaliers de traiter respectueusement leur bonne

donc de désobéir aux ordres de Balthazar et de rentrer dans son laboratoire. La réaction de son mari est violente, il lui saute dessus et la pousse dans les escaliers. C’est pourquoi nous nous demanderons en quoi cet extrait nous montre-t-il le combat de Joséphine contre la passion de son mari. Pour cela nous verrons premièrement de la ligne 1 à la ligne 20 la mise en place du plan de Joséphine à travers sa volonté grandissante de découvrir les actions de Balthazar. Puis nous étudierons la réalisation