Contre-Réforme

Cet extrait nous renvoie directement au titre de l’œuvre : il symbolise une soumission pieuse et la foi de Doña Prouhèze, cette dernière étant égale à son désir. Doña Prouhèze s’élance vers le mal et voudrait avoir le consentement de la Vierge, ainsi que sa protection. Notre texte est une prière, une invocation à la Vierge : il s’agit d’une litanie. Prouhèze lutte intérieurement, elle agit vis-à-vis de sa conscience : les enjeux sont d’ordre spirituel, ce qui fait de cet extrait un passage clé dans

lequel elle conclut à la nécessaire réduction du nombre des collectivités mais en évitant une suppression pure et simple d’un échelon. Pour réfléchir à cette situation, un comité fut créé avec à sa tête Edouard Balladur. En effet, ce comité pour la réforme des collectivités territoriales a pour mission d’étudier les mesures propres à simplifier les structures des collectivités locales, mais aussi la répartition de leurs compétences et à permettre une meilleure allocation de leurs moyens financiers.

terminerons en décrivant le pouvoir de l'église sur les plans économique et politique. L'église est une institution organisée de manière pyramidale. En haut de cette pyramide se trouve le Pape, qui nomme les évêques à la tête de chaque diocèse. Avant la réforme grégorienne du Xème siècle, ces évêques étaient nommés par le Roi lui même. Chaque diocèse est divisé en paroisses dirigées par un prêtre. Ces évêques est ces prêtres, avec les cardinaux, forment le clergé séculier : ils vivent « dans le siècle »

Au Moyen Âge, la réforme grégorienne est une politique menée sous l'impulsion de la papauté. Si les historiens admettent que le pape Léon IX a commencé le redressement de l'Église, c'est pourtant le pape Grégoire VII qui a laissé son nom à la réforme. De plus, les efforts pour sortir l'Église catholique d'une crise généralisée depuis le Xe siècle se poursuivent bien après le pontificat de Grégoire VII. Ainsi l'expression « réforme grégorienne » peut paraître impropre puisqu'elle ne s'est pas limitée

du 11/09, le conflit Israélo-Palestinien, … Et j’en passe. Plus proche de chez nous en France entre 1562 et 1598 on a dénombré 8 guerres de religions, toutes l’une à la suite de l’autre causées par la simple discorde entre le catholicisme et la Réforme protestante (volonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière). Ces guerres vont durer 36 ans et se termineront par la signature de l’édit de Nantes (30 avril).

rapports entre tous les termes du sujet, ainsi que la ponctuation et les majuscules. Voici quelques exemples : « Les catholiques face à la réforme protestante dans l’Europe du XVI siècle : aspects religieux et politiques. » Il ne faut pas ici déballer une histoire du protestantisme dans l’Europe du XVI siècle, mais étudier les réactions des catholiques face à la réforme. « Face à », qui peut paraître anodin, prend alors tout son sens et est très important pour bien traiter le sujet et ne pas faire du hors

les terres qu’ils reçoivent - Investiture laïque conduit à des abus. Par exemple vente de fonctions de clercs. ==> A partir du XIème siècle : le pape s'impose peu à peu comme le chef de l'Eglise catholique - la réforme grégorienne : le pape Grégoire entreprend en 1054 une réforme: il interdit aux clercs d’être investis par les laïcs sous peine d’excommunication. - Le Pape affirme son pouvoir face à celui des seigneurs : • Il contrôle le clergé grâce à ses envoyés (les légats), convoque des

anciennes (grec, hébreux, latin, chaldéen). -Philologie : étude comparative du même texte dans plusieurs langues afin de trouver le Bon texte, le vrai. But : être éduqué : être humain Erasme : « On ne nait pas homme, on le devient. » III) Réformes et déchirements religieux au XVIe siècle. A) Critiques et propositions des humanistes. Les humanistes critiquaient également le clergé et le fonctionnement de l’église. Simonie : le fait de pouvoir acheter sa charge. Absentéistes Non respect

La démocratie Athénienne : Une démocratie modèle Le régime démocratique Athénien, favorisé au 6eme s av JC par les réformes de Clisthène est le premier à avoir défini le terme de « citoyenneté ». En effet celui-ci est le premier régime politique connu ou le pouvoir est détenu (ou contrôlé) par le peuple sans qu'il y ait de distinctions dues à la naissance, la richesse, la compétence etc. Nous savons qu’à

prône le français comme langue officielle du royaume. Le concile de Trente en 1542 est une réaction à la réforme protestante. Il confirme les sept sacrements ainsi que le culte des saints et des reliques. Il crée également des séminaires diocésains destinés à former les prêtres. L’édit de Nantes signé en 1598 par Henri IV propose l’égalité entre les protestants et les catholiques. La Réforme protestante est une volonté d’un retour aux sources et une révision des bases du christianisme grâce à une