Contre Sainte Beuve Résumé

deuxième prix de vers latins au concours général.Renvoyé du lycée Louis-le-Grand en avril 1839 pour une vétille[7], Baudelaire mène une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa mère et son beau-père. Il passe son Baccalauréat au lycée Saint-Louis en fin d'année et est reçu in extremis. Jugeant la vie de l'adolescent « scandaleuse », son beau-père décide de l'envoyer en voyage vers les Indes, périple qui prend fin prématurément, en 1841, aux îles Mascareignes (Maurice et La Réunion).N°6 rue

ma>> tériaux précieux rapportés par les errants. C'est ainsi qu'au xviii^ et au xix^ siècle, les l'in- fluence coloniale marque fortement produc- tions d'écrivains qui bornèrent leurs excursions à la terrasse de Saint-Germain. Mais, il faut le reconnaître avec Baudelaire (2), ... Les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent partir, Pour cœurs légers ; semblables aux ballons, De leur fatalité jamais ils ne s'écartent

pages de Prosper MÉRIMÉE  ‘’Carmen’’ (1845) pour laquelle on trouve un résumé (page 1) des notes (pages 3-28) puis une analyse comportant l’étude de: - la genèse (pages 29-30) - l’intérêt de l’action (page 30) - l’intérêt littéraire (page 32) - l’intérêt documentaire (page 33) - l’intérêt psychologique (page 35) - l’intérêt philosophique (page 39) - la destinée de l’oeuvre (page 39) Bonne lecture ! Résumé Chapitre 1 : Mérimée relate comment, à l'occasion de recherches menées en

qu’elle démarque, à savoir toute la misère du pauvre monde. Dans l’opposition entre le mot du poème, « l’or », et celui que rétablit le lecteur, « la misère », se devinent le contre-sens du narrateur et ce qu’il convenait sans doute de lire dans les yeux des pauvres : une plainte, un reproche, peut-être même une accusation portée contre le café et ce qu’il représente. De fait, la décoration du café se prête elle-même à une double lecture6. Derrière ce qui est explicitement dénoncé par le narrateur – le

La fable politique, par exemple, est remarquable : Hernani, représentant ce « peuple-océan » qui entraîne tout sur son passage et bouleverse définitivement le vieil ordre, est mis en action sous nos yeux, comme le moteur des générations à venir contre qui personne ne pourra rien. Les métamorphoses des personnages sont d’une théâtralité exceptionnelle et révèlent, dans le tissu même de la fable, que, qui qu’on soit, l’histoire et ses soubresauts nous font vaciller, nous ouvrent des horizons que

monde, à ses injustices et à sa bêtise, a toujours refusé la lâcheté du silence. Enfance et études (1840-1860) Mon père, ce héros Fils de François Zola et d’Emilie-Aurélie Zola (née Aubert), Emile Zola naît le 2 avril 1840 à Paris, au 10 de la rue Saint-Joseph. Cette filiation est importante car ses parents occupent une place centrale dans la vie de Zola. D’origine italienne, le père du jeune Emile est un ingénieur civil vénitien. Il construit des barrages pour fournir les villes en eau et multiplier

consacre très vite à la littérature. En 1828 il est introduit dans le Cénacle Romantique ( réunions d'artistes et de jeunes écrivains romantiques rassemblés autour de Charles Nodier et Victor Hugo, afin d'échanger leurs idées) : il se lie avec Sainte Beuve et Vigny, admire la virtuosité d'Hugo et, par la facilité de son talent devient rapidement l'enfant prodige du Romantisme. Mais ses Contes d'Espagne et d'Italie (1830) révélaient déjà trop de fantaisie railleuse pour ne pas éveiller l'inquiétude

jouera du Molière travesti et agrémenté. La chose, tout explicable qu’elle soit, il en va de même pour la tragédie, n’intéresse pas directement mon propos, il suffit de la signaler : la comédie n’a pas été renouvelée, elle piétine. En opposition, Sainte-Beuve dit de Beaumarchais qu’il donna « une nouvelle forme à l’esprit ». Est-il possible alors de voir en lui un rénovateur de la comédie ?, Peut-on, par la comparaison d’une pièce de Molière, Dom Juan, où le valet tient le rôle important, avec celle

sensation d’inachèvement. To the happy few Stendhal n’a pas été reconnu de son temps, il n’a vendu que quelques exemplaires de De l’Amour (œuvre difficile à lire, mais éclairante en ce qui concerne les relations amoureuses de ses personnages) et Sainte-Beuve n’a vu dans ses personnages que des automates ingénieux. Consolation quand même : son génie a été reconnu par Balzac qui a consacré un bel article à La Chartreuse de Parme. Stendhal est en avance sur son temps : il s’adresse aux happy few. Lui-même

y avoue que c’est sous l’influence de la querelle scientifique entre CUVIER (GEORGES CUVIER – 1769-1832) et GEOFFROY SAINT-HILAIRE ( ÉTIENNE GEOFFROY SAINT-HILAIRE –1772-1844), deux grands savants naturalistes, que l’idée lui est venue de créer une œuvre pareille. Comme cette querelle portait sur la genèse des espèces zoologiques, BALZAC s’est rangé du côté de GEOFFROY SAINT-HILAIRE. Ce dernier a pris pour le point de départ l’idée de l’unuté de composition. Cela veut dire, explique BALZAC