Contrebandier

tous ce temps, les Scorta se marient et fondent de nouvelles lignés. Guiseppe, lui, faisait un travail de contrebandiers. Domenico s'était pris de passion pour les oliviers et Carmela travaillait au tabac. (Domenico et Guiseppe eurent des enfants, mais on ne parlent pas d'eux dans l'histoire). Par contre, Carmela, elle, eu 2 fils, Donato et Elia. Donato fit comme son oncle, il était contrebandiers et Elia travaillait avec sa mère au tabac. Un jour, Domenico fut retrouver mort assis sur une chaise dans

l’aide à s’enfuir. Il se voit par la suite dégradé et puni, mais continue à rechercher Carmen. Il décide après avoir blesser par jalousie un officier de devenir contrebandier et se joint à elle. Il mène une vie dure et contraire à sa morale mais il est pourtant heureux car il pense que Carmen lui appartient totalement. Puis de contrebandier, il devient voleur et brigand pour la satisfaire. Mais Carmen commence à se lasser de son amour et de sa jalousie. Elle a selon la coutume gitane un mari que Don

et en volant. Don José, qui apprend très bien à connaître Carmen dit même qu’«elle a toujours mentie [et qu’il] ne sait pas si dans sa vie cette fille là a jamais dit un mot de vérité» (p.35). Carmen se fait aussi l’organisatrice d’une bande de contrebandiers. Même lorsque Don José lui propose de commencer une nouvelle vie honnête avec lui, elle ne peut accepter. Elle lui répond qu’ « [ils] ne [sont] pas faits pour planter des choux, […que leur] destin, à [eux], c’est de vivre aux dépens des payllos»

animal domestique qui est porté à suivre le loup qui est un personnage qui dirige. Par cette image, on comprend que Don José se range sous la puissance de Carmen. Elle le persuade toujours et il devient contrebandier pour elle (p.45). ) Carmen se fait aussi l’organisatrice d’une bande de contrebandiers. Même lorsque Don José lui propose de commencer une nouvelle vie honnête avec lui, elle ne peut accepter. Elle lui répond qu’ « [ils] ne [sont] pas faits pour planter des choux, […que leur] destin, à

Antonio. Le narrateur va faire la connaissance d'un homme qui est aussi voyageur et étranger se nommant José Navarro et il se rend compte toute suite qu'il s'agit là d'un criminel puisqu'il porte des armes et il conclut qu'il parle et voyage avec le contrebandier Don-José Maria qui est connu et recherché à travers tout le pays. Malgré la présence de ce personnage aventureux, le narrateur décide de se montrer poli et accueillant , il va donc partager avec son hôte un cigare et de la nourriture. Ils partent

phrase « Massaba vivait à un rythme qu’elle n’avait jamais connu » (l.2728) avec l’emploi de la négation « ne … jamais » qui rend le moment unique; utilisation d’une comparaison « C’était comme un grand navire de contrebandiers qui déchargeait sa cargaison » (l.13-14) -> contrebandiers -> idée du secret, de ce qui est fait en cachette - pour caractériser la foule qui s’affaire (le verbe « s’affairer » est employé l.16), des groupes nominaux hyperboliques qui traduisent l’importance de l’événement

l'armement l'alcool le tabac la contrefaçon etc. Les moyens de transport se sont également modernisés : le plus utilisé par les contrebandiers est le hors-bord, en particulier dans le Golfe du Mexique. Mais surtout, les contrebandiers utilisent les avions, que ceux-ci soient commerciaux ou privés. Chaque année, des milliers de contrebandiers sont arrêtés dans les aéroports internationaux. La contrebande est un problème préoccupant. Elle a des retombées négatives sur l’économie et

sourcils sous le bicorne, et ils portent la main à leurs hauts-de-chausses où sont dissimulés vos trésors. Pas un mot n'a été prononcé, et pourtant tout est dit. Je vous avais mis en garde, on ne transforme pas du jour au lendemain des négociants en contrebandiers... Une vie souvent n'y suffit pas. Le chemin inverse est beaucoup plus facile... L'homme, dans la pénombre, manifesta son impatience. — Tout ce que camouflaient les hommes a été découvert, mais tu m'accorderas qu'il y en avait deux fois

Canada, voisin où le marché de l’alcool est légal. Impossible en effet pour les agents de la Prohibition de surveiller toutes les frontières des Etats-Unis (notamment par manque d’argent). Cependant à cause de fouilles tout de même régulières, les contrebandiers on quelques techniques : ils détournent par exemple l’utilisation de l’alcool industriel : indispensable à de nombreuses fabrications, il est abondant (3 millions d’hectolitres produits en 1925). Le permit de retrait et de transport, suffisamment

frère fidèle de Carmela malgré son amour pour elle. Suivant une idée de Carmela, les quatre Scorta s'endettent et décident alors d'ouvrir ensemble le premier bureau de tabac de Montepuccio au début des années 1930. Domenico devient également un contrebandier. Le bureau de tabac fait vivre les Scorta qui petit à petit se marient et fondent de nouvelles lignées. Chacun des trois frères Scorta se diversifie dans un commerce au sein du village où ils sont enfin acceptés. Carmela se retrouve subitement