Contrôle De Conventionnalité Des Lois

décentralisation : l'Etat accepte qu'il existe à côté de lui d'autres personnes juridiques qui vont être les personnes juridiques de droit public qui sont les collectivité territoriales. Ce phénomène de décentralisation date de la fin du 19ème s. par deux lois en 1881 et 1884, leur existence est consacrée dans la constitution à l'article 72 qui disait que dans les conditions prévues par la loi les collectivité territoriales s'administrent librement. Cette décentralisation a été accélérée par deux étapes

crise. Les causes en sont multiples mais peuvent pour l'essentiel être ramenées à une combinaison de deux facteurs : d'une part, le foisonnement des sources de droit, tant internes qu'internationales et européennes, d'autre part, l'accroissement des contrôles de conformité. Au développement de ces phénomènes, le succès de la théorie normativiste a sans doute contribué (5), non sans un certain paradoxe. Cette contribution s'est manifestée à des degrés variables et de manière parfois indirecte.         2

rien à voir avec la justice. ---> Exemple: Règle de circuler à 50 en agglomération. Ce sont des règles autonomes, techniques mais pas justes. → Comment choisir l'intérêt juste ? Comment contrôler afin que la règle soit juste ? La justice : C'est ce qui est positivement juste. C'est ce à quoi chacun peut légitiment prétendre en vertu du Droit. C'est aussi ce qui est idéalement juste. Ce qui est conforme aux exigences, de l'équité et de la

probleme theorique par1: principe de la protection par2: formes de protection 1)controle par un organe politique par nature le controle de constituionnalite comporte un aspect politique dans un systeme e controle exerce par un controle politique les nomination des membres de cet organe sont politiques et par concequent son independance n'est pas assuree. les incertitudes liees a un systeme de controle par un organe politique expliquent sa rarete . on peut citer l'ex en france des scenats

constitutionnelles, au même titre que les lois et les règlements, constituent une source de la légalité il ne pouvait se refuser à les interpréter. La deuxième est d'ordre externe; elle est le résultat d'un choix qui dépasse le droit administratif et qui est en rapport avec la création d'un Conseil constitutionnel chargé du contrôle de la constitutionnalité des projets de lois en 1989. A partir du moment où ce Conseil a été appelé à interpréter les projets de lois portant sur le champ administratif à

Sous la Vème République, des législateurs se sont beaucoup interessés à l'idée que des citoyens puissent mettre en cause la constitutionnalité d'une législation. En effet, avant l'émergence de la « question prioritaire de constitutionnalité », le contrôle de constitutionnalité ne pouvait s'effectuer que par « voie d'action », c'est à dire avant la promulgation de la loi. De plus, la saisine n'était pas ouverte aux justiciables. Or, la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, complétée par la

pouvoir législatif donc au parlement) est la source de la matière pénale ce qui limite naturellement le rôle de la jurisprudence dans la matière pénale. Dans le discours préliminaire au projet de code civil Portalis dit en matière criminelle il faut des lois précise et points de jurisprudence (écrit et discours juridique et politique, presse universitaire ex Marseille 1988), il compare l'office du juge en matière pénale et civile. La loi est la manifestation de la volonté générale qui a le pouvoir de punir

de scrutin , → bloc de conventionnalité La loi: conforme aux traités internationaux mais aussi constitution. Doivent être conforme au contrôle de constitutionnalité à la constitution. C'est un contrôle de constitutionnalité des lois opéré par le conseil constitutionnel opéré par voie d'action c'est à dire qu'il intervient a priori (avant la promulgation de la loi) et abstrait ( ce qui est analysé c'est la lettre de la loi ) → Article 61 de la Constitution. Un contrôle par voie d'exception est

 « La Souveraineté habilite le Parlement à faire les lois qui lui paraissent bonnes sans qu'une Constitution écrite ou la volonté des électeurs, dès lors que celle-ci ne s'exprime pas dans les procédures électorales officielles, puissent l'entraver en quoi que ce soit » a dit Albert Venn Dicey, juriste et constitutionnaliste anglais. En effet, la souveraineté est le principe de l'autorité suprême et c'est le droit absolu d'exercer une autorité politique sur une zone géographique donnée. Et, selon

notion de régime parlementaire, et ne pas oublier le « aujourd'hui ». Eléments pour l’introduction – au départ Angleterre = modèle du régime parlementaire. – cependant a beaucoup évolué; déjà, contraste entre la situation décrite par Montesquieu (contrôle réciproque du Roi et du Parlement, avec priorité du premier) et le régime parlementaire au sens moderne qui s’établit au cours du 18e et qui est un régime parlementaire dualiste (gvt responsable à la fois devant le Roi mais surtt devant le Parlement)