Convergence Mercantilisme

DES NATIONS, 1776) Toute l’analyse d’Adam Smith relative au commerce international dans An Inquiry into the Nature and Causes of Wealth of Nations porte sur la refutation des thèses mercantilistes. Il y consacre plus de cent pages. Preuve que le mercantilisme tenait encore le haut du pavé dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Dans la littérature économique, A. Smith passe pour le défenseur de «l’avantage absolu» : « Si un pays étranger peut nous fournir une marchandise à un coût inférieur», écrivait-il

essentielles de l’agriculture : 1) Seule l’agriculture apporte le produit net 2) L’ordre naturel ils croient en l’existence de lois naturelles telles que sont les droits de propriétés ou la liberté économique. La physiocratie est une opposition au mercantilisme, qui en d’autres termes signifie la science de la richesse. On observe un libéralisme important qu’elle prône dans son domaine, l’agriculture. Les physiocrates catégorisent la société dans laquelle ils vivent en trois groupes majeurs : 1) En première

XVIIIème prospère de part l’exploitation de la terre et la libre circulation, l’avis des théoriciens entrainent une nouvelle doctrine économique. En effet il est devenu nécessaire de dépasser la pensée mercantiliste car la France subit les vices du mercantilisme : - l’agriculture est en déclin - l’industrie ne progresse plus à cause des prohibitions et des règlements. -le modèle de recherche systématique d’une augmentation de la quantité de monnaie mise en circulation finit par se heurter à des difficultés

Conclusion Les Arguments Le Portail des Etudiant d’Economie www.e-tahero.net contact@e-tahero.net Le commerce international jeu à somme nulle : l’approche mercantiliste (16-17ème siècle). Malgré les variantes différentes selon les pays, le mercantilisme est posé sur un postulat fondamentale : Le C I est essentiellement de nature conflictuelle dans la mesure où selon l’expression de A.MONTCHRETIEN « nul ne gagne que d’autre ne perdent », il formule ainsi l’idée que « le C I est un jeu à somme nul

prohibition), puis exporter le plus possible où que ce soit (aides de l'État, création de manufactures royales). * Les classiques reprochent : la recherche de l’enrichissement au détriment d'autres pays. * Keynes appuie ce type de mercantilisme par le biais du multiplicateur en économie ouverte. Populationnisme : * Souverain a un besoin aussi de population * La notion se cachant derrière est celle de conscription : il est plus facile de lever des troupes quand il y a plus

partialité est encore plus grand que pour les autres sciences sociales. (Economiste >> changement du réel. ) L’économie est très lié à la politique . Chapitre 2 : L’économie a ses débuts en Europe occidentale : la démarche « mercantiliste » Le « mercantilisme » correspond à un ensemble de doctrines économiques qui ont prévalues en Europe de 1500 à 1750 environ. Epoque très riches sur le plan culturel et économique . * Leurs points communs étaient d’être en service des Etats-nation qui étaient en

reformes, il s’agit uniquement la de conciliation. Le dvlp de l’histoire fait que la richesse et l’éco progresse, l’Europe « décolle ». Ce qui créé la première pensée éco : le mercantilisme. Il n’y a plus de dépendance à la foi (salut) et apparait désormais la notion de richesse. On voit qu’on peut devenir riche. Mercantilisme est une théorie de richesse d’Etat. Comment rendre l’état riche ? La dimension d’un état fort est très Française. Colbert est un très grand mercantiliste (enrichissement du

politique Section 1 : Le mercantilisme (milieu du 15ème siècle- milieu du 18ème siècle) La pensée économique qui se développe à cette époque va être très favorable à l'activité commerciale car cette activité commerciale doit permettre au roi de renforcer son pouvoir. Le mercantilisme correspond à un ensemble de recommandations pratiques (données au souverain) ayant pour but d'enrichir l'État, c'est un courant pragmatique. I/ Les principes de base du mercantilisme A/ Le commerce est source

ont marqué l’histoire de la pensée économique, nous pouvons retenir le mercantilisme, la physiocratie, l’école classique, l’école néoclassique, le marxisme, le guédésialisme et le monétarisme. SECTION I : LE MERCANTILISME La fin du moyen âge annonce la renaissance, période de grandes découvertes (boussole, loi de la pesanteur) est le début de l’essor des échanges internationaux. C’est le temps des mercantilistes. Le mercantilisme est un courant de pensée qui considère que la richesse d’un pays dépend

Comme tous les écrivains de son temps il fut stipendié (facilement achetable). §2 Les physiocrates Cette école de pensée s’intéresse à l’économie ;ils s’inscrivent dans la mouvance libérale du libéralisme économique. Ils s’opposent au mercantilisme mis en place par le ministre de Louis XIV Colbert. Ils pensent que l’état doit impulser l’économie mais ensuite laisser faire la libre concurrence. Ils sont pour la liberté du commerce, de la circulation des grains. Leur mot d’ordre est «