Coopérative Solifruit

Par nature, la coopérative évolue dans une dynamique locale bien ancrée dans les besoins de sa communauté. Son sociétariat et sa production se situent au niveau local, alors que ses activités de commercialisation se déroulent tant sur la scène locale, nationale, qu’internationale. Sa dynamique diffère selon sa taille, son secteur et ses membres, mais sa raison d’être demeure invariable : créer une valeur d’usage et une richesse collective par et pour ses membres en exploitant durablement les ressources

précaire facteurs principaux de la pauvreté et de l’exclusion en créant des AGR. L’emploi a en effet un rôle intégrateur. Les AGR favorisent aussi l’auto-emploi et s’inscrivent dans le cadre d’une économie sociale et solidaire (groupements et coopératives). Elles permettent la mise en valeur des savoir-faire locaux (artisanat, micro agro-industrie …) et la valorisation des ressources locales humaines et naturelles. Elles se concrétisent par le développement de petits commerces, d’exploitations agricoles

qu’une coopérative ? La loi marocaine définit la coopérative comme étant un groupement de personnes physiques, qui conviennent de se réunir pour créer une entreprise chargée de fournir, pour leur satisfaction exclusive, le produit ou le service dont elles ont besoin et pour la faire fonctionner et la gérer en appliquant les principes coopératifs fondamentaux. La définition renferme plusieurs concepts qui méritent d’être passé au crible afin de mieux saisir ce qui différencie une coopérative des autres

entreprise familiale puisque le créateur de la société, Mr Jean-Pierre Modica, n’est autre que le père de l’actuel Président Directeur Général, Mr Thierry Modica, à qui il a cédé l’entreprise. 1.1/ Aspect Juridique : Société Anonyme – Société Coopérative et Participative. (SA SCOP) La société anonyme nécessite la réunion d’au moins sept associés et la constitution d’un capital de 37 000 euros. Les actions peuvent être cédées facilement à d’autres actionnaires. Elle est obligatoirement soumise

entreprise F La coopérative d'épargne et de crédit : Structure, FAE fonctionnement, enjeux La sécurité de l'épargne à la coopérative d'épargne et de F crédit. Modélisation et étude de cas : Desjardins au Québec Définition d'un cadre juridique et opérationnel d'un réseau financier opérationnel d'un réseau financier mutualiste : Donner la parole aux acteurs. L'expérience du projet F ATOBMS au Sénégal L’approche réseau de Développement international Desjardins F pour les coopératives d’épargne et de

comportements financiers des futurs coopérateurs / bénéficiaires 14 A. Etude des potentialités économiques 14 B. Etude du comportement financier 17 II) Deuxième partie : Etude de faisabilité d’un projet de logement social porté par une « Coopérative des Mal Logés à Oyom-Abang » 19 A. Le cadre général d’intervention 19 B. Répartition des fonctions des acteurs du projet logement social 20 C. Principales étapes de la stratégie ASSOAL dans l’opération Logement social à Oyom-Abang

structure Environnement Multi Services 2-1 Constitution Dénomination : ENVIRONNEMENT MULTI SERVICES Sigle : EMS Adresse du siège : 416 C Impasse Jean Moulin – 82000 Montauban Immatriculation : septembre 2003 Statut juridique : Société Coopérative d’Intérêt Collectif, société à responsabilité limité au capital de 7 500 euros SIRET : 45015455400015 Activité (code APE) : 8130Z Services d’aménagement paysager 2-2 Historique A l’annonce de la dissolution de l’association Village82

dimanche 17 octobre 2010 Les coopératives ont une longevité supérieure aux entreprises à capital-actions Deux analyses comparatives menées par le ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation du Québec se sont intéressées au taux de survie des coopératives de 1999 à 2008. Les résultats sont fort éloquents quant à la stabilité et la longévité des entreprises coopératives : les coopératives affichent un taux de survie de près de deux fois supérieur à celui des entreprises

[pic] Les établissements de micro finance ont été créés dans le but de venir en aide aux populations de revenu bas ne pouvant pas souscrire dans les banques classiques pour leur transaction financière. C’est dans cette vision que la Société Coopérative d’Epargne et de Crédit Camerounaise (CAPCOL) qui a pour activité principale l’épargne publique et l’octroie des crédits aux personnes physiques et morales s’est fixé des objectifs parmi lesquels la promotion de l’auto emploi des jeunes à travers les

défavorisées. L’exercice de la Microfinance est régi par la Loi n°94-040 du 15 août 1994 portant réglementation des Institutions mutualistes ou Coopératives d’Epargne et de Crédit et son décret d’application 94- 302/P- RM du 20 septembre 1994. Cette loi est encore appelée Loi PARMEC (Programme d’Appui à la Réglementation des Mutuelles ou Coopératives d’Epargne et de Crédit). La Loi PARMEC (Projet d’Appui à la Réglementation des Mutuelles d’Epargne et de Crédit) stipule en son article 5 que