Coordination SUD

sont totalement coupés, ce qui souligné par la phrase « dehors, la journée de décembre était glacée par une aigre bise du nord-est. Mais pas un souffle n’entrait, il faisait là une tiédeur de serre » où l’antithèse soulignée par la conjonction de coordination « mais » marque l’opposition entre l’intérieur chaud et l’extérieur glacial. Plus encore, ceux sont les deux mondes ouvriers et bourgeois qui s’opposent à travers ce contraste, comme l’illustre l’emploie du terme « meurt-de-faim » qui entre en

(« personne »), de la mort (« haleine de mort », « froid de mort », « tombeau ») et de la clôture (« fermées », « les volets sont tirés »). -      L’accumulation des termes « des soupiraux, des caves, des fenêtres noires » sans conjonction de coordination pour les relier (et) renforce l’idée de confinement. -      La ville est dégradée : la seule couleur présente est le noir ainsi que des termes dépréciatifs comme « recoins pourris ».   2)      Contraste entre l’habitude et « aujourd’hui » -     Balancement

pas…) - le plan est composée de deux parties (I et II), divisées chacune en deux sous – parties (A et B) - chaque partie et chaque sous – partie sont annoncées par un titre (qui ne doit pas contenir de verbes conjugués ni de conjonction de coordination et qui doit être qualifié) - quelques lignes introductives (« chapeau introductif ») doivent annoncer les sous – parties (A et B) - il doit y avoir des transitions entre les parties et entre les sous – parties : elles doivent rappeler l’idée

passage d'un paragraphe à un autre). RÔLE NUANCES ADVERBES De plus ; encore ; d'abord ; en premier lieu ; puis ; ensuite ; par ailleurs ; en outre ; aussi, de même ; enfin ; d'une part [...], d'autre part ; non seulement [...], mais encore COORDINATION SUBORDINATION ADDITION Et DÉVELOPPER UNE IDÉE ADDITION NÉGATIVE Ni EXTENSION Et même ; voire Or RENFORCEMENT A fortiori ; d'ailleurs CHOIX Soit... soit Ou ILLUSTRER PRÉCISER L'IDÉE Ainsi, par exemple

correspond à la conjonction “sous prétexte que”. Cette locution se place en général en tête de la phrase . Elle a le sens de “puisque”. Ces prépositions peuvent acquérir le sens de cause dans certains cas. – LES ADVERBES ET LA CONJONCTION DE COORDINATION CAR Cette conjonction introduit une cause qui est vue comme information nouvelle, comme “parce que” mais elle en se place jamais en tête de phrase. Cet adverbe confirme l'information qui précède en introduisant souvent une explication détaillée

toute une série de figures de rhétorique propre aux naturalistes; tout d'abord, le texte possède comme temps dominant le passé simple, introduisant la présence d'actions et d'événements spéciaux, dont le premier est marqué par la conjonction de coordination d'opposition "mais". Cependant, d'autres temps comme l'imparfait, afin de faire des descriptions, ou le plus que parfait, afin de faire des retours en arrière, sont aussi employés. ex : "Tous avaient entendu parler" Quant au rythme ternaire du

reprend: commence par un CAR L.22 => elle reprend son combat mais il n'y a pas d'argumentaion ce qu'i ldevrait y avoir avec un car => usage du car malhabile longues phrases séparées par ponctuation faible (, et :) enchainement de conjonction de coordination ( voir soulignement) répétition de parce que x4 dont plusieur sous entendu par que ou qu' =>* elle se projette dans le futur avec verbes future de l'indicatif répétition de "a moi" -> champs lexical de la propriété "appartient" x2 accentuation

Lecture. I) -> répétition de la conjonction de coordination « et » (l.1,2,3) = impression d’un tournoiement. négation (l.5,7) = refus de l’oisiveté (cf Pascal / ennui = angoisse) accumulation de verbes (l.6) + présence d’un chiasme (l.4) présence de l’adverbe « toujours » (l.7) = agitation perpétuelle dès la l.1, on note l’association de deux termes « ambition « et « galanterie » units l’un à l’autre par la conjonction de coordination « et » = séduction devient moyen pour satisfaire

hommes - Discours sur la liberté : aboutissement du discours, la notion de liberté apparaît dans la dernière phrase du passage, « ils se croyaient libres et personne ne sera jamais libre tant qu’il y aura des fléaux » - on notera la conjonction de coordination « et » qui exprime ici un rapport d’opposition, ainsi que la construction en miroir qui oppose « ils »/ « personne » et « se croyaient libres »/ « ne sera jamais libre » : le message est très clair – Les hommes vivent dans l’illusion de la liberté

pas". Ceci est la réponse de l'élève après que le professeur lui ait demandé de conjuguer le verbe être au présent. Ce jeu de mot fait référence à l'expression "être ou ne pas être. Telle est la question." de Shakespeare. Or ici la conjonction de coordination "ou" a été ramplacée par la conjonction de subordination "où". Donc on s'interroge plus sur le lieu où l'on est ou l'on n'est pas. En dehors du fait de se moquer du professeur, l'élève donne un autre sens à l'expression shakespearienne. J'ai