Copiapó

Copiapó est une ville du Chili et la capitale de la IIIe Région ou région d'Atacama. La ville de Copiapó est enclavée dans une vallée transversale du pays, formée par la rivière Copiapó. La ville fut fondée officiellement le 8 décembre 1744 par le gouverneur José Manso de Velasco, sous le nom de San Francisco de la Selva de Copiapó (Saint François de la Forêt de Copiapó), mais ses véritables origines sont antérieures à l'arrivée des Espagnols au Chili, alors qu'elle faisait partie de l'Empire

ninguna.” El autor es Francisco Peregil que fue en agosto un enviado especial en Chile del periódico El País. Es un articulo muy largo que se trate de los hechos que se pasaba en una mina en la ciudad de Copiapo en Chile. El jueves cinco de agosto, treinta y tres mineros que trababan en Copiapo fue encerrado bajo setecientos metros de mineral. Los dueños de la empresa de la minas tardaron a avisar las familias y el gobierno. El articulo nos aprendemos que mientras tanto, los mineros han probado

terrain, tout en étant assis sur notre sofa et cela même si l’évènement en question se déroule à l’autre bout de la planète. Un des évènements qui a capté les médias et la planète entière, récemment, a été l’effondrement de la mine de San José à Copiapo, au Chili, emprisonnant 32 mineurs chiliens et un bolivien le 5 août 2010. Dans la panoplie de journaux et d’articles traitant du sujet, nous avons choisi 10 articles qui se retrouvent notamment dans les journaux francophones du Québec dont Le Journal

Argentine. On peut bien sur également parler dans cette violence de la « randonnée » sanglante du général Arellano Starck aussi appellé le « général de la mort » qui entre le 17 et le 19 octobre 1973 passa dans les villes de La Serena, Calama, Copiapo et Antofagasta en faisant des centaines de morts fusillés. Cet épisode évoqua chez les femmes des généraux un certain dégout qui les fit mettre la pression sur leurs maris pour révoquer l’ordonnance autorisant les exécutions immédiates. A savoir que

moitié du XIXe siècle à la fin des années 1940. En juillet 1868, selon des investigateurs chiliens du phénomène (la CIO, Corporacion para la investigacion ovni), la toute première observation qui soit bien attestée aurait été faite dans la ville de Copiapo au Chili[5]. Le 25 janvier 1878, le journal quotidien de Denison (États-Unis) signale qu'un fermier local, John Martin, rapporte avoir vu un grand objet sombre circulaire ressemblant à un vol de ballon se déplaçant « à une vitesse merveilleuse »[6]

están todos vivos. chapitre 8 205 « Esto salió hoy día de las entrañas de la montaña, de lo más profundo de esta mina y es el mensaje de nuestros mineros que nos dicen que están vivos », exclamó el mandatario, quien viajó hoy desde Santiago hacia Copiapó, a 830 kilómetros al norte de Santiago. Piñera leyó el mensaje que los propios obreros enviaron a la superficie en un trozo de papel adosado a un hierro de la perforadora. En él, aparecía escrita la frase : « Estamos bien en el refugio los 33 ». Con

se encuentran en libertad; "Existía gente con instrucción guerrillera, como (Alfredo) Malbrich, un hombre brillante, que tenía a su cargo las comunicaciones. Recuerdo que a través de un satélite que pasaba día por medio a través del meridiano de Copiapó se contactaba con Cuba. Nosotros siempre captábamos lo que se transmitía, pero nunca logramos quebrar los códigos para entender la información". Torres Silva agrega; "Si bien ni las armas, ni los hombres, alcanzaban para derrocar al Régimen, con

doctrine et que philosophie, est lié au nom de José Victorino Lastarria, réformateur et théoricien du libéralisme, auteur des Lecciones de Politica Positiva (1878). Il y eut aussi des foyers régionaux d’influence positiviste, tels que le Lycée de Copiapo, animé par Serapio Lois. Cette influence, combinée avec celle de la sociologie évolutionniste de H. Spencer, apparaît dans les œuvres de Valentin Letelier et inspire l’action des hommes de la génération de 1880 en Argentine. 593 Le Nouveau