Coprah

géantes qui sont en liberté. Anse Source d’Argent La plus belle plage des Seychelles : elle fait partie des 10 plus belles plages du monde et notamment l’une des plus photographiées mais attention c’est une plage payante. Fabrique de Coprah Raffinage et extrait de la noix de coco Et on s’en sert pour le monoï, les huiles de coco etc… Produits touristiques Souvent combiné 2 îles voire 3 : 2 nuits à Mahé 3 nuits à Praslin 2 nuits à La Digue Mahé / Praslin et

d’hectares en 2010 dont 82% en Asie  Principaux pays producteurs (2010) : Indonésie (18.0 Mt de noix de coco), Philippines (15.5 Mt), Inde (10.8 Mt)  Types d’exploitation : 96% de petites plantations (0,5 à 4 ha)  Rendement moyen = 1.6 t de coprah/ha/an Section  Récolte des noixRécolte des noix  Maturité Enveloppe vire au brun, au moins une noix du régime est dite « sèche »  Outils de récolte Machette, échelle, bambou équipé d ’une faucille...  Groupage des noix Formation de tas

Etre capable d’expliquer comment est fabriqué le coprah et pourquoi celui du Vanuatu est souvent de mauvaise qualité. - Etre capable d’expliquer comment différents types d’exploitations agricoles peuvent avoir différentes réactions adaptatives face à un même évènement extérieur (cas des variations de cours du coprah sur les exploitations productrices de coprah) - Etre capable de faire une comparaison entre les filières “Cocotier-Coprah” et “Lait-Sbrintz” selon les critères simples présentés


 
 Les
nutri2onnistes
de
Blédina
ont
développé
Blédilait
 Croissance
avec
du
fer
associé
à
de
la
vitamine
C,
pour
 un
fer
mieux
absorbé
:
CAPITAL
CROISSANCE
 Composi;on
 :
 Lait
 écrémé,
 eau,
 lactose,
 ma2ère
 grasse
 végétale
 (palme
 ‐
 coprah
 ‐
 coza
 ‐
 tournesol),
 saccharose,
 émulsifiant
 :
 lécithine
 de
 soja,
 arôme
 (vanilline),
 nucléo2des,
 ferments
 lac2ques,
 bifidobactéries,
 vitamines
 :
 A‐D3‐E‐C‐B1‐B2‐PP‐B6,
 acide
folique,
B12,
pantothénate
de
calcium,
minéraux
:
citrates


bondillons de savon (ou granulés de savon) qu’utilisent les savonniers français proviennent de Malaisie et plus souvent d’Indonésie. Ces bondillons sont produit grâce à deux huiles : l’huile de palme extraite du fruit du palmier à huile, et l’huile de coprah extraite de la noix de coco des palmiers. L’huile de palme est plus souvent utilisée par les savonniers français. Bondillons de savon L’Indonésie est le premier producteur d’huile de palme et compte près de 6 millions d’hectares de palmiers

coco visant à réduire les besoins de main d'oeuvre nécessaire à la production du coprah. Une unité industrielle d'une capacité de production de 1.000 kg/h de coprah avait été installée à Assinie. Mais la chute des cours de coprah et des produits oléagineux a remis en cause la rentabilité de ce procédé. Aussi, cette unité a-t-elle été fermée pour des raisons économiques après avoir produit 31.500 tonnes de coprah ; • la technologie industrielle de transformation du manioc en farine panifiable

animale (suif) ou végétale (huile de coprah, palme,…) : c’est la saponification. Là, le savon se trouve mélangé à du glycérol : on l’en sépare en ajoutant du chlorure de sodium (c’est le relargage). Le savon est ensuite recueilli et purifié pour en éliminer au maximum la saumure et on l’étuve de façon à parfaire la saponification et à éliminer le maximum d’humidité. Le parfumage se fait ensuite. Les savons de toilette contiennent de 30 à 50% d’huile de coprah ou de palme et de 70 à 50% de suif

grasse privilégiée du savon : le suif sert dans la fabrication de plus de 90 % des savons traditionnels (consommation européenne de 370 000 t) et dans plus de 50 % des savons liquides (consommation de 160 000 t). Les sources végétales (huiles de palme, coprah, palmiste, tall oil, voire soja, tournesol) restent unitairement plus faibles. La consommation de bondillons malaisiens est estimée à plus de 50 000 t. Depuis quelques années, le secteur de la savonnerie s'intéresse cependant aux huiles végétales

sodium (lauryl éther sulfate de sodium : anionique, moussant ) . Monoisopropanolamide d’acide gras de coprah (non ionique, doux) . Cocoylamidopropyl bétaine (amphotère, forme une couche sur le cheveu, facilite le démêlage) . Sels d’ammonium quaternaires (conditionneurs…) Adjuvants • Epaississant : chlorure de sodium • Stabilisateur de mousse : dihydroxyéthanolamide d’acide gras de coprah • Agent surgraissant : Distéarate d’éthylène glycol • Agents filmogènes : polymères qui se déposent sur

L’Huilerie de Tahiti qui s’occupe de la 1ère phase de la fabrication : créée en 1968, c’est un établissement public détenu à 99 % par le pays. Elle dispose d’une usine de transformation du coprah d’une capacité de l’ordre de 20 à 25 000 tonnes par an. L’Huilerie de Tahiti a l’obligation d’acheter l’intégralité du coprah polynésien français à un prix fixé en conseil des ministres (actuellement 100 FCP le kilo de qualité). La fabrication B. Le contexte de l’importation Le secteur se