Corbillard

lieu principal de l’intrigue : la cathédrale Notre-Dame de Paris. Victor Hugo est victime le 15 mai 1885 d’une congestion pulmonaire et meurt le 22 du même mois et de la même année. Selon ses dernières volontés ses funérailles ont lieu dans “le corbillard des pauvres”. Mais il aura droit à des funérailles nationales et ses cendres reposent au Panthéon. Ses comtemporains Guy de Maupassant Alphonse Daudet Alexandre Dumas Honoré de Balzac … Ses citations Je veux être Chateaubriand ou rien

L'enjambement étire la vision du défilé, de la défaite de l'esprit, l'angoisse a pris possession de l'esprit en plantant son drapeau noir. - L'espoir est en contre rejet, l'espoir est hors-jeu. - Le drapeau noir symbolise soit le drap noir du corbillard, soit le drapeau de pirate. CONCLUSION -Un poème dramatique qui a dépeint la montée de la crise (v. 1 à 12) puis son paroxysme (v. 13 à 16) et la défaite finale (v. 17 à 20), le tout de manière de plus en plus malsaine, démente. - Ici le

là un rapport avec le flash bleu que l’on voit juste avant de mourir. On peut aussi l’interpréter d’une autre manière : Peut apparaitre un peu comme de la magie ou comme le feu, les explosifs de la guerre. Les chevaux : Ils sont 3 et tirent un corbillard. L’un deux à des traces blanches, ce sont en fait ses côtes. Cela montre qu’il est famélique et que la Guerre le traite mal. La Guerre : Elle porte sur ses épaules comme un linceul avec des têtes de mort dessinées. Cela représente les morts dont

son sens pour le poète qui traduit d'abord un état de panique puis de découragement ; il souffre mais ne lutte pas. III) Finalisé par la mort Il débute cette dernière strophe avec un réseau lexical de la mort lié au silence, « Et de longs corbillards, sans tambours ni musique ». Son univers angoissant et désespéré, est encore une fois présent défini par le rythme haché et imitatif, « mon âme; l'Espoir,/ Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,/ Sur mon crâne incliné plante son drapeau

ma vie." - La suggestion consiste à faire dans l’esprit des autres une petite incision où l’on met une idée à soi. - On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime. En 1885 à sa mort Le corbillard "des pauvres", comme il l'a souhaité, emportera son cercueil vers des funérailles nationales. 

Victor Hugo retrouve sa voix de prophète, partout ses vers sont déclamés ». 10. Victor Hugo meurt le 22 mai 1885, il a ajouté à son testament qu’il donnait un don de cinquante mille francs aux pauvres, qu’il désirait être porté au cimetière dans un corbillard, qu’il refuse l’oraison de toutes églises, il demande une prière à toutes les âmes et précise qu’il croit en Dieu. Les derniers mots qu’il a écrit 3 jours avant sa mort sont : « Aimer, c’est agir ». L’Homme et son œuvre. 1. Charles Nodier

lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux: dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l'Opéra, a perdu un bras qui s'est écrasé, avec la lyre qu'il soutenait, à l'endroit où le corbillard de Verlaine venait de passer...       Verlaine demande à la poésie d'être un chant discret et doux, traduisant des impressions indécises. Son Art poétique, composé dès 1874 mais publié seulement en 1882, annonce l'esprit du mouvement symboliste

avoir des hallucinations auditives. Cette strophe marque le basculement dans la folie, à force d’angoisse. La souffrance étouffante des trois premiers quatrains éclate et laisse place au déchaînement des images qui mènent au tragique. -Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.-Métaphore filée-Allégories de l’Espoir et de l’Angoisse-lexique du deuil-lexique


Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
 Ainsi que des esprits errants et sans patrie
 Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
 Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir,
 Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
 Sur mon crâne incliné plante son drapeau

lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux : dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l’Opéra, a perdu un bras qui s’est écrasé, avec la lyre qu’il soutenait, à l’endroit où le corbillard de Verlaine venait de passer. Œuvres[modifier] Poési ▪ Poèmes saturniens (1866) |Paul Verlaine | |[pic] | |Activité(s)