Corneille Et Phèdre

avait moins de problèmes de compréhensions. Par exemple, une pièce comme Phèdre utilise un langage et un niveau de langue que nous comprenons moins aujourd’hui, que Dissident il va s’en dire de Michel Vinaver. C’est aussi la familiarité de la plupart des situations que l’on retrouve dans les pièces de théâtre qui les rattache au monde qui nous entoure. Ces situations peuvent être des trahisons, des chagrins d’amour comme dans Phèdre de Racine, ou plus simplement des dialogues que l’on a au quotidien comme

Les grenouilles qui demandent un roi (Commentaire composé)   Introduction :   « Fables choisies mises en vers par Monsieur de La Fontaine » : par ce titre modeste, le poète se présentait comme le continuateur des fabulistes anciens, Esope et Phèdre. Phèdre situe la fable dans un contexte historique précis avant de raconter l'anecdote elle-même qui met en scène Esope. Avec La Fontaine, on a donc la réécriture d'une réécriture. Dans "Les Grenouilles qui demandent un Roi" (1693), nous verrons comment

avons choisis les pièces Phèdre de Jean Racine et Le Cid de Corneille. Phèdre : Phèdre est un personnage qui inspire la terreur mais aussi la pitié. Passionnée et divisée, Phèdre est un personnage ambigu, fascinant dans sa complexité. La passion que Phèdre éprouve pour Hippolyte domine toute sa vie, la fin tragique de Phèdre nous est annoncée dès le début. Par elle, Racine nous livre des notions de culpabilité et de responsabilité. Il nous dit dans l’introduction : "Phèdre n’est ni tout à fait coupable

comme un moyen d'éducation morale et civique. Tous les citoyens assistaient aux représentations. Au XVIIème siècle, le théâtre classique met sur scène des personnages héroïques, exemplaires par leur conduite noble et généreuse. Ainsi, dans Cinna, de Corneille, l'empereur Auguste pardonne à Cinna qui avait comploté contre lui pour l'assassiner, et fait donc preuve de clémence et de magnanimité. Au XXème siècle encore Giraudoux affirme : « Le spectacle est la seule forme d’éducation morale ou artistique

une lame » pour dire « une épée »). Oxymore (masculin) : L’oxymore est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraires à l’intérieur d’un même syntagme. Exemple dans Le Cid de Corneille : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles […] » (acte IV, scène 3). Parataxe (féminin) : La parataxe est l’absence de subordination entre les propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots

principe de catharsis : purgation des passions par leur représentation ​Sophocle Eschyle Euripide Tragiques grecs ,Sénèque dans ​Médée​ ,dramaturge latin. Ou encore dans ​Phèdre​ qui montrent des personnages en proie au furor ( état proche su délire )qui les conduira au scelus nefas (crime impie:Médée tue ses enfants,Phèdre arme le bras de Thésée qui provoquera la mort de son propre fils Thésée ) B On retrouve les mêmes objectifs dans les comédies antiques qui ont pour but de faire réfléchir

déguise en bec de gaz. (Jaques Prévert, Paroles, « Promenade de Picasso ») Série 2 : - Il pleure dans mon cÏur comme il pleut sur la ville. (Verlaine, Romances sans paroles) - Tout m'afflige et me nuit et conspire à me nuire. (Racine, Phèdre) Séries 3 à 7 : Ces figures de styles relient différents mots entre eux d'une certaine manière. Série 3 : - Tous pour un, un pour tous. (devise des Mousquetaires dans Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas) - Il faut manger

de l'histoire (c'est-à-dire environ trois heures) mais Corneille voyait la question de façon plus large et admettait que certaines de ses pièces dépassaient légèrement les 24 heures. *Unité de lieu : Toute l'action représentée se déroule dans un seul endroit. On ne peut pas montrer un champ de bataille et ensuite l'intérieur d'un palais. Pour la tragédie, on choisit le plus souvent une salle commune à l'intérieur d'un palais mais Corneille croyait qu'on pouvait représenter différentes salles dans

syntaxiquement. Ex: Corneille, Cette obscure clarté qui tombe des étoiles 3)Le chiasme ou disposition chiasmatique: c'est la disposition croisée tel A-B-B-A de quatre termes de sens différents et il faut si possible que les termes soient de même nature et de même fonction. Ex: Tel qui rie vendredi, dimanche pleurera! (croisé) A B B A II) Les figures d'insistance 1) L'anaphore: c'est la reprise d'un même mot en début de phrase, de vers ou de proposition. Ex: Corneille, Rome, l'unique

classique. Ainsi les grands auteurs classiques sont Molière, Racine, Corneille, Homère, Virgile, Horace, La Fontaine, André Chénier, Alfred de Musset…. Les auteurs classiques puisent dans les modèles antiques pour créer leurs propres œuvres. Pour autant, elles ne relèvent pas de l’imitation pure puisqu’ils ne réutilisent ces modèles que pour en faire des œuvres modernes. Ainsi, La Fontaine reprend les fables d’Esope et de Phèdre pour en donner une version moderne de la morale sociale et politique