Corporatisme

------------------------------------------------- Problèmes structurels La Grèce est, pour l'ancien Commissaire au marché intérieur et à la concurrence Mario Monti29, un pays « réfractaire au marché unique et à la concurrence » qui « n'a su combattre les corporatismes et les rentes de situation, dans les secteurs privé et public ». Quoi qu'il en soit, l'inflation a été forte dans le pays et a provoqué une perte de compétitivité qui a conduit à un fort déficit de la balance commerciale. Si l'on prend une base

------------------------------------------------- Les problèmes structurels La Grèce est, pour l'ancien Commissaire au marché intérieur et à la concurrence Mario Monti19, un pays « réfractaire au marché unique et à la concurrence » qui « n'a su combattre les corporatismes et les rentes de situation, dans les secteurs privé et public ». Quoi qu'il en soit, l'inflation a été forte dans le pays et a provoqué une perte de compétitivité qui a conduit à un fort déficit de la balance commerciale. Si l'on prend une base

Tsunekawa, (1979), "Corporatism without Labour? The Japanese Anomaly", in Philippe C. Schmitter et Gerhard Lemhbruch, eds, Trends Toward Corporatist Intermediation, London, Sage, pp. 231-270. SASAJIMA, YOSHIO, (1993), "The Japanese Labour Market: Its Institutions and Performance", in J. Hartog et J. Theeuwes, eds, Comparative Labour Market Contracts and Institutions. A Cross-National Comparison, Amsterdam, North Holland, pp. 151-184. SHALEV, M., (1990), "Class Conflict, Corporatism and Comparison:

développement économique, mais à partir du moment où il y a réellement l'instauration du fascisme, ils ont l'idée qu'il faut installé une économie à proprement fasciste (une troisième voie). Cette troisième voie choisie par le fascisme est le corporatisme. Selon eux, il faut fonctionner par secteur. Tout le monde peut profiter de la croissance, que ce soit les patrons ou les ouvriers. A l'intérieur des branches, il y a solidarité entre les patrons et les employés. Chacun doit défendre son secteur

il dénie tout droit à la minorité et reçoit un pouvoir sans limite de la majorité . C'est un régime dangereux !! Frustration du capitalisme , du pouvoir du roi , de l égalité . Les capitalistes de l époque veulent moins payé les employé mais le corporatisme ( protége les ouvriers ) . Qu'es ce qu' a voulu la révolution Français : Pas seulement la société mais aussi changer les hommes , les moeurs , l économie . Faire que les gens pensent différemment . Pour changer tout et couper les gens ont été

nouvelles solidarités comme la francophonie. Les communautés sont indispensables dans un espace ouvert. Elles ne sont pas un communautarisme mais les moyens de pratiquer l’inévitable individualisme des chercheurs. A condition de ne pas confondre avec corporatisme. La communauté est un organisme vivant. L’expertise Elle est de plus en plus valorisée dans une société où les rapports Sciences/techniques/sociétés se compliquent. Mais l’expertise de demain ne peut plus reposer sur la simple valorisation

planification quadriennale : souple en accord avec le patronat , Wolkswagen en 1939 : petite voiture pas chère pour concurrencer les états unis et leur ford T. -Priorité de l'armement. -développement des produits de substitution: "ersatz". -Corporatisme : syndicats regroupés dans "le front du travail" (DAF). -Politique raciale DOUBLE : 1) Politique antisémite ( voir livrre) 2)Mesures dites de "protection de la race " 1934 : Stérilisation des malades mentaux / Eugénisme encouragés / 1939

intérêts particuliers il n y a que de prétendu intérêts communs. La grève tombe ss le coup de la loi. Fin 19EME début 20eme tentative de résurrection du corporatisme par un courant idéologique, objectif de paix social idée réponse au courant marxiste par une démocratie sociale. On a cherché un certain nombre de solution autre que le corporatisme, la participation, permettre au salarié de bénéficier d une partie des bénéfices, l idée au fond qu' il fallait procéder à une réunion des patrons et salaries

brutalement à partir de 1982 explique que les mobilisations aient inauguré de nouvelles formes d’organisation tout en présentant une forte hétérogénéité. Ces transformations se sont d’abord traduites par la fragilisation puis le démantèlement des corporatismes d’État, qui avaient longtemps constitué des instruments d’encadrement des mobilisations pour les dirigeants des régimes nationaux-populaires3. En parallèle, les associations et les ONG sont devenues des canaux importants de la participation sociale

également celui du juridique, puisque le nombre de personnalités extérieures est accru. En réalité, le rôle du politique n’est pas tellement diminué, car ce que les politiques perdent en présence effective, il le gagne en désignation. Lutte contre le corporatisme, certes, mais lutte contre la dépendance ? Du point de vue de l’Europe, cette réforme n’est pas la meilleure : la recommandation n° R 94-12 du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe impose que l’autorité compétente soit indépendante du gouvernement