Corporatisme

(explosion de la démographie étudiante), d’autre part la politisation du mouvement étudiant et notamment ses prises de position sur la guerre d’Algérie, puis sur celle du Vietnam, l’amorce d’un mouvement de critique de l’université, le refus du corporatisme étudiant et la crise du syndicat étudiant (avec notamment la scission de l’UNEF), et la constitution des premières coordinations nationales rassemblant étudiants syndiqués et non syndiqués. 1963 : Réforme Fouchet visant à distinguer un cursus

atteinte à la liberté de choix du représentant. La maxime « Nul ne plaide par procureur » « exigence de transparence du procès est un sérieux obstacle à l’introduction de l’action de groupe dans notre droit français. Un risque de favorisation du corporatisme peut être caché derrière l’intérêt des consommateurs victimes de préjudices de masses. Le principe de l’égalité des armes prévue par la Convention Européenne des Droits de l’Homme garantissant des procès équitable. Il y a une contradiction des

contrôle du juge administratif. Ce faisant, une nouvelle question prend corps et s’impose d’elle-même au débat public : quelle justification peut-on avancer aujourd’hui en faveur de l’existence de deux ordres de juridiction séparés ? Ni les corporatismes de part et d’autre, ni les difficultés de formation des juges au droit administratif que l’École nationale de la magistrature est en mesure d’intégrer, ni l’intérêt intellectuel présenté par les débats devant le tribunal des conflits, ne

autres). Opte par nationalisme pour la monarchie : traditionnelle et héréditaire + antiparlementaire (car démocratie = règne de l'argent et mythe citoyens-électeurs) + décentralisée (remise en cause Etat napoléonien bureaucratique). Favorable à corporatisme + catholicisme garant ordre et hiérarchie Nationalisme d'exclusion (juifs, francs-maçons, protestants, « métèques »... ferments de désagrégation de la nation). Système qui se veut cohérent : nationalisme et monarchie par seul raisonnement. 1.1

également pouvoir le faire selon le général de Gaulle. Dans son discours de Bayeux n’évoque-t-il pas : « la voix des grandes activités du pays » qui doit  se faire entendre « au sein même de l’Etat » ? Ce projet de chambre économique  s’inspire du corporatisme tant répandu dans les années trente que le fascisme contribuera à discréditer. Toutefois la volonté de représenter les intérêts socio-professionnels sera reprise par de nombreux courants politiques au lendemain de la guerre et par des personnalités

générale) ont tendance à réglementer au dépend même des libertés individuelles ainsi qu’à maintenir une administration souvent pesante. Tout cela n’effaçant pas les inégalités inhérentes à la nature de l’homme qui se retrouveront dans un certain corporatisme. Par rapport à la droite, les socialistes privilégient la prévention plutôt que la punition en justice et sécurité. Ils défendent les services publics. Ils sont aussi laïques (pour la séparation de l’Etat et de l’Eglise). Le publique cible des

parti qui l’a fait élire. Le Parlement devient dès lors avant tout le lieu où se reflète et s’enregistre un rapport de forces entre différents intérêts sociaux (discussion au sein du parti puis négociations entre partis, ou bien ils exercent le néo-corporatisme). - La Démocratie du public fait apparaître de nouvelles élites : des experts en communication. La personnalité de ces candidats apparait comme un des facteurs essentiel de cette variation. La notion de confiance retrouve donc une place centrale

distingue 5 dispositifs selon la manière dont ils envisagent et opèrent la sélection des acteurs qui vont y contribuer. 1. Dispositif basé sur une représentation de secteur, catégorie ou groupe de la société. Celui-ci est fondé sur le principe du corporatisme. Après 1945 ont été mise en place des organismes paritaires entre les représentants des salariés et les représentants patronaux pour gérer les institutions de protection sociale et les conventions collectives. Cela permet d’enrichir la démocratie

pouvoir de juridiction sur leurs membres ou un pouvoir de répartition des matières premières, pouvoir capital en ces temps de restrictions généralisées. Il en est de même avec la Charte du travail instaurant le système du syndicat unique et le corporatisme paysan. Parallèlement au développement d'un pouvoir centralisé, le maréchal se consacre au « relèvement de la France » : rapatriement des réfugiés, démobilisation, ravitaillement, maintien de l'ordre, et maintien de l'unité nationale. Il se

de la république et Gouvernement-, au mieux empesé, au pire menacé d’écartèlement, qui souffre dès après De Gaulle, qui tenait la sienne du peuple mais aussi d’ailleurs, d’un grave déficit de légitimité. Déficit bien perçu par les masses, les corporatismes et les lobbys, qui n’hésitent plus à descendre dans la rue pour refuser violemment la Loi, votée ou pas ! Et “ça marche”.      En deçà de Mai 1968, ce mécanisme en quelque sorte neuf, repérable dès le début du septennat de François Mitterand,