Corpus Avec Germinal

En partant des textes du corpus, vous vous demanderez si la tache du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste qu'à imiter le réel. Vous vous appuierez aussi sur vos lectures personnelles et les œuvres étudiées en classe. I Le romancier,quand il crée ses personnages, imite le réel A ) Le romancier peut mettre en scène des personnages réels -personnage semblable a l'auteur ou autre -personnage historique (ex Louis XVI) B ) Le romancier place ses personnages dans un cadre réel

CORRIGE TEXTE A. Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, VIII, 14, 1678. TEXTE B. Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres

du corpus du Bac. Au brouillon, tracer un tableau de 3 colonnes sur une page entière : au centre, vous écrivez la liste des exemples que vous pouvez utiliser et de part et d’autre, vous laissez la place pour rédiger avec concision les arguments qui naissent des exemples. Ex : THESE I : le roman m’offre l’évasion liste de romans (titres et auteurs) THESE II : le roman me plonge au contraire dans la réalité le roman peut proposer un monde féerique Harry Potter, J.K. Rowling Germinal, Zola

Tirées du roman épistolaire de Montesquieu, Lettres Persanes publiées en 1721 ; d’un article anonyme intitulé « Réfugiés » de l’Encyclopédie publiée à partir de 1752 et enfin de l’Essai Traité sur la Tolérance de Voltaire publié en 1763, ces textes du corpus représentatifs des Lumières abordent le sujet de l’intolérance et du fanatisme religieux. Nous nous demanderons quelles sont les intentions des auteurs et les moyens utilisés pour atteindre leurs objectifs. On remarque que les trois auteurs ont

l'homme dans les genres de l'argumentation, du XVIème siècle à nos jours Question : En quoi les œuvres littéraires permettent-elles de construire une réflexion efficace sur la condition de l'homme ? Vous appuierez votre réflexion sur les textes du corpus, les œuvres étudiées en classe et vos lectures personnelles. Plan détaillé : Depuis l'Antiquité l'Homme se questionne sur la vision qu'il a de sa propre existence par rapport au monde qui l'entoure. Au Moyen Age les interrogations de l'homme sont

| | | | | |D’après le corpus de texte et le tableau, nous pouvons voir que les auteurs et le peintre parviennent à | | |susciter l’indignation, l’aversion chez le lecteur et chez le spectateur. |

Mirandole, De la dignité de l'homme. Texte 2: François Rabelais, Tiers Livre Texte 3: Michel de Montaigne, Essais -->, III, 13. Annexe: Bruegel l'Ancien, La danse des paysans. Les questions sont: 1) Montrez que les réflexions présentées dans ce corpus se veulent universelles. 2) De quelles maniere ces textes font-ils l'éloge de l'être humain? Il faut répondre par une vingtaine de ligne chaque questions. Jules Lemaître, critique du 19ème siècle évoque les Rougon Macquart comme "une épopée pessimiste

produire ( Oliver twist) II. Parfois le romancier dépasse le réel 1) a travers des personnages Sujet corrigé de la question I – Vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : Quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ? Introduction : Rapide présentation des trois textes + problématique contenue dans la question. Développement : Ces trois textes offrent une vision différente du peuple. Victor Hugo, dans le texte A, choisit de mettre en lumière un

il les critique en amenant son destinataire à en rire (cf. Molière et le bourgeois gentilhomme par exemple). -Le registre pathétique : le texte touche le lecteur et l’invite à avoir pitié des personnages ou de la situation évoquée (cf. Zola dans Germinal lorsqu’il évoque la condition du personnage Maheude) -Le registre tragique : Le texte inspire au lecteur « terreur et pitié » (Aristote) en présentant des personnages victimes de la fatalité. La lutte qu’ils mènent est vaine et l’issue fatale (échec

I) QUESTION DE CORPUS Ce corpus se compose d’extrait de 3 textes, dont un est une pièce de théâtre qui se nomme L’Atelier de Jean-Claude Grumberg en 1979, ensuite on a un essai, une chronique, Actuelles II, L’Artiste et son temps d’Albert Camus écrite dans les années 1946 et pour finir un extrait de roman d’Emile Zola, Germinal en 1885. Le registre dominant nous est dit ici comme étant les cris de révolte contre différentes formes d’oppression et c’est ce que nous allons justifier. Dans la