Corpus Balzac Flaubert Maupassant

on trouve les terminaisons sans les pronoms.  Les pronoms peuvent être utilisés de manière spéciale : Nous l'avons décidé ainsi, car tel est notre bon plaisir. (d'après Louis XIV) [nous = je} Eh bien, Madame la baronne, comment allons-nous ? (Maupassant) [nous = vous / tu] Il est génial ! (d'après Alain Delon, parlant d'Alain Delon) [il = je] - Il est formidable ! - Qui ça ? - Ben... vous ! - Ah ! lui ! (dialogue à propos de César entre César et un autre personnage dans l'aventure d'Astérix : Le

(voir le changement de temps entre les deux premières strophes) en dieu vivant devant qui les puissants de la terre (« satrapes, pharaons, mages ») se prosternent (« adorant son front qui les surmonte ») et qui ressuscite les siècles (prosopopée). Balzac montre que la nostalgie de Napoléon hante les anciens combattants – comme, du reste, sa propre œuvre. Le style, oral, familier et plein d’incorrections, imite celui du locuteur. Il n’en est pas moins dépourvu d’effets rhétoriques : amplification

démarche interculturelle :................................................................................................. 93 3. Elaboration d’un dispositif d’enseignement/apprentissage du FLE à partir d’un texte littéraire : « Aux champs », de Guy De Maupassant..............................................................................................................94 3.1. Des repères pour expliciter et exploiter la démarche :....................................................................94 3.2

textes littéraires et les formes d’argumentation souvent complexes qu’ils proposent vous paraissent-ils être un moyen efficace de convaincre et persuader ? Vous répondrez à cette question en un développement composé, prenant appui sur les textes du corpus et sur ceux que vous avez lus et étudiés. [Sujet EAF 2002, séries S et ES]      À partir de la question ou de la citation, il convient de souligner les mots importants. Ici « textes littéraires », « formes d’argumentation », « complexes », « de

techniques. Au cours du XVIIIe siècle, des formes de plus en plus réalistes de la description se sont progressivement imposées dans les genres littéraires. Et on peut dire que la description littéraire a connu son âge d'or dans le roman réaliste de Flaubert à Zola. Objet d'un travail littéraire intense, elle est devenue le lieu même de la valeur de l'écriture littéraire. I.2. Le refus moderne de la description Mais, ce qui est remarquable, c'est qu'elle n'a jamais pu s'imposer sans susciter de grandes

lorsqu’il décide de le faire publier, ce carnet devient un écrit pour les autres afin de faire partager un moment de son intimité, d’informer, de séduire, de dénoncer… • Prépa-bac ! Cette activité prépare les élèves à la question « Présentation du corpus » de l’épreuve de baccalauréat. Il est donc important de les habituer très vite à confronter les documents proposés. Le professeur peut amorcer ici un début de préparation à cette question et apporter une aide méthodologique. Il pourra ensuite ramasser

Lecture cursive : Madame Bovary, Gustave Flaubert, 1857 Exercices EAF Commentaire composé : un extrait de Manon Lescaut de l’Abbé Prévost. (Livre unique p.280) Dissertation : Pensez-vous que le romancier puisse, à partir d’un seul personnage, représenter tout un groupe social ? (Corpus : Extraits de La Princesse de Clèves de Madame de la Fayette, de Manon Lescaut de l’Abbé Prévost, d’Eugénie Grandet de Balzac, de Bel-Ami de Maupassant, Du côté de chez Swann de Marcel Proust.)

en fonction de ses lectures passées et abandonner des genres très stéréotypés, comme le roman d’aventures, pour des œuvres qui surprennent et bouleversent quelque peu les univers littéraires auxquels il était habitué (de Stephen King à Mérimée ou Maupassant, ou de Conan Doyle à Edgar Poe…). Là encore, il doit rester libre de ses choix, mais un dialogue avec le professeur, envisagé comme un « conseiller en lecture », est indispensable. Le lecteur autonome met en jeu, de sa propre initiative, une série

l’épopée, alors qu’elle a longtemps conjuré la mort, comme dans Les Mille et Une Nuits, racontées par Shéhérazade pour survivre, pour retarder chaque nuit la mort, l’œuvre moderne a reçu « le droit de tuer, d’être meurtrière de son auteur », comme Flaubert, Proust, Kafka, abolis dans l’œuvre, sacrifiés à l’œuvre. Le thème blanchotien est bien connu, et Foucault parle « de cette disparition ou de cette mort de l’auteur » comme d’une idée fixe de la critique et de la philosophie contemporaines. Mais

francophones d’horizons géographiques et socio-culturels divers. Notre étude intitulée « Aspects comparés du roman francophone contemporain se fondera sur des romans issus des littératures française, maghrébine et négro-africaine; nous précisons à présent le corpus choisi : - Portrait d’un inconnu de Nathalie Sarraute (1948) - Le planétarium de Nathalie Sarraute (1959) - Habel de Mohammed Dib (1977) - L’escargot entêté de Rachid Boudjédra (1977) - Les crapauds-brousse de Tierno Monénembo (1979) - L’anté-peuple