Corpus Courtisans

BAC BLANC Questions : Ce corpus est composé des trois textes littéraires datant d’époque très différente, en effet le premier texte est une fable du poète : La Fontaine, « La Cour du Lion » publié en 1678. Le deuxième texte est écrit par le philosophe Voltaire en 1764, c’est un article de son Dictionnaire philosophique : «Tyrannie », pour finir le dernier texte du genre théâtral reconnaissable avec les répliques des personnages ainsi qu’aux didascalies

mensonges et de contrefaire toute sincérité. Ce n’est plus l’italien des poèmes de l’Arioste que Du Bellay admirait tant, mais l’italien des intrigues ponti- ficales, l’introduction du théâtre dans la vie sociale. Au contraire de la parole des courtisans où la subjectivité maximale, celle du mensonge et de l’ambiguïté, va de pair avec l’occultation de l’acte de parole, chez Du Bellay le discours authentique – franc – est tel parce qu’il s’affiche tel quel. De sorte aussi qu’on ne puisse vraiment

Ces textes présentent un thème commun, celui du pouvoir tyrannique qu'exerce ces rois ou empreur . Nous allons étudier trois textes présents au sein de ce corpus, Angelo, tyran de Padoue de Victor Hugo écrit en 1835 , Ubu Roi d'Alfred Jarry écrit en 1896 et enfin caligula de Albert Camus écrit en 194 . nous étudierons comment se manifeste le désir de puissance sur les êtres et sur les choses, puis les limites de cette emprise. Cependant, cette volonté de puissance a ses limites : la faiblesse

Romantisme ; le niveau de langue soutenu et la période révolutionnaire. Il sera étudié dans ce document la vision de la jeunesse romantique transmise à travers les deux textes par Alfred de Musset. La jeunesse romantique est le thème dans ce corpus de textes. En effet, l'enjeu de ces textes est avant-tout de montrer l'ennui de la jeunesse dans son époque et le fait qu'elle soit mal à l'aise. Les modernes sont une jeunesse"houleuse", fougueuse ayant envie de changement et qui rêve de "plaines

d'objets, emblème d’une société de consommation. Il semble alors possible d’admettre que la production, consommation et possession de l’objet posent des problèmes physiques, moraux, économiques et écologiques. C’est ce que nous étudierons à travers un corpus de quatre documents. Tout d’abord, le document 1, un article de Marie Piquemal « Ils ont décidé de vivre avec cent objets » extrait du journal Libération du 16 août 2010 qui nous expose le challenge pour chaque individu de vivre avec 100 objets, et

bonheur pareil A qui voudra suivre mes charmes; Leur douceur lui garde un sommeil Qui ne craindra point les alarmes. 15 Il bornera tous ses désirs Dans le seul retour des Zéphyrs; Et fuyant la foule importune, Il verra au fond de ses bois Les courtisans de la fortune 20 Devenus esclaves des rois. J'embellis les fruits et les fleurs: Je sais parer Pomone et Flore; C'est pour moi que coulent les pleurs Qu'en se levant verse l'Aurore. 25 Les vergers, les parcs, les jardins, De mon savoir et

| |Les lions n'ont point d'autre temple. | |On entendit, à son exemple, | |Rugir en leurs patois messieurs les courtisans. | |Je définis la cour un pays où les gens, | |Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents,

Le corpus rassemble trois textes du XVIIe et XVIIIe siècle : « De la Société » de LA ROCHEFOUCAULD, « Le Rat et l’Eléphant » de LA FONTAINE et un extrait des Mémoires de SAINT-SIMON. Ces textes représentent tous l’homme par rapport à la société et le critiquent, quoi que de façons différentes. En effet, ces trois textes dénoncent l’importance aux yeux des hommes d’appartenir à la société et le fait qu’ils se veulent et se croient toujours supérieurs, n’hésitant pas, pour s’assurer une bonne

 Texte 1 De retour en France après son séjour à Rome où ses fonctions le conduisirent à fréquenter la cour du pape, Du Bellay poursuit sa peinture des courtisans. «  Seigneur(1), je ne saurais regarder d'un bon œil Ces vieux singes de cour, qui ne savent rien faire, Sinon en leur marcher les princes contrefaire(2), Et se vêtir, comme eux, d'un pompeux appareil(3).   Si leur maître se moque, ils feront le pareil, S'il ment, ce ne sont eux qui diront le contraire, Plutôt auront-ils vu, afin de lui

Pompadour. Il devient historiographe du roi de France et est élu à l'Académie Française en 1746. Mais il est disgracié par Louis XV qui ne l'apprécie pas ; Voltaire se réfugie chez la duchesse du Maine qui transpose dans Zadig ses mésaventures de courtisan. Indésirable en France, il doit chercher un asile. Possédant beaucoup d'argent, Voltaire s'installe à Genève : il écrit le Poème sur le désastre de Lisbonne et Candide en 1759. En 1763, il écrit le Traité sur la tolérance. En 1778, il fait un