Corpus De Fable

Nous avons là un corpus de 4 textes, tous relatant une idée de souveraineté. Le premier texte, de Jean de La Fontaine est intitulé « La cour du Lion », extrait du recueil Fables. Ce poète français de la période classique fût retenu dans l’histoire littéraire grâce à ce recueil ayant essentiellement pour personnages principaux des animaux. Notre deuxième texte de Voltaire est extrait du recueil  Candide ou l’Optimisme (1759), c’est le chapitre 18. Après des études de rhétorique et de philosophie chez

Méthodes. Écrit au bac : 2 parties (4h) → Question de synthèse /4 corpus : ressemblances et différences, effet produit sur le lecteur. Question écriture /16 → sujet d'invention → commentaire composé → dissertation Corpus : Introduction: On met en avant l'unité du corpus: « roman » Petit mot précédent «  ex libre et l'auteur qui décrit en globalité l'extrait de présentation successive /!\ Alinéas! 1er paragraphe → valorisation des personnages, contexte historique et culturel

» ou « Le moyen d’ennuyer est de vouloir tout dire » a prévenu Voltaire. 4.2.1 L’apologue ou la fable L’apologue (du grec apologos, « récit ») est un court récit en prose ou en vers, dont on tire une instruction morale, c’est donc au sens strict un synonyme de « fable ». Plus généralement, il désigne un récit pédagogique à des fins morales, mais parfois aussi politiques ou religieuses. La fable a aussi le sens de fiction mensongère, c’est pourquoi Voltaire dans l’Ingénu pouvait s’exclamer : «

Durant l’existence d’un homme chaque tranche d’âge est dotée de caractéristiques spécifiques. Le corpus présenté ici nous fait part d’un aspect essentiel de ce cycle de la vie et qui concerne le quatrième âge appelé aussi la vieillesse. Les 4 documents présentés relatent de ce même thème mais sont de nature et d’époques différentes. Le premier document est une fable de Jean de La Fontaine intitulée Le Vieillard et les trois jeunes hommes paru en 1679. Le deuxième et le troisième document sont tous

persuader ; les formes et les fonctions de l'apologue (fables, contes, romans) Perspectives d'étude : - étude de l'argumentation et des effets sur le destinataire - genres et registres - intertextualité Méthodo et devoirs : - questions de corpus - commentaire littéraire Devoir maison : commentaire littéraire Lectures cursives / exposés : au choix : - Le meilleur des mondes Aldous Huxley - 1984 / - La ferme des animaux / George Orwell - Ravage René Barjavel Travail

non superposable à l'ensemble des lectures dites «ordinaires»: je veux parler du commentaire critique[3]. D'autre part, je choisirai un exemple tout à fait extérieur au corpus retenu par Vincent Jouve pour sa description de «l'effet-personnage», non pas un roman, mais un genre, et une œuvre, que Jouve exclut résolument de son corpus: l'apologue, et les Fables de La Fontaine. Cette exclusion repose sur la proposition suivante: l'apologue est une fiction dépourvue de tout personnage; ou, plus

I. Question sur corpus Intro : Ces trois textes sont des fables. Le texte un est une fable le Jean de la Fontaine extraite du livre VII publié en 1678, Les deux coqs, ce texte est écrits en vers on trouve des passages en ’alexandrin (12vers) et en octosyllabes (8vers). Les rîmes sont croisé du type « ABAB » et embrassées « ABBA ». Cette fable parle de deux coqs et d’une poule qui arrive, suite a cette arrivé la guerre entre les deux coqs commence. Le texte deux est une fable de Fénelon extraite

SIGNATURE : |SÉQUENCE N°1 : LA CONDITION DE LA FEMME À TRAVERS LES SIÈCLES | |Objet d’étude |L’argumentation (l’essai, la fable, le conte philosophique) | |Problématique |En quoi à travers la diversité des genres et registres | | |d’argumentation

Question de corpus Textes : * La Fontaine, fables (1963), « Le Philosophe scythe » * Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778), « Cinquième promenade » * Pascal, Pensées (1670) * Voltaire, « Le Mondain » (1736) Question : De quoi chacun des auteurs fait-il dépendre le bonheur ? Pour répondre à cette question, nous avons quatre textes. Une fable de La Fontaine, « Le Philosophe scythe » (1663), un extrait de « La Promenade » de Rousseau (1776-1778), puis un encore

L’ECRIT D’INVENTION   Le plus souvent sur la séquence : « convaincre, persuader, délibérer »     1. L’écriture d’invention suppose : L’analyse du corpus ou du texte unique (rare mais possible et à ce moment-là, c’est une nouvelle) pris en compte par le sujet d’invention (paratexte, thèmes, genre, formes de discours, registres, énonciation, mouvements littéraires, auteurs, objet d’étude concerné…). Une bonne connaissance des règles des différents genres et formes de discours.   2. Le libellé