Corpus Moliere

Question sur le corpus : 1- Dès le début de la scène de Molière, Dom Juan l’auteur donne le ton de la relation entre maître et valet. En effet Dom Juan, le maître mène une vie immoral aux yeux de son valet Sganarelle qui ne supporte pas son attitude provocateur, arrogant et orgueilleux. Dans l’extrait étudié on apprend que Don Juan est un libertin, qui aime collectionner des conquêtes d’où son prénom. Sganarelle quand a lui, n’hésite pas à dire à son maître ce qu’il pense de sa conduite. Mais

présentée, annotée et commentée par Marion MARTIN-SUHAMY, ancienne élève de l’École normale supérieure 1 Vers le bac Àl’écrit Objet d’étude : le comique et la comédie ; le théâtre : texte et représentation. Corpus bac : maîtres et valets. TEXTE 1 : Le Tartuffe ou l’Imposteur, (1669), Molière. Acte II, scène 2 (extrait). Alors qu’Orgon s’adresse à sa fille Mariane pour l’informer du mariage qu’il a projeté entre elle et Tartuffe, Dorine, la servante d’Orgon, exprime sa réprobation. DORINE Votre honneur

maître-serviteur est une convention au théâtre. Nous allons commenter et discuter cette opinion en s’appuyant sur les textes de corpus (Les Femmes Savantes de Molière, PHEDRE de Racine, Le mariage de Figaro de Beaumarchais, La leçon d’Ionesco) et de nos lectures personnelles [….], ainsi que les mises en scène que nous avons vues. Tout d’abord nous pouvons constater que les textes de corpus ne datent pas de la même époque : Les Femmes Savantes datent du XVII ème siècle tout comme PHEDRE de Racine alors que

Pendant le classicisme, la majorité des auteurs du XVIIème siècle donnent beaucoup d’importance à la façon d’écrire. Cela veut dire s’exprimer clairement et honnêtement. Dans ce corpus, nous avons trois textes qui nous servent d’exemple précis. Le texte de Perrault de La Fontaine et de Boileau sont le miroir de ce tourment. En effet, ils sont tous les trois des poèmes écrits en Alexandrins. Un alexandrin est un vers composé, formé de deux hémistiches de six syllabes chacun : « Avant donc que d’écrire

Tout d’abord, chaque scène d’exposition présente dans ce corpus assure une fonction informative. En effet, les trois pièces commencent in medias res et le spectateur a besoin d’éléments pour comprendre l’intrigue. Ainsi, il dispose notamment d’informations sur les personnages. Par exemple, dans la pièce de Molière, on apprend que Dom Juan est le maître de Sganarelle, qu’il est marié avec Elvire mais qu’il vient de s’enfuir, en raison de son caractère volage. En témoigne l’expression : « c’est un

utilisé pour provoquer les éclats de rire des spectateurs. Dans les  fourberies de Scapin  de Molière, nous assistons à une scène où le valet, Scapin, veut se venger de son maître Géronte en lui faisant croire qu’il est attaqué par des spadassins étrangers, Scapin va employer beaucoup d’accent différent en exagèrent sur les tonalités pour pouvoir battre son maître qui pense être tapé par ces derniers. Molière a allégrement usé des procédés comiques dans cette scène où le retournement de situation et

textes du corpus, vous répondrez à la question suivante (4 points) :   Après avoir identifié la cible de la critique dans les textes du corpus, vous dégagerez les principaux procédés argumentatifs utilisés. II. Vous traiterez ensuite, au choix, l'un des sujets suivants (16 points) : Dissertation
Dans quelle mesure l'argumentation indirecte est-elle efficace pour offrir au lecteur une réflexion sur l'homme et son comportement en société ? Vous appuierez votre réflexion sur le corpus et les textes

 Le corpus que nous allons étudier est composé de quatre scènes d'exposition de pièces de théâtre issues de siècles différents, soit Monsieur de Pourceaugnac, 1669, de Molière, Le jeu de l'amour et du hasard, 1730, de Marivaux, On ne badine pas avec l'amour, 1834 de Musset ainsi qu' Antigone, 1944, de Anouilh. Nous analyserons en quoi ces textes remplissent leur fonction d'exposition en dégageant les éléments caractéristiques d'une scène d'exposition. D'emblée nous pouvons remarquer que dans les

Rabah Benzaid Corpus Ce corpus se compose de trois textes, tous tirés de pièces de théâtre: un extrait de l’œuvre d'Alfred de Musset Il ne faut jurer de rien écrit en 1836, un autre de la pièce écrite en 1860 par Eugène Labiche Le Voyage de Monsieur Perrichon et un extrait de l’œuvre En attendant Godot, écrit en 1952 par Samuel Beckett. Nous allons ici nous demander dans quelle mesure ces dialogues sont comiques en démontrant dans un premier temps que, dans ces trois extraits, s'est installé un

femmes, posez-vous la question : en faisant rire d’Arnolphe, partisan de l’épouse idéale, Molière trahit-il la morale ou, au contraire, en amenant Agnès à résister à une telle contrainte il salue, exalte la vertu – ici, l’intelligence et l’indépendance – de la jeune femme ? N’est-ce pas ce que nous disent, par ailleurs, ce même Molière et son confrère dramaturge Racine dans les textes 1 et 3 du corpus lorsqu’ils s’opposent aux réticences de ceux qui pensent que le théâtre détourne de la morale