Corpus Mon Rêve Familier

Fenêtres ouvertes » ; Baudelaire : « Les fenêtres », et les textes du corpus ; poèmes engagés : Hugo : Les Châtiments ; « Melancholia » ; Desnos : « Ce cœur qui haïssait la guerre » ; Eluard : « Liberté », « La courbe de tes yeux »… Des poèmes qui peignent le monde intérieur : poésie lyrique de la Pléiade ; poèmes lyriques de Hugo (Les Contemplations : « Demain dès l'aube », « Oh je fus comme fou… »…), de Verlaine (« Mon rêve familier »…), d'Apollinaire (Poèmes à Lou…), d'Aragon… Des poèmes qui permettent

place de la femme dans la société ? Objectifs méthodologiques : la question de corpus, la lecture analytique Lectures analytiques (Corpus) : Texte 1 : Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves (1678), Première partie (extrait) Texte 2 : C. de Laclos, Les Liaisons Dangereuses (1782), Lettre LXXVII Texte 3 : G. Flaubert, Madame Bovary (1857), Partie II, Chapitre 12 (extrait) Travail et évaluation : Question corpus : Quelles sont les caractéristiques des figures maternelles dans les extraits suivants 

Objet d’étude 2 : La poésie en quête de sens du Moyen- âge au 20eme s. Problématique du corpus : Remettre le monde en question Texte 4 : A.Rimbaud – Ma Bohème 1870 Question : Qu'est-ce qui donne à ce sonnet lyrique sa modernité poétique ? Appréciations : Introduction : Arthur Rimbaud → 1854 – 1891 → enfance difficile → Poète français → fugues → (période → guerre contre Prusse) → Amitié avec son professeur de rhétorique (Mr Izambard) → aide et encourage pour

rythme du texte= répétition de mêmes structures syntaxiques, de termes = métaphores + sonorités. Univers baudelairien : la femme, les correspondances entre les sens, la sensualité, le voyage et l’évasion. Blason revisité Paul Verlaine « Mon rêve familier » in Poèmes saturniens, 1866. La femme ne peut être clairement identifiée : métamorphoses. Simultanément proche et lointaine. Elle fait penser à la mort. Portrait impossible. Créature mystérieuse. Femme qui révèle les aspirations du poète :

Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? -

enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas

Texte C - Paul Eluard : «La Dame de carreau», Les Dessous d'une vie, 1926 Texte D - Claude Roy : «Tant», Le Voyage d'Automne, 1987.   Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un

par tous les auteurs. Gautier apprécie la chaleur du feu, le confort de la « chauffeuse capitonnée », la sensualité du « papier rose », la douce lumière et le « silence ». Max Jacob rêve à loisir devant « la mousseline des rideaux sur la vitre » qui le coupe du dehors. Son regard est ainsi ramené vers les objets familiers de l’intérieur. Joë Bousquet se plaint doucement d’avoir quitté le monde enchanté des « chansons » enfantines pour accéder à la « peine » des adultes. Désormais « la chambre où [il]

pour objectif d’analyser un corpus composé de plusieurs vidéos appartenant à deux entreprises et une administration ne s’adressant uniquement qu’aux jeunes et qui semblent, de par leurs différentes productions visuelles, mettre en place un monde social, un univers normatif. Ceci, dans le but de démontrer si cette représentation sociale véhicule, à son tour, une ou des représentations du « jeune ». Représentations qui renverraient, selon Pierre Moscovici, à « un corpus de thèmes, de principes, ayant

Corpus de texte : Lorsqu’on évoque Verlaine, on pense immédiatement à son amour passionnel pour Arthur Rimbaud qui lui valût un an d’emprisonnement. Il lui blessa la main par un excès de jalousie. Nous avons ici quatre poèmes écrits par Paul Verlaine, issu du mouvement romantique. Ces extraits sont : Après trois ans, «Melancholia» ; Mon rêve familier, « Melancholia » ; Promenade sentimentale ; « Eaux Fortes »  et Monsieur Prud Home, « Eaux Fortes ». Ces quatre poèmes sont tirés du même recueil