Corrosion

Définition  Le cuivre est un des premiers métaux à avoir été utilisé par l'homme. Les premières traces de son utilisation remontent à quelques 7000 ans. Son nom vient du grec Kupros (Chypre), du nom de l'île où on l'exploita dès l'Antiquité. Métal de couleur rougeâtre, il est très malléable et ductile. Allié à l'étain, il donne du bronze. Avec l'invention de la poudre à canon, le bronze, qui est un alliage de cuivre et d'étain, a été utilisé massivement. Puis est arrivée l'ère de la modernité, qui

 République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Ecole Nationale Polytechnique d’Alger Génie des Procédés Module : chimie industrielle inorganique Rédigé par le groupe 8 [] ANNEE universitaire : 2013 / 201 I. But du TP : A la fin de ce TP, nous devrions être familiarisés avec le procédé Mannheim qui sert à synthétiser l’acide chlorhydrique. II. Partie

IUT de Saint Nazaire Génie Industriel et Maintenance Analyse de la valeur Analyse de la valeur 1. Analyse fonctionnelle Bête à corne A qui rend-il service ? Sur quoi agit-il ? Filtrer le carburant Le Chalutier Filtre à gazole Dans quel but ? Filtrer le carburant d’un chalutier. BENALIOUA Issam URBANO Samuel TITA Hamza 1 26/05/2014 IUT de Saint Nazaire Génie Industriel et Maintenance Analyse de la valeur Le diagramme de pieuvre  Chalutier en fonctionnement

LES RACCORDS I) Généralité Les raccords permettent d’assembler par moyen thermique (soudure, brasure) ou mécanique (à visser) différents éléments d’installation (vanne, flexible, tuyauteries…) Chaque raccord peut être trouver dans quasiment tous les diamètres, différentes formes coude, té, Y, pied de biche, manchon…) il existe une multitude de possibilité (égal, réduit, male/male, femelle/femelle, male/femelle, à 45°, à 90°. II) Les raccords cuivre II.1 Raccords cuivre à souder

L’astérisque « * » associé aux points du barème signifie que le correcteur attribue tous les points si le résultat est exact même si la démarche n’est pas explicitée. MATHÉMATIQUES (10 points) EXERCICE 1 (6 points) Partie 1 1.1. 3+0,15 = 3,5 1.2. K = 3,5 + 21,5 + 2 + 1 K = 9,5 1.3. d = 3,9 + 5,7 d  17,72 d  18 mm Partie 2 1.4. K = \f(d – 5,7;3,9 K = \f(14– 5,7;3,9 K  4,53 K  4,5 1.5. le tuyau ne convient pas car K est inférieur à 7,5 qui correspond aux appareils installés

soufflette) Poids à vide / plein Phosphatation et liner polyéthylène / Phosphatation et résine polyester Revêtement intérieur / extérieur Agent propulseur (CO2) Températures limites d’utilisation Dimension hors tout (H x L x P) Inhibiteur de corrosion / Phosphatation et résine polyester 45 g 75 g 140 g 210 g +5 °C / +60 °C +5 °C / +60 °C -30 °C / +60 °C -30 °C / +60 °C 550 x 280 x 165 mm 585 x 280 x 205 mm 510 x 300 x 165 mm 565 x 290 x 185 mm 150 mm 190 mm 150 mm 170 mm Diamètre

de l’IHX vers deux alliages base nickel en solution solide : l’Inconel 617 et le Haynes 230. Le premier matériau a été largement étudié dans les années 1980 lors du projet allemand sur les RHT car possédant de bonnes propriétés mécaniques et en corrosion à haute température mais sa forte teneur en cobalt potentiellement activable est à considérer. Le Haynes 230, plus récent, possède des caractéristiques similaires à celles de l’alliage 617, le cobalt ayant été remplacé par du tungstène. L’objectif

RUPTURE ET ANALYSE DES FACIES DE RUPTURE Les ruptures en service sont extrêmement coûteuses : il convient de compter les heures et les productions perdues, l’image de marque abîmée, les marchés perdus… Ces ruptures interviennent sous l’effet des sollicitations que supportent les pièces excédant la résistance à la rupture des matériaux dont elles sont constituées. Il est donc important de connaître le mieux possible cette dernière propriété qui dépend de divers facteurs : température, vitesse

ouvrage en béton armé en plusieurs étapes : l'incubation : quand aucune dégradation n'est enregistrée mais les conditions favorables pour la corrosion se développe. l'amorçage est la phase de transition quand la corrosion commence par la dépassivation de l’acier. la propagation : quand la structure se dégrade par la corrosion. Lors de cette étape on constate l'apparition des premières pathologies observables qui ensuite s' intensifient pour mener à la mine de l'ouvrage.

déverminage. Elle peut être aléatoire ; dans ce cas elle se produit durant le cycle de vie utile de l’entité. Elle peut être d’usure ; dans ce cas elle se rapporte à la fin du cycle de vie du produit par des processus de détérioration par usure, corrosion, échauffement, etc. C’est ce que montre le graphique de la page suivante. 123_1 - Les défaillances - Généralités - prof.doc- Page 1 sur 20 STRATEGIES DE MAINTENANCE BTS MI LES DEFAILLANCES – GENERALITES Défaillances précoces