Corset

attention, vide le chargeur d' un pistolet sur lui dans le hall de la Factory. Les coups tirés lui transpercent le poumon, la rate, l'estomac, le foie et l'œsophage. Warhol s'en tirera de justesse, mais il ne récupérera jamais vraiment et devra porter un corset jusqu'à la fin de ses jours

violente et passionnante.  L’intérêt : le narrateur nous présent une œuvre historique et bien sociologique.  La résonance : émotionnelle et passionnante.  2.) Niveau lexical et de la mondialisation : a.) champ lexical, la passion : ‘‘déshabiller, son corset, pieds nus, lèvres balbutiantes, aime moi !, avide’’ b.) registre de langue : ‘‘N’importe ! elle n’était pas heureuse, ne l’avait pas jamais.’’ C’est une opposition a sa destinée.  c.) structure grammaticale :  Choix des pronoms : Pronoms personnel

PRÉSENTATION Composition : Le bras bionique est composé de l'ensemble du bras, ainsi que d'une sorte de corset qui la fixe au moignon. La prothèse comporte des électrodes qui la relient à la poitrine. Le bras bionique est équipé de batteries et de moteurs suffisamment miniaturisés pour atteindre la taille d'un bras normal. Il contient également six servomoteurs qui peuvent accomplir  une action dans les deux sens de rotations. Au départ, les principaux constituants étaient des câbles qui, par

ille combinaison antithèse + chiasme : "rien de mal en la vie / la privation de la vie n'est pas mal" Le tout suivi d'un exemple historique... C'est un texte manifestement inspiré directement par les philosophes grecs et latins. Très corseté (sentences, rhétorique), très abstrait, il ne correspond guère avec ce que nous savons de Montaigne... Il représente un "moment" qui ne dure pas : dans la 3ème partie, retour à la confidence, au "je", et confiance en la nature.

du val) 2. Le dormeur du Val 3. Le Bateau ivre 8. Dans quel poème Rimbaud donne-t-il des couleurs à certaines lettres de l'alphabet ? "A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles," 1. Voyelles 3. Correspondances 9. Complétez cette expression que l'on doit à Rimbaud : "Alchimie...." "Alchimie du verbe" que l'on peut trouver dans "Une saison en enfer"

dépose un timbre dans une prothèse (main) d’un mendiant qui n’a plus de membre. Ces jambes et sa main gauche sont en bois. Il y a deux chiens qui traversent la rue. Au dernier plan il y a une vitrine qui contient des prothèses (jambes, bras, pieds, corsets, perruques).

Guidait à travers la mitraille L'aigle d'airain. Il entra sur le pont d'Arcole, Il en sortit. - Voici de l'or, viens, pille et vole, Petit, petit. Berlin, Vienne, étaient ses maîtresses ; Il les forçait, Leste, et prenant les forteresses Par le corset. Il triompha de cent bastilles Qu'il investit. - Voici pour toi, voici des filles, Petit, petit. Il passait les monts et les plaines, Tenant en main La palme, la foudre, et les rênes Du genre humain ; Il était ivre de sa gloire Qui retentit. - Voici

corps désarticulé et aux yeux vides, mendie pour survivre. - Un autre mutilé, bien vêtu, le buste bien droit passe devant lui sans le regarder. 
 A l’arrière-plan, on remarque des vitrines de magasins. Un magasin où l’on vend des prothèses et des corsets, l’autre des perruques. Les mutilés et les vitrines font référence aux horreurs de la guerre (les corps blessés et les prothèses). L’orpheline fait, elle, référence aux victimes indirectes de la guerre. 
- L’artiste nous montre aussi la violence

La misère, démon, qui lui parle à l’oreille. » Champ lexical de la pauvreté dans le texte Les Misérables : « plus de lit », « une loque qu’elle appelait sa couverture », « un matelas à terre », « une chaise dépaillée » , «des bonnets sales », « son corset, vieux et usé »…. 2.Le premier texte est un extrait de poésie du recueil de poésie « Les Contemplations », on y retrouve des strophes, des rimes (ex : rime suivie : jour, amour, fille, anguille ), des vers etc.Les deux autres textes sont des extraits

fallu aussi recourir aux jeunes, aux personnes âgées et aux travailleurs indigènes venus des colonies. Après la guerre, la publication du roman de Victor MARGUERITTE en 1922, La Garçonne, et le développement de la mode garçonne ( abandon du corset et de la robe longue, cheveux courts, bras nus, ceinture basse, silhouette d'adolescente ) ont pu laisser croire que la 1ère guerre mondiale avait entraîné une révolution dans les moeurs débouchant sur une émancipation de la femme. En réalité