Cortex cérébral

force innovante, ses possibilités d’adaptation et la diversité de ses actions. Définition de la neuropsychologie La neuropsychologie est la discipline « qui traite des fonctions mentales supérieurs dans leurs rapports avec les structures cérébrales ». Hécaen 1972. Cette définition est désormais incomplète et nécessite une réécriture en fonction notamment de l’évolution : Des concepts Des méthodes Des outils de la neuropsychologie Discipline qui se situe dans le champ des

noradrénaline qui entraîne la sensation de bien-être et de plaisir, puis la sérotonine qui régule les effets des autres protéines afin de gérer et limiter les pulsions liées aux troubles bipolaires. Le taux de cortisol (hormone stéroïde sécrétée par le cortex) est également un facteur important puisqu’en cas de trop forte concentration, cette hormone devient toxique et entraîne l’incapacité à l’individu de gérer ses humeurs. Lorsqu’il n’y a pas d’empathie, il n’y a pas d’affect ; La personne bipolaire

centre nerveux strictement associé à ce réflexe, mais certaines structures cérébrales comme le noyau para-ventriculaire de l’hypothalamus, l’hypophyse, les centres respiratoires ou le tronc cérébral sont indispensables à son apparition sous le contrôle de nombreux neurotransmetteurs. Le bâillement serait déclenché à partir d’influx nés du cortex du cerveau situé entre les deux hémisphères et en avant du cerveau ou du tronc cérébral. Ce sont différentes parties du cerveau qui contrôlent le bâillement volontaire

..........................................................4 Généralités..............................................................................4 Morphologie externe du cerveau...............................................4 Lobes et gyrus cérébraux.........................................................5 Le lobe frontal......................................................................5 Le lobe pariétal.................................................................... 6 Le lobe occipital

impliquées dans les processus mnésiques, ou engrammes, notamment inconscients (Janowsky, 1994; Harris, 1995; Papalia & Olds, 1988). La mémorisation implique donc une interaction entre les différentes parties du cerveau, principalement dans le cortex. Cette opération s'étend sur plusieurs années, alors que se poursuit la réorganisation constante des traces mnésiques en présence d'un remodelage physique des circuits nerveux (Squire, 1984). Plusieurs syndromes amnésiques sont induits par une interruption

dans des fonctions ≠. A l'intérieur d'un même lobe, on a d'autres régions cérébrales (aires cérébrales qui vont être appliquées dans ≠ fonctions également). Le lobe frontal est fait d'aires cérébrales dont motrices : l'aire motrice primaire, operculaire et pré-frontale. → Contrôle et planification du mvt 1.2. Le cervelet Important dans l'équilibre/tonus musculaire/coordination motrice 1.3. Tronc cérébral Tronc cérébral = Bulbe rachidien + protubérance annulaire 1.4. Moelle épinière Importante

Tronc cérébral Le Tronc cérébral 6.- LE TRONC CEREBRAL 6.1.- Généralités, situation, sub-divisions C’est le segment du névraxe qui est placé au-dessus de la moelle, sous le cerveau et en avant du cervelet, au centre de la fosse crânienne postérieure. Le tronc cérébral est une portion dilatée du névraxe. Il présente à décrire 3 parties qui sont, de bas en haut :  a) - la moelle allongée (bulbe rachidien)  b) - le pont (protubérance annulaire)  c) - le mésencéphale (pédoncules cérébraux) 6.2

- TRONC CÉRÉBRAL (mésencéphale+pont+bulbe rachidien) L'encéphale regroupe la totalité des centres de perception, de commande et d'association du névraxe. Il comprend trois parties : - Le cerveau, dont la structure interne est particulièrement complexe, représente la masse la plus volumineuse du névraxe (4/5) et forme de nombreux replis ou circonvolutions en surface. Il renferme la majorité des neurones du système nerveux qui se répartissent en deux grands ensembles : le cortex (ou écorce

cas par exemple del’hippocampe dont la région CA3 subit des pertes neuronales importantes sous l’effet d’un stress prolongé.  D’autres études ont aussi rapporté une diminution du nombre de récepteurs aux glucocorticoïdes dans l’hippocampe et le cortex préfrontal chez des victimes du suicide. Bien qu’il soit difficile de savoir si ces changements structuraux sont d’origine génétique où le résultat d’un activation chronique de l’axe HPA, il demeurent cohérent avec l’hyperactivité de cet axe dont

l’activité cérébrale, aidant ainsi à la résolution de problèmes complexes. Plusieurs réseaux cognitifs se partagent la tâche dans notre cerveau, selon qu’il s’agisse d’accomplir des actes de routine, comme marcher, appuyer sur un bouton… ou résoudre des problèmes plus complexes. Le premier, qui peut être appelé « réseau par défaut » car son activité est permanente à l’état d’éveil, est ainsi secondé en cas de besoin par le « réseau exécutif ». Ce dernier s’identifie comme étant le cortex préfrontal