Cortex cérébral

immédiate (donc traumatisme grave). Œdème cérébral Augmentation soudaine du volume du LCR => compression, hypertension pouvant engager le pronostic vital. Peut être lié directement à l’accident mais il est souvent post chirurgical (on peut le réopérer). Lésions focales Hématome extra dural (HED) Collection de sang entre la dure mère et la voute crânienne. Conséquences : hypertension intra-cranienne (HTIC), compression possible du Tronc Cérébral EPV, urgence neuro-chir : volet crânien avec

* Onde N20 HISTORIQUE -1929: Hans Berger soulève l'hypothèse selon laquelle l'activité cérébrale spontanée peut constituer un reflet des processus mentaux, représentant alors un témoin instantané des modifications du fonctionnement mental. Les mesures de l'activité spontanée par l’EEG étant peu satisfaisantes dans ce cadre d’étude, des chercheurs se sont intéressés à l'activité électrique induite (ou évoquée) par une stimulation sensorielle. -années 60: développement des techniques de moyennage

souhaiterais exercer dans le domaine de l’enfance. Mes recherches ont plus particulièrement portées sur les enfants cérébrolésés car en lisant différents articles sur les prématurés j’ai appris que beaucoup d’entre eux naissaient avec des lésions cérébrales et développaient par la suite diverses pathologies. Parmi ces pathologies il existe une maladie qui m’était inconnue jusqu’alors qu’on appelle la cécité corticale ou cécité psychique. J’ai trouvé cette pathologie intéressante autant du point de

simples innés :  Ils sont acquis, individuels et temporaires ;  Ils ont besoin d’être entretenus pour ne pas s’atténuer et disparaître ;  Leur mise en place requiert la création d’une nouvelle voie nerveuse ; cette liaison exige l’intégrité du cortex cérébral ;  Ces réflexes conditionnels s’affinent progressivement et permettent des comportements automatiques s’ils sont entretenus ; mbegueresvt.blogspot.com III° Les activités volontaires Lorsque l’idée du professeur me semble intéressante

et élastique. Enfin, la Pie-Mère, la membrane interne, jouxte la surface du cortex cérébral. Sous l’arachnoïde se trouve un espace dit <<sous-arachnoïdien>>, qui renferme le L.C.R et de multiples vaisseaux sanguins. La deuxième principale composante du S.N.C est la moelle épinière. La moelle épinière est un cordon de tissus nerveux légèrement aplati, d’environ 45 cm de longueur. Elle part du tronc cérébral et descend jusqu’aux vertèbres lombo-sacrées du dos. La moelle épinière renferme

régulation interne ou le système nerveux parasympathique. Ce système permet le ralentissement des fonctions de l'organisme pour conserver son énergie. Des capteurs sensoriels sont place sur le tronc cérébral sous forme de ganglion pour détecter des dérèglements de l’organisme. Schéma du tronc cérébral Ces capteurs vont permettre d’envoyé un message aux glandes surrénale qui vont encore une fois sécrète des hormones : l'acétylcholine, la dopamine et la sérotonine. Schéma des glandes surrénales

de mouvements automatiques (marche, redressement..). Le mésencéphale le TC et la ME peuvent assurer des mouvements automatiques En clinique, l’équivalent d’une décortication peut être observée chez des enfants anencéphales : pas de développement du cortex (télencéphale) Un enfant anencéphale peut: téter, avaler, bâiller… . – Les tremblements : • Présents au repos et absents lors de l’exécution du mouvement suggèrent une atteinte des noyaux gris (parkinson) • Présents au cours de l’exécution du mouvement

axones des cellules ganglionnaires de la rétine se rassemblent pour former le nerf optique. C’est par lui que l’information visuelle, maintenant traduite en influx nerveux se propageant le long du nerf, se rendra jusqu’aux différentes structures cérébrales responsable de l’analyse du signal visuel. Les nerfs optiques quittent donc les deux yeux au niveau des disques optiques et se reunissent pour former le Chiasma optique juste avant l’hypophyse . Le Chiasma optique permet la decussation d’un

patiente (en bas) d'après modèle (en haut). Diagnostic La patiente a eu un accident vasculaire cérébral 30 semaines avant la manifestation des symptômes l’ayant amenée à consulter. Une IRM a été faite, elle a permis de localiser une lésion cérébrale consécutive à l'accident vasculaire. Chez cette patiente, la zone pariétale droite du cortex a été lésée à la suite de l’accident vasculaire cérébral. Figure 2 – IRM de la patiente Cas clinique Y : un patient atteint d'hémianopsie latérale gauche

part de la périphérie au niveau de nocicepteurs, chemine le long des fibres nerveuses de petits calibres, puis pénètre à l’étage médullaire. Ensuite il va monter le long de la moelle épinière et informer le tronc cérébral, l’hypothalamus et le thalamus, le système limbique et le cortex cérébral. Ceci va permettre une analyse de ce message pour en reconnaître ses composantes et pouvoir y répondre autant au niveau comportemental que physiologique. En effet, tout au long de ce trajet, il existe des points