Cortex préfrontal

mettre du sens partout, même là où il n'y en a pas. Alors, il en fait trop, amplifiant les contrastes, créant contours, couleurs, perspectives, reliefs, mouvements, en fonction de ce qu'il connaît. En effet, malgré une organisation générale commune du cortex visuel, les apprentissages et le vécu diffèrent d'une personne à l'autre, d'où une sensibilité variable à certaines illusions. CONCLUSION En conclusion, nous pouvons dire que l'œil permet la perception des images et met ainsi en relation l'œil

paradoxal : Les principales caractéristiques du sommeil paradoxal sont, comme nous pouvons le constater grâce au graphique ci-dessus, les saccades de mouvements oculaires subcontinus (voir EOG) ; l’activité électrique du cortex cérébral rapide et peu ample (voir l’EEG), intermédiaire entre l’activité cortical de l’éveil et celle de l’endormissement ; et l’absence de tonus musculaire (voir l’EMG), contrastant avec la rapidité de l’EEG. Le sommeil paradoxal correspond à un

une perception visuelle, est une construction cérébrale qui permet la compréhension de ce que nous voyons grâce à nos yeux. Comment l’œil et le cerveau permettent-ils la perception visuelle de notre environnement ? I. Des photorécepteurs au cortex visuel 1. Les photorécepteurs de la rétine sont des récepteurs à la lumière de l'environnement Livre p 26 et 27 La rétine est un tissu nerveux qui tapisse le fond de l’œil. Elle est formée de trois couches de neurones, dont celle des photorécepteurs

vont des corps genouillés jusqu’au cortex. La destruction n’atteint que les corps genouillés et ne va pas au-delà car c’est à cet endroit que se font les relais synaptiques des cellules ganglionnaires rétiniennes avec les neurones du cortex. Les fibres nerveuses venant des yeux sont détruites sur toute leur longueur (donc jusqu'à leur extrémité qui se trouve dans les corps genouillés). Au-delà ce n’est plus les cellules rétiniennes, mais les neurones du cortex et la destruction est stoppée au

mémoire. L’amygdale – il s’agit d’une partie du cerveau en forme d’amende que l’on trouve près de l’hippocampe et qui traite les émotions de la personne. Cette zone particulière aide à enregistrer les souvenirs liés aux émotions dans le cerveau. Le cortex cérébral – il s’agit de la couche extérieure du cerveau humain. C’est là qu’est stockée la majeure partie de la mémoire à long terme dans différents secteurs. Cela dépendra de l’endroit où sont stockés des souvenirs particuliers, et de ce qui met

centre intègre des afférences optiques, musculaires, tendineuses et articulaires : il contrôle la posture. - Le néocérébellum se développe à partir du paléocérébellum avec deux expansions : les hémisphères cérébelleux qui sont en relation avec le cortex cérébral, il contrôle la motricité volontaire. Le cervelet permet donc une coordination des mouvements et l’ajustement postural. 2 Le Pont (Figure 4) permet de relier le cervelet au reste du système nerveux central. C’est une voie de passage

Par exemple une personne peut avoir un système visuel en parfait état mais la liaison au cerveau qui permet la remontée des informations n’étant pas assurée, elle est aveugle. Dans ce cas nommé cécité corticale la perte résulte d’une destruction du cortex visuel bilatéral (une partie du cerveau seulement). Cette forme de cécité est parfois soumise au phénomène de « Blindsight » (vision aveugle), c’est lorsque que le patient ayant perdu la vue possède des résidus visuels capable de l’indiquer et de

vasculaire cérébral 30 semaines avant la manifestation des symptômes l’ayant amenée à consulter. Une IRM a été faite, elle a permis de localiser une lésion cérébrale consécutive à l'accident vasculaire. Chez cette patiente, la zone pariétale droite du cortex a été lésée à la suite de l’accident vasculaire cérébral. Figure 2 – IRM de la patiente Cas clinique Y : un patient atteint d'hémianopsie latérale gauche Source : http://acces.inrp.fr/acces/ressources/neurosciences/vision/cas_anomalies_vision/cas4/cas4

involontaires. Structure et fonctions : 1. Cervelet : responsable coordination motrice. 2. Bulbe rachidien : Rythme cardiaque, respiration. 3. Système réticulaire : Attention, sommeil, éveil. 4. Thalamus : Transmet information sensorielle au cortex. 5. Hypothalamus : Température corps, faim, soit, libido, motivation. 6. Septum : Réponses émotionnelles, plaisir. 7. Hippocampe : Formation des souvenirs. 8. Amygdale : Gestion des souvenirs. *Lobotomie : Technique chirurgicale = sectionner

lui oppose les neurones contrôlant volontairement ou consciemment des fonctions telles que le mouvement d’un membre. Anatomie Anatomie générale Les fibres motrices efférentes prennent naissance au niveau des centres cérébraux moteurs, appelés cortex moteur (ou aires motrices), où se situent les motoneurones. Elles cheminent ensuite dans la corona radiata et la capsule interne (qui sont des éléments de la substance blanche du cerveau), puis dans le tronc cérébral, et enfin dans la moelle épinière