Cortex visuel primaire

REPRESENTATION VISUELLE Type de source lumineuse : sources primaires qui produisent leur lumière sources secondaires qui diffusent Condition de visibilité : objet lumineux rayons provenant de l'objet doivent entrer dans l’œil de l'observateur (champ de vision) iris : diaphragme → pupille ouverture de l'iris permettant le passage des rayons lumineux cristallin : réfracte (dévie) les rayons lumineux rétine : écran où se forme l'image inversé Histoire : conception de la vision. → Moyen Age, Alhazen

prête à fournir l’énergie nécessaire à la fuite ou au combat. Les règles doivent être claires et précises pour sécuriser les élèves. Attention aux comportements vus comme agressants par les élèves : ton de la voix, irruption rapide dans le champ visuel de l’élève, gestes imprévisibles. Marquage et défense du territoire. Choix définitif d’une place en classe. Lieu spécifique : bureau à un endroit; place près de la fenêtre, au premier ou dernier rang. Graffiti sur le pupitre, décoration

sénile : observée chez les personnes âgées, la plus fréquente est la maladie d’Alzheimer. Démence avec corps de Lewy : Maladie du cerveau avec dépôt de corps de Lewy dans le cortex cérébral (dépôts microscopiques observés dans certains neurones). Se manifeste par des signes parkinsoniens spontanés, des hallucinations visuelles structurées et un fonctionnement cognitif non régulier. Démence fronto-temporale : Elle est due à l’atteinte des lobes frontaux et temporaux. Pathologie se manifestant par

l'élan dont il va tâcher de la ressaisir, j'écarte tout obstacle, toute idée étrangère, j'abrite mes oreilles et mon attention contre les bruits de la chambre voisine. [...] Certes, ce qui palpite ainsi au fond de moi, ce doit être l'image, le souvenir visuel, qui, lié à cette saveur, tente de la suivre jusqu'à moi. Mais il se débat trop loin, trop confusément ; à peine si je perçois le reflet neutre où se confond l'insaisissable tourbillon des couleurs remuées ; mais je ne peux distinguer la forme, lui

* Air France : diffusion d’une odeur qui devrait être repérable par le consommateur (par micro-capsules) * Développer une signature olfactive * Détendre des passagers anxieux // caractère holistique du marketing sensoriel (olfactif/visuel : couleurs non agressives/sonore : « musique d’ascenseur ») * Disneyland Paris_ Space Mountain. Création d’une odeur particulière (en complément de l’univers créé) * Crayola_ Crayon/Papeterie : microcapsules qui libèrent une senteur agréable

accélération subjective existe même en dehors de tout ralentissement et commence d'ailleurs dès que nous commençons à vieillir... c'est-à-dire dès notre naissance. Souvenez-vous de ce que représentait un mercredi après-midi lorsque vous étiez à l'école primaire et comparez ce vécu avec ce que représente actuellement pour vous un mercredi après-midi. Si déjà l'homme adulte jeune peut percevoir cette fuite du temps que dire de la personne âgée. Dans ses " Lettres à Alice " Lewis Caroll exprimait, avec un

par Kanner et de celle de l a DSM IV de1980, le Pr a étudié 179 enfants, en s’interrogeant sur l’hétérogénéité constatée et en préconisant des améliorations. Il a pratiqué des investigations pour différencier les types d’autisme : selon l’âge : primaire et secondaire, selon le degré de sévérité :déficitaires et haut niveau.. Cela conduit à distinguer les classiques et les atypiques ; autisme « isolé » et autisme syndromique. D’un point de vue étiologique, l’autisme syndromique renvoie à l’hypothèse

généralement admis que la base neurophysiologique d’une crise épileptique est la décharge anormale, excessive et auto-entretenue d’une population plus ou moins étendue de neurones. » (p.216) Toutes les crises se fabriquent dans le cortex.  Les éléments présents dans le cortex et qui interviennent dans la physiopathologie des crises : Neurones : cellules pyramidales, cellules d’association, axones, dendrites Fibres afférentes : thalamiques Névroglie : astrocytes protoplasmiques Le neurone épileptique :

remarquent aussi qu’il est souvent dans sa bulle, refermé, seul. « Dans la cour, on le bagarrait, on le rackettait, on l’a même retrouvé pendu par son cartable à un conteneur de recyclage, c’était un fiasco complet. ». Dans le courant de sa troisième primaire, Nicolas passe le test dans un centre agréé et le verdict tombe : 137 pour le quotient intellectuel (Q.I.) verbal et 127 pour le Q.I. de performance. Nicolas est un enfant « HP » (abréviation de « haut potentiel »).« On l’a testé dans le but de trouver

généralement admis que la base neurophysiologique d’une crise épileptique est la décharge anormale, excessive et auto-entretenue d’une population plus ou moins étendue de neurones. » (p.216) Toutes les crises se fabriquent dans le cortex.  Les éléments présents dans le cortex et qui interviennent dans la physiopathologie des crises : Neurones : cellules pyramidales, cellules d’association, axones, dendrites Fibres afférentes : thalamiques Névroglie : astrocytes protoplasmiques Le neurone épileptique :