Cortex

rétine au cortex cérébral visuel a - De la rétine au nerf optique ⇛​ La lumière est convertie en message nerveux par les photorécepteurs, ce message nerveux transite ensuite par les neurones par les neurones bipolaires et les neurones ganglionnaires qui assurent un pré traitement des messages. Les fibres du nerf optique sont des prolongements des neurones ganglionnaires. C’est donc un message nerveux de nature électrique (et non l’image) qui est acheminé par les nerfs optique jusqu’au cortex cérébral

acquérir les données à "enregistrer" : c'est chaque zone spécifique qui va s'en charger, en fonction de la nature de l'information (image, son, odeur…). Mais l'hippocampe ne peut pas "stocker" les souvenirs. Ces derniers sont donc conservés dans le cortex (lobe pariétal, temporal et occipital). La mémoire associativeL'hippocampe intervient à nouveau lorsqu'il s'agit de rassembler différents éléments ; c'est la mémoire "associative". C'est ce même mécanisme qui entrerait en jeu lors des rêves : l'hippocampe

centre intégrateur de la vision : le cortex visuel. CINQUIÈME COURS : SAMEDI 25 NOVEMBRE B. Le cerveau et l’intégration de signaux → Diapo encéphale complet et transparent PET, doc du bas ⇒ aire occipitale Le cortex visuel est un feuillet de 2 mm d’épaisseur et de quelques cm² de surface ; il contient environ 200 millions de cellules et se situe à l’arrière du cerveau, au niveau de la zone occipitale. Au niveau de l’œil : Rétine périphérique et fovéa Cortex Cortex déplié (en forme de poire) Projection

motoneurones des muscles extenseurs du cou, du tronc et des membres inférieurs (articulations proximales) 2.1 Les voies ascendantes de la sensibilité 2.1.3 L’audition 2.1 Les voies ascendantes de la sensibilité 2.1.3 L’audition Tonotopie du cortex auditif FIG 10 2.1 Les voies ascendantes de la sensibilité 2.1.4 La vision Voie visuelle rétino-géniculo-striée (90% des fibres) Elaboration d ’un signal électrique transmis aux cellules relais et qui quitte la rétine par le nerf optique

fonctionnelle de l’aire motrice primaire : description préalable à l’étape 1· Doc. 5 : cortex moteur localisé entre les lobes frontaux et pariétaux (partie postérieure du lobe frontal en fait) avec une répartition des neurones moteurs dépendant des parties du corps gérées (mains dans la partie supérieure, visage plus bas, etc.)· Doc. 5 : cortex moteur droit localisé dans l’hémisphère gauche et inversement pour le cortex

COURS : Génotype, phénotype et système nerveux Chapitre n°1 : Réflexe myotatique et maintien de la posture Chapitre n°2 : Le message nerveux et son intégration Chapitre n°3 : Le cortex sensoriel et la plasticité cérébrale Chapitre n°1 : Réflexe myotatique et maintien de la posture Quel rôle joue le système nerveux dans la posture du corps ? Rappel : Le neurone A – La posture ; un équilibre permanent Voir. TP n°1 : Le rétablissement de l’équilibre 1. Les muscles et la posture

Ils prennent origine au niveau du cortex cérébral moteur, traversent la profondeur du cerveau arrivent au niveau du tronc cérébral et se projettent au niveau de la corne ventrale de la moelle épinière. A cet endroit, les fibres pyramidales se connectent directement avec les motoneurones

glutamatergiques (Structure glutamate) (Poly I, p1 : 5 circuits glutamatergiques cérébraux) Le glutamate est ubiquitaire (on le trouve partout et peut agir sur pratiquement tous les neurones). De nombreuses voies l’utilisent comme NT. La voie b part du cortex (où se trouvent les corps cellulaires) et projette dans le striatum. C’est une voie descendante cortico-striatale. Le striatum est composé d’une partie dorsale et d’une partie ventrale (noyau accumbens). 1. Le striatum Le striatum est composé du

volontaire CHAPITRE 2 CERVEAU ET MOUVEMENT VOLONTAIRE Connaissances Capacités, attitude Cerveau et mouvement volontaire Le cerveau est composé de neurones et de cellules gliales assurant le bon fonctionnement de l’ensemble. L’exploration du cortex cérébral permet de situer les aires motrices spécialisées à l’origine des mouvements volontaires. Les messages nerveux moteurs qui partent du cerveau cheminent par des faisceaux de neurones qui « descendent » dans la moelle jusqu’aux neurones

Adaptation à l’émotion •  Chez l'humain, des réponses comportementales originales tirant profit de nos capacités cognitives accrues s'ajoutent souvent à la panoplie de base. Mais ces capacités cognitives proprement humaines que nous confère notre cortex peuvent aussi être à l'origine de peur, d'anxiété et d'angoisse •  D'un point de vue psychologique, la peur, l'anxiété et l'angoisse désignent trois réalités distinctes. Elles sont toutefois apparentées et peuvent aussi être considérées comme trois