Cosette Héroïne

une telle occasion de se satisfaire ! […] Psyché ouvrit la boîte en tremblant ; et à peine l’eut-elle ouverte qu’il en sortit une vapeur fuligineuse1, une fumée noire et pénétrante qui se répandit en moins d’un moment par tout le visage de notre héroïne, et sur une partie de son sein. L’impression qu’elle y fit fut si violente que Psyché soupçonna d’abord quelque sinistre accident, d’autant plus qu’il ne restait dans la boîte qu’une noirceur qui la teignait toute. Jean de La Fontaine, Les Amours

suis arrivée à la jeune fille qui est devant toi. C’était en 1926... » Ce parfum démodé, ces chaussures, ces singuliers habits... Guillaume repense aux films, ayant pour cadre « les années folles »,qu’il a pu voir à la télé. Effectivement, les héroïnes portaient ce genre de tenue... « ... En ce temps-là,j’avais déjà le désir ardent qui ne m’a jamais quittée depuis... — Quel désir ? —ÉCRIRE. » Comme elle a dit ce mot gravement ! Surpris, son interlocuteur scrute avec attention l’ombre sous

que la pitié (l. 17-18), émotion attendue pour le tragique, ainsi que la terreur inspirée par des héros coupables de forfaits. 2. Arguments d’autorité : Horace (l. 9) et Aristote (l. 11) = grands théoriciens antiques de la tragédie. 3. Andromaque ≠ héroïne parfaite : ruse et mensonge pour sauver son fils tout en restant fidèle à son mari => elle fait croire à Pyrrhus qu’elle accepte ses condi- 1. Cette scène ne pourrait pas faire partie du répertoire classique car non-respect de la bienséance (violence

le mal comme Satan). – explorer ce qui dépasse les seules dimensions sociale et historique Ex. : dans Les Misérables, Victor Hugo fait s’affronter les personnages Valjean et Javert dans une lutte qui est celle du Bien et du Mal. Le destin de Cosette enfant, qui tient du cauchemar, est écrit comme une descente aux Enfers. Les héros se définissent ainsi par leur rapport à l’absolu : damnation de Javert, rédemption et salut de Valjean. La réalité est déchiffrée dans une dimension morale et métaphysique

..................... . ................. . .................... Par exemple • Retrouvez et corrigez les fautes qui ont été délibérément placées dans le texte suivant. " Il n'y avait que sept ou huit minutes de la lisiére du bois à la source. Cosette conaissait le chemin pour l'avoir fait bien souvant le jour. Chose étrange, elle ne se perdis pas. Un reste d'instint la conduisait vaguemment. Ble ne jetait cependant les yeux ni à droite ni à gauche, de crainte de voir des chose dans les branches

le mal comme Satan). – explorer ce qui dépasse les seules dimensions sociale et historique Ex. : dans Les Misérables, Victor Hugo fait s’affronter les personnages Valjean et Javert dans une lutte qui est celle du Bien et du Mal. Le destin de Cosette enfant, qui tient du cauchemar, est écrit comme une descente aux Enfers. Les héros se définissent ainsi par leur rapport à l’absolu : damnation de Javert, rédemption et salut de Valjean. La réalité est déchiffrée dans une dimension morale et métaphysique

faubourg Saint-Marceau. Ce faubourg (Saint-Marceau ou Saint-Marcel) qui se trouvait autrefois dans le 12e arrondissement, actuellement dans le 13e, était « le plus pauvre de Paris ». Jean Valjean, dans Les misérables, s’y réfugie après avoir enlevé Cosette aux Thénardier (cf. note de votre édition p. 81). C’est un quartier excentré, considéré comme hors de Paris, presque la campagne (ibidem) sans, manifestement, en avoir les charmes, comme on le voit lorsque Derville le découvre, horrifié par ce « 

sentiment ambigu chez l’enfant, mélange de fascination et de jalousie. Mais ces romanciers semblent aller plus loin en dotant les personnages de certaines qualités extraordinaires. Les hyperboles utilisées par Steinbeck font de Man une véritable héroïne, qui, par ses qualités, se distingue du commun des mortels. Par l’intermédiaire de « ses yeux noisette », le romancier fait le portrait de cette mère qui semble « avoir connu toutes les tragédies » et s’être élevée jusqu’à une « compréhension surhumaine

absolue a relégués au rang de courtisans. C’est, de façon discrète, une manière de suggérer que son époque est un âge de fer, et qu’elle nourrit la nostalgie d’un âge d’or : la cour des Valois de la Renaissance. La princesse de Clèves est une héroïne tragique qui, à l’instar des personnages de Corneille, n’a de raison d’être que dans les valeurs supérieures de la noblesse ; – cependant, on perçoit très vite que la cour des Valois est le lieu sordide des intrigues amoureuses et politiques, des

faubourg Saint-Marceau. Ce faubourg (Saint-Marceau ou Saint-Marcel) qui se trouvait autrefois dans le 12e arrondissement, actuellement dans le 13e, était « le plus pauvre de Paris ». Jean Valjean, dans Les misérables, s’y réfugie après avoir enlevé Cosette aux Thénardier (cf. note de votre édition p. 81). C’est un quartier excentré, considéré comme hors de Paris, presque la campagne (ibidem) sans, manifestement, en avoir les charmes, comme on le voit lorsque Derville le découvre, horrifié par ce «