Côte de Beauté

au front des violettes, Aimez la modestie en leur simple beauté. Qu’ainsi, votre parures à vos yeux soit l’emblème De toutes les vertus qui font la grâce même, Ce geste aisé du cœur dont le luxe est jaloux ; Et qu’au retour d’un bal innocemment profane, Quand vous dépouillerez l’ornement qui se fane, Rien ne tombe avec lui de ce qui plut en vous. SULLY PRUDHOMME Commentaire : Ce poème écrit en Alexandrins est une ode à la beauté naturelle et intérieure mais surtout une ode à la représentation

L'amour est l'amour de la Beauté Mais Socrate ne perd pas de vue ce qui fait l'objet de son discours : montrer, contre Lysias, que l'amour peut conduire au meilleur. Le long détour qui porte sur l'âme et son rapport au monde intelligible n'est pas une digression. C'est lui qui va permettre de montrer que l'amour, au même titre que l'art divinatoire, l'art de la purification et l'art poétique, est une forme de folie, la folie qui s'empare de l'âme quand elle est possédée par les dieux. Socrate

Gallimard, Paris, 1972, p.536 Des personnages : le Pharaon / Poëri Opposition entre la puissance et la richesse du Pharaon et la simplicité de Poëri. Ses deux personnages sont séparés par le Nil. Donc d’un côté du Nil on trouve Les Egyptiens représentés par leur Pharaon, et de l’autre côté, les hébreux représentés par Poëri. Le Pharaon : « Sa figure lisse, imberbe, aux grandstraits purs, qu’il ne semblait au pouvoir d’aucune émotion humaine de déranger et que le sang de la vie vulgaire ne colorait

méditerranéen et il aime bien la chaleur et la beauté du soleil dans les situations où il est totalement à l’aise. Quand Marie est arrivée chez Meursault pour aller à la plage, ce dernier a dit qu’elle était très belle, qu’il la voulait et que « le brun du soleil lui faisait un visage de fleur ». (p.55, l.11) Ici, le soleil est synonyme de beauté puisqu’il donne à Marie un «visage de fleur» qui donne goût à Meursault. Le soleil dessine ici Marie sous un voile de beauté avec sa peau bronzée par le soleil chaud

visuelle de la beauté, parlez-en dans une réflexion structurée que vous nourrirez d’exemples précis rencontrés au cours de cette journée Nous avons effectué une visite pédagogique à Paris dans le but de découvrir cette ville immense sous tous ces aspects, nous avons pu admirer une architecture sublime, des bâtiments grandioses, ainsi que découvrir le musée d’Orsay, le théâtre de la comédie italienne et les grands magasins. Une découverte mêlée de beauté et de grandiose. La beauté de cette ville

(''drapeau noir''), il n'y a pas d'issues. ''L'horloge'' représente le temps, l’ennui et tout simplement l’ennemi. Selon Baudelaire le temps est un fardeau, c’est un supplice. La beauté selon Baudelaire ''La beauté'' est un poème de jeunesse de Baudelaire, avec une conception traditionnelle de la beauté. La beauté est comparée à une femme (allégorie). Elle a tous les attributs de la féminité (''un seins'', ''un cœur'', ''yeux fascinants''). Elle est comparée à un sphinx et à une statue, donc

dans l’œuvre de Baudelaire reflet le dialogue eternel en lui-même. La réflexion sur la poésie est présente dans plusieurs poèmes dans le Spleen. Cette réflexion implique une réflexion sur la beauté, très important dans Baudelaire. Dans les Fleurs et le Spleen il a introduit une nouvelle conception de la beauté en incorporant le mal, l’horrible, le laid. On trouve dans la fin du poème Le confiteor de l’artiste une question qui fait référence à la conception du beau : « fuir éternellement le beau »

Duval comme une « Vénus noire » qui incarne l’amour sensuel. Le poète voit dans cette femme une source d’exotisme en de plaisir esthétique. La beauté brune de Jeanne Duval, le parfum de sa chevelure éveillent un monde de sensations et d’images sensorielles. Il aime voir « miroiter sa peau » comme l’exprime dans «Le Serpent qui Danse », et s’émeut devant sa beauté sculpturale : « Statue aux yeux de jais, grand ange au front d’airain » dans « Je te donne ces vers afin que si mon nom ». Jeanne Duval incarne

La beauté n’est­elle qu’une question d’apparences ?                    « Si l'on jugeait les choses sur les apparences, personne n'aurait jamais voulu  manger un oursin » disait Marcel Pagnol. Il soulève ici la problématique à laquelle  l’homme est confronté dans son rapport au monde : la perception qu’il a du monde  sensible au travers des apparences témoigne ‐ t’elle de la réalité du monde ? De fait, les  apparences se définissent comme ce qui se présente aux hommes dans le monde  sensible ma

quelques différences les distinguent l'une de l'autre. Le narrateur compare Clélia et la duchesse comme des femmes se battant pour être la première femme dans la vie de Fabrice. Cette compétition est plus forte que l’apparence. Ce n'est pas juste la beauté qui est mise en question, ce sont également les personnalités de ces deux femmes. De plus, l'apport de chacune pour Fabrice est très différent. Au niveau du comportement: La duchesse Sanseverina est une femme mûre, elle a de l'expérience et