Coup de tête

secoua la tête. Il s’apprêtait à remettre le parchemin dans sa poche quand tout à coup, les mots s’effacèrent, noyés par la pluie. Le petit homme cligna des yeux, perplexe, en regardant l’endroit où ils s’étaient trouvés. Lentement, d’autres mots apparurent sur le parchemin, comme écrits par une main invisible : une adresse. Le petit homme fronça les sourcils, mécontent, mais le parchemin n’était pas responsable de sa situation. Aussi, il le replia, et le remit dans sa poche. Il jeta un coup d’œil de

quatre pattes, la sueur au front malgré la fraîcheur environnante. Ses pieds heurtèrent une paroi de fer qu’il longea jusqu’à un coin. Il s’assit et ramena ses genoux contre lui en espérant que ses yeux s’habitueraient bientôt à l’obscurité. Tout à coup, le sol s’ébranla et se mit à monter, comme un vieil élévateur dans un puits de mine. Un fracas de chaînes et de poulies retentit, résonna contre les murs. L’ascenseur obscur se balançait, et le jeune homme fut pris de nausée; l’odeur d’huile chaude

son amie chère, la petite baronne de Grangerie, se disputant pour entrer avec la femme de chambre qui défendait la porte de sa maîtresse. Alors la petite marquise se leva, tira les verrous, tourna la serrure, souleva la portière et montra sa tête, rien que sa tête blonde, cachée sous un nuage de cheveux : « Qu’est-ce que tu as, dit-elle, à venir si tôt ? Il n’est pas encore neuf heures. » La petite baronne, très pâle, nerveuse, fiévreuse, répondit : « Il faut que je te parle. Il m’arrive une chose horrible

Révision examen synthèse Chapitre 3 Certains chats besoin d’être sous sédation car agressifs. Faire attention à : * Chats âgées (stress) * Griffes et dents (couper griffes avant de débuter s’il y en a) * Tjrs vérifier respiration et muqueuses de l’animal (si trop stressé, peut faire de la tachycardie) * Normal qu’il gronde un peu car stress * Poils feutrés = tondus en clinique vétérinaire sous anesthésie car tonte longue et douloureuse. Risque de coupure . * Souvent

1M12 11.12.2014 Mon premier amour 21 septembre 1943 Elle me regarde... Je préfère éviter son regard. Je sens le sang me monter à la tête. Je dois sans aucun doute être écarlate du menton jusqu'aux oreilles. - Eh vieux... ça va? J'ose relever la tête d'un mouvement léger pour lui jeter un coup d'oeil furtif. La sonnerie retentit. Ouf! Elle ne me regarde plus. Jules suit mon regard et son visage se fend d'un large sourire. Jules est mon meilleur ami d'enfance.

du renfort et la clique en tête, entre deux haies muettes de curieux, le bataillon, fleuri comme un grand cimetière, avait traversé la ville à la débandade. Avec des chants, des larmes, des rires, des querelles d’ivrognes, des adieux déchirants, ils s’étaient embarqués. Ils avaient roulé toute la nuit, avaient mangé leurs sardines et vidé les bidons à la lueur d’une misérable bougie, puis, las de brailler, ils s’étaient endormis, tassés les uns contre les autres, tête sur épaule, jambes mêlées. Le

centimètres d’eau, au loin nous pouvions voir la petite tète des girafes dépassaient du haut des arbres essayant absolument de manger la meilleur feuille d’acacia qu’il y avait. Sur le chemin nous pouvions voir le passage des éléphants car les arbustes étaient complètement aplatis par le poids et la force de cet animal. Nous étions entassé pour prendre des photos alors Julius ouvra le toit pour pouvoir avoir un meilleur panorama du paysage. Tout a coup un message arriva a la radio, ce message était en

que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux. Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot, m'obsède éveillé, épie mon sommeil

Ambre Eveil La tête appuyée contre la vitre, ses cheveux sombres tombants en cascade sur ses épaules et son regard lointain ; Elle était en compagnie de son père, fier homme, qui du haut de son mètre quatre-vingt toisait le monde, et de son titre se faisait une place dans la société. Cette société en perpétuel avancement scientifique ou l’impossible avait un prix et ou seul l’aisé survivait. Son père était l’archétype même du pseudo-intellectuel qui seulement grâce à son portefeuille garni

sélectionnant puis un clic droit > Supprimer  Supprimez la ligne 7 (originellement la ligne 27)  Insérez une nouvelle ligne 2 entre le titre et le tableau avec un clic droit > Insérer  Déplacez (couper / coller) la colonne J à la colonne G en cliquant sur la colonne J puis couper/coller  Copier le contenu des cellules E4 : E9 vers F4 : F9 et celles des cellules G4 : G9 vers H4 : H9 Mise en forme des cellules  Fusionner les cellules A1 à H1  Contenu centré horizontalement et verticalement