Coup de torchon

AU 20ème SIECLE : confrontation de quelques textes de Francis Ponge   Le cageot A mi-chemin de la cage au cachot la langue française a cageot, simple caissette à claire-voie vouée au transport de ces fruits qui de la moindre suffocation font à coup sûr une maladie. Agencé de façon qu'au terme de son usage il puisse être brisé sans effort, il ne sert pas deux fois. Ainsi dure-t-il moins encore que les denrées fondantes ou nuageuses qu'il enferme. A tous les coins de rues qui aboutissent aux

s'explique par le fait que la révolution de 1830, souvent appelé « Révolution de Juillet » , dura 3 jours : Le 27, 28 et 29 Février. On explique cette révolte parisienne, qui devient vite une véritable révolution, par les ordonnances de Saint-Cloud, coup de force constitutionnelle de Charles X qui tente de réduire les libertés individuelles. Le peuple se soulève alors, et un combat entre les insurgés libéraux ( Royalistes Libéraux, Bonapartistes et Républicains ) et l'armée royale commence : Auguste

POESIE AU 20ème SIECLE : confrontation de quelques textes de Francis Ponge Le cageot à mi-chemin de la cage au cachot la langue française a cageot, simple caissette à claire-voie vouée au transport de ces fruits qui de la moindre suffocation font à coup sûr une maladie.Agencé de façon qu'au terme de son usage il puisse être brisé sans effort, il ne sert pas deux fois. Ainsi dure-t-il moins encore que les denrées fondantes ou nuageuses qu'il enferme.A tous les coins de rues qui aboutissent aux halles

5: Ma chambre. D'un coup maman a dit qu'elle en avait assez de ma chambre, que je devais la ranger et d'enlevé mes photos de magasines punaisée car ça abîmais le papier peint, mais il n'est pas question c mes affaires pas les siennes et faut bien que je cache son affreuse tapisserie a fleur. Papa en a eut marre et a donc augmenter le son de la tv se qui a engendré un dispute entre eu deux, moi j'ai filé avec un paquet de chips a moitié entamé et un morceaux de fromage du coup maman s'est énervée

nettoyer la cuisine/coin repas, lancer le lave-vaisselle et mettre dans la machine tout le linge (bavettes, gants, torchon, lavettes) *reprendre et noter la température du frigo *vider la poubelle et remettre un nouveau sac *nettoyer les tapis bébés *lundi et mercredi = GRAND coup de balai... et remettre en place *mardi, jeudi et vendredi = GRAND coup de balai + serpillière du fond de la salle (porte bureau) au fauteuil (bleu – porte salle de change) et remettre la barrière

marchait. Boche lâchait la redingote ou le pantalon dont il refaisait les boutonnières, venait de son côté surveiller ses hommes. Et tous deux, debout en face des ouvriers, les mains derrière le dos, fumant, crachant, passaient la journée à juger chaque coup de pinceau. C'étaient des réflexions interminables, des rêveries profondes pour un clou à arracher. Les peintres, deux grands diables bons enfants, quittaient à chaque instant leurs échelles, se plantaient, eux aussi, au milieu de la boutique, se mêlant

qu'est ce qu'elles disent? 3. La rencontre 4. „Femmes de Paris, en avant!“ 5. „Notre ventre nous appartient“ 6. „Plus jamais ne nous marions!“ 7. Révolution dans la révolution 8. „Nous libèrerons la sexualité!“ 9. „Le torchon brûle“ 10. Entre nous soit dit 11. Aux journées de la Mutualité 12. „Avortement libre et gratuit!“ 13. L'interruption volontaire de grossesse Conclusion:“Cours, petite soeur, les avants-gardes sont derrière toi!“ Deuxième partie:

catin. Qu’elle était d’ailleurs. Angèle se leva. Tout cela était bien fini maintenant. Il fallait que la mort quitte la maison. Les bougies tout d’abord. Et puis les chaises, serrées en rang d’oignon le long du lit. Ensuite, le balai. Un coup d’œil au jardin en passant. Non, décidément, il n’était plus là, penché sur ses semis, essayant pour la troisième fois de la journée de voir si les radis venaient bien. Il n’était pas non plus là-bas, sous les saules. Ni même sous le pommier, emplissant

participer. Ces dernières reposent tous et attendent en rigolant. Je leur explique le déroulement de la séance. C’est à dire que l’on va détacher chaque feuille dans un saladier, rempli d’eau, afin de pouvoir laver ces dernières. Ensuite nous allons les couper et ôter les côtes. A cette dernière consigne, Mme R et Mme X s’étonnent et me demande pourquoi on enlève les côtes. Elles m’expliquent qu’elles n’ont jamais enlevé quoi que ce soit et que tout se mange. Je leur rappel que le plat sera partagé par

réaliste qui nous plonge dans l’Algérie dès début de la colonisation jusqu’au milieu de la guerre d’Algérie). Au CDI Cinéma : - David Lean, Lawrence d’Arabie, 1962. (le Proche Orient pendant la Première guerre mondiale) - Bertrand Tavernier, coup de Torchon, 1981. (sur la communauté européenne en Afrique noire) - Richard Attenborough, Gandhi, 1982. (la biographie du leader indien). - René Vautier, Avoir vingt ans dans les Aurès, 1971. (sur la guerre d’Algérie) - Laurent Herbier, Mon colonel, 2006