Coup du chapeau

"Trouvez vos propres logements," avait-il dit, "et va(est d'accord) ensuite et le rapport à la Branche Le directeur(manager) aussitôt que vous vous êtes installés. " Billy avait dix-sept ans. Il portait un nouveau manteau bleu marine, un nouveau chapeau mou brun et un nouveau costume(procès) brun et il se sentait bien. Il a marché vivement en bas de la rue. Il essayait de faire tout vivement ces jours. Le fait d'être vif, il avait décidé, était une caractéristique commune de tous les hommes d'affaires

Nous entrâmes dans la pièce. Quand elle ôta son chapeau, je fus surpris de la blancheur de ses cheveux :  Qu’elle a vieilli ! Quelle déception !. Malgré le choc de ces premiers instants, et pour dissimuler mon embarras, je me mis à genoux, prenant ses mains. Une multitude de souvenirs me revint en mémoire. Sa beauté, sa silhouette, ses gestes, sa sensualité, sa bonté, son âme, tout son être me transportait. Au moment où je parlai, le passé rattrapait le présent et je retombais en adoration pour

| +400°c | | Amiante incarel | +70°c 250°c | - fouloir : il est appelé, chapeau, son rôle c’est de maintenir en place les tresses. - grain de fond : il fait le rôle de butée. - lanterne : Elle permet le passage d’un Lubrifiant dans la presse étoupe, Ce lubrifiant peut être

de la comédie, distractive et pédagogique est illustrée par notre corpus qui comprend trois extraits de comédie qui s’échelonnent du 17ème siècle à nos jours. Notre corpus contient un extrait du Bourgeois gentilhomme écrit par Molière en 1670, Un chapeau de paille d’Italie de Labiche rédigé en 1851 et enfin de la tragique comédie de La Cantatrice Chauve écrit par Ionesco en 1950. A cet ensemble s’ajoute une page du Gargantua de Rabelais qui appartient au genre romanesque de 1534. Dans un premier

porte, – ouvrez cette fenêtre. Ruy Blas obéit, puis, sur un signe de don Salluste, il sort par la porte du fond. Don Salluste va à la fenêtre. Ils dorment encor tous ici, – le jour va naître. Il se tourne brusquement vers Gudiel. Ah ! C'est un coup de foudre ! ... – oui, mon règne est passé, Gudiel ! – renvoyé, disgracié, chassé ! – Ah ! Tout perdre en un jour ! – l'aventure est secrète Encor, n'en parle pas. – oui, pour une amourette, – Chose, à mon âge, sotte et folle, j'en convien ! –

Ruy Blas obéit, puis, sur un signe de don Salluste, il sort par la porte du fond. Don Salluste va à la fenêtre. Ils dorment encor tous ici, – le jour va naître. Il se tourne brusquement vers Gudiel. Ah ! C'est un coup de foudre ! ... – oui, mon règne est passé, Gudiel ! – renvoyé, disgracié, chassé ! – Ah ! Tout perdre en un jour ! – l'aventure est secrète Encor, n'en parle pas. – oui, pour une amourette, – Chose, à mon âge, sotte et folle, j'en convien ! –

temps étudier la mise en place de l’intrigue, pu 1/ La mise en place de l’intrigue A/ Chute de la scène Nous pouvons alors relever les dernières parole de Don Salluste à Ruy Blas, ligne 657 « De Plaire à cette femme et d’être son amant ». Ce coup de théâtre marque la fin de l’exposition qui s’étendait depuis la première scène jusque là, et il est un événement si brutal et innatendu que même Ruy Blas ne l’imaginait pas, comme sa question posée juste avant le montre ligne 654 « Et que m’ordonnez-vous

coin gauche du chiffonnier, le dos tourné à la baie ; il consulte un dossier qu’il a retiré d’un des tiroirs ouverts devant lui. Un léger temps. La porte fond gauche s’entrouvre lentement et l’on voit se glisser la tête d’Antoinette. Elle jette un coup d’oeil inquisiteur dans la pièce, aperçoit Camille à son occupation, gagne jusqu’à lui sur la pointe des pieds, lui saisit, par derrière, la tête à deux mains et lui donne un brusque baiser. Camille, surpris et reprenant tant bien que mal son équilibre

sombre, toute cette ombre était pleine d’horreur. Javert demeura quelques minutes immobile, regardant cette ouverture de ténèbres ; il considérait l’invisible avec une fixité qui ressemblait à de l’attention. L’eau bruissait. Tout à coup, il ôta son chapeau et le posa sur le rebord du quai. Un moment après, une figure haute et noire, que de loin quelque passant at-tardé eût pu prendre pour un fantôme, apparut debout sur le pa-rapet, se courba vers la Seine, puis se redressa, et tomba droite

l'exécution. Versaillais ou Parisiens se pressaient derrière les barrières. La guillotine, venue par le train, est montée à 2 h 50. Le nouveau «Monsieur de Paris», surnom que l'on donnait depuis longtemps au bourreau, avait soigné sa mise: gabardine et chapeau mou, barbiche blanche soigneusement taillée. Les policiers font la chasse aux photographes, cachés dans les arbres ou derrière les fenêtres des appartements mitoyens. En douze secondes L'exécution, prévue à 3 h 50, n'aura lieu qu'à 4 h 30, une