Coup du chapeau

oiseau ; Nage, nage petit matelot POMME DE REINETTE Pomme de Reinette et Pomme d'Api Tapis tapis rouge, Pomme de reinette et Pomme d'Api Tapis tapis gris. Cache ton poing derrière ton dos Ou j’te donne un coup d'marteau... Boum!!! BONJOUR Bonjour tout va bien J’ai mes dix doigts, mes deux mains Deux yeux encore fatigués Comme tout les matins !! AINSI FONT,FONT,FONT Ainsi font, font, font, les petites marionnettes, Ainsi font, font

Molière,L’avare, acte IV, scène 7 : ***** Harpagon : (Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.) Musique en arrière plan: La Tempête de Beethoven « Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! » Molière pousse un hurlement a l’extérieur puis nous le voyons arrivé dans salle en courant et en criant très fort.Il parle vite. « Justice, juste ciel ! » Il joint ces deux mains et les lève vers le ciel. « Je suis perdu, je suis assassiné ; » Harpagon met

indépendance. Arlequin aime s’amuser et faire de l’esprit. Il reste avant tout un personnage comique et divertissant. Costume Il porte un chapeau qui ne couvre pas complètement son crâne rasé. Sa toque est ornée d’une queue de lièvre. Mais ce dernier peut être représenté de plusieurs façon, est encore aujourd’hui on retrouve différentes formes de son chapeau, souvent pésent dans les deguisement d’anfatnts pour le carnaval. Son costume, gardant les origines bergamasques, haut en couleur avait peut-être

matériaux : « une poutre » vers 17. Mais outre son désordre, ses embouteillages, la ville se charge ici d'un aspect dangereux. Le narrateur en fait lui même les frais au vers 8 qui, en s'enchaînant rapidement semblent illustrer le coup reçu  : « je vois d'un autre coup mon chapeau renversé ». De cela ressort l'image d'une violence. Dans Les usines par Verhaeren on constate une répétition de « ronflent »vers 7 et 16 en parlant des usines et des fabriques qui marche jours et nuits qui provoque une atmosphère

Greenslade au siège de Londres lui en avait vanté les charmes. «Trouvez-vous un logement, faîtes le nécessaire et prévenez votre chef de bureau dès que vous serez installé.» Billy avait dix-sept ans. Il portait un manteau bleu marine neuf, un chapeau brun neuf, un costume brun neuf, il était tout neuf et il se sentait ainsi tout à fait admirable. Il descendait la rue à pas vif. L’énergie, avait-il décidé, était la principale qualité nécessaire au succès de tout homme d’affaires. Tous les cracks

heureuse. La douceur du milieu avait fondu sa tristesse. Tous les jeudis, des habitués venaient faire une partie de boston. Félicité préparait d'avance, les cartes et les chaufferettes. Ils arrivaient à huit heures bien juste, et se retiraient avant le coup de onze. Chaque lundi matin, le brocanteur qui logeait sous l'allée étalait par terre ses ferrailles. Puis la ville se remplissait d'un bourdonnement de voix, où se mêlaient des hennissements de chevaux, des bêlements d'agneaux, des grognements de

La douceur du milieu avait fondu sa tristesse. Tous les jeudis, des habitués venaient faire une partie de boston. Félicité préparait d'avance, les cartes et les chaufferettes. Ils. arrivaient à huit heures bien juste, et se retiraient avant le coup de onze. Chaque lundi matin, le brocanteur qui logeait sous l'allée étalait par terre {text:soft-page-break} ses ferrailles. Puis la ville se remplissait d'un bourdonnement de voix, où se mêlaient des hennissements de chevaux, des bêlements d'agneaux

HARPAGON, il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau. Au voleur! au voleur! à l'assassin! au meurtrier! Justice, juste Ciel! Je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être? Qu'est-il devenu? Où est-il? Où se cache-t-il? Que ferai-je pour le trouver? Où courir? Où ne pas courir? N'est il point là? N'est-il point ici? Qui est-ce? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin... (il se prend lui-même le bras.) Ah! c'est moi. Mon esprit est

(miroir) C: Le registre comique Conclusion Mais voilà qu'en s'apercevant brusquement dans sa glace, il de ne s'était même pas reconnu ; il s'était pris pour un autre, pour un homme du monde, qu'il avait trouvé fort bien, fort chic, au premier coup d'oeil. Et maintenant, en se regardant avec soin, il reconnaissait que, vraiment, l'ensemble était satisfaisant. Alors il s'étudia comme font les acteurs pour apprendre leurs rôles. Il se sourit, se tendit la main, fit des gestes, exprima des sentiments

avait souvent dit qu’elle était laide ; Jean Valjean seul disait doucement : Mais non ! mais non ! Quoi qu’il en fût, Cosette s’était toujours crue laide, et avait grandi dans cette idée avec la résignation facile de l’enfance. Voici que tout d’un coup son miroir lui disait comme Jean Valjean : Mais non ! Elle ne dormit pas de la nuit. — Si j’étais jolie ? pensait-elle, comme cela serait drôle que je fusse jolie ! — Et elle se rappelait celles de ses compagnes dont la beauté faisait effet dans le