Couperet

Résumé : Burke Devore est au chômage depuis plus de deux ans, il a été licencié après quinze ans de travail dans la même usine. Son licenciement est dû aux compressions, et non, pour faute professionnelle. Burke Devore voit ainsi sa vie s’écrouler, sa situation familiale, sociale, sentimentale…Son emploi représentait pour lui « sa vie », il retrouverait sa vie normale seulement s’il retrouvait un emploi dans la même branche. Pour sauver sa situation Burke Devore va prendre des décisions et des

Chapitre 43 : Rencontre avec « Urf » *Proposez un plan de chapitre qui mette clairement en évidence l'évolution des rapports de force entre Burke et Fallon. L'évolution des rapports de force entre Burke et Fallon vont crescendos en effet lors de leur première rencontre, Fallon découvre Burke endormis sur le fauteuil dans son bureau car Burke attendais celui ci pour le tuer mais il s'est assoupi. Fallon, tiens un revolver dans sa main droite donc il y a un retournement de situation puisque

→ Tromperie (ex : triangle qui renvoie au couperet). * Processus d’identification. Le texte est construit en énigme. On retrouve un processus de retardement : on retrouve le vocable triangle (propriété intrinsèque) et non couperet. Le retardement égare le lecteur dans la recherche du mot. On passe donc par des catégories extrinsèques pour mieux comprendre les sens des mots. EXEMPLE : triangle renvoie au couperet car le couperet a une forme triangulaire. Le triangle : 1. figure

le fatal couperet … comme la faulx "… - personnification 2eme strophe, " la peine de mort était entrée en son palais " 3- Comment comprenez-vous le premier vers ? Quels éléments expliquent les premiers mots ? Il est fait allusion à une exécution capitale. Faulx, fatal, triomphait, tache rouge. Ce lexique sous entend que l'exécution est capitale, récente et achevée. 4- Quelle figure de style désigne l'expression " fatal couperet " (v 7) ? Relever le lexique annonçant ce fatal couperet. Définissez

Mademoiselle Spiess et Röschen sont-elles renvoyées de la pension ? Le Couperet 2) Qui sont Dembat et Rose ? 3) Comment se manifeste le tempérament menteur et hypocrite de Julia Devincet ? 4) Quelle carrière sa famille envisage-t-elle pour Emile, dans l’avenir ? Mais, du haut de ses huit ans, qu’a décidé, pour sa part, le jeune garçon ? 5) Pourquoi Emile s’entaille-t-il le doigt d’un coup de couperet ? Dolly Jackson 6) Qui raconte l’histoire de Dolly Jackson 

XX Auteur: Donald Westlake Titre: Le Couperet Chap 1 à 5 Résumé: Burke Devor, un père de famille, ancien employé d'une papeterie, qui se fit licencier pour cause de restructurations. Il invente alors un stratagème et ouvre une boite aux lettres pour récuperer les CV de ses principales concurrents. Il tue avec un Luger( son arme) ces concurrents. Citation: "Je n'ai encore jamais tué personne" 16 Siècle: XX Auteur: Donald Westlake Titre: Le Couperet Chap 6 à 14 Résumé: Il rencontre Upton

réduit à deux traits ce qui fait penser aux narines de serpents. La bouche n’a rien d’humain : ce n’est plus une bouche mais une guillotine. Ses lèvres représentent le couperet et l’emplacement de la tête du condamné. Il y a une métaphore figurative, sa bouche ouverte qui prononce la peine capitale devient elle-même le couperet meurtrier une fois le jugement prononcé. Le blanc à l’intérieur de la bouche attire l’œil du spectateur et met en valeur le dessin de la guillotine. Cette affiche est

varie et sur laquelle sont fixés deux montants verticaux hauts de quatre mètres environ, à 37 centimètres l’un de l’autre, eux-mêmes surmontés par une barre transversale et une poulie. Entre ces deux piliers coulisse une lourde lame trapézoïdale (le couperet) surmontée d’un poids métallique (le mouton) (l’ensemble pèse 40 kilogrammes). La lame est montée au sommet des montants avec une corde qui passe dans la poulie, et reste fixée à la barre transversale par un système de pince. Le condamné à mort est

Maria fut hors de l'abri des murs le froid descendit sur elle comme un couperet, et la lisière lointaine du bois se rapprocha soudain, sombre façade derrière laquelle cent secrets tragiques, enfouis, appelaient et se lamentaient comme des voix. Elle se recula avec un gémissement, referma la porte et s'assit près du poêle, frissonnante. » La comparaison faite lorsque qu’il est dit que « le froid descendit sur elle comme un couperet » vient indiquer qu’elle avait très froid. De plus, le bois qu’elle apercevait

nous fait sentir la révolte qui gronde, la colère qui monte. Les termes durs et violents sont pléthoriques ( « Les trous des boucles noires», « Le claquement des sabots sur la terre dure », « Le hérissement des barres de fer », « Le profil aigu d'un couperet de guillotine »). Tout évoque laideur et misère ( « Quels visages atroces ! » ). D'abord, trois générations de femmes s'avancent. Bien plus qu'une revendication, cette marche est un constat déchirant de la misère des ouvrières de la mine;démunies