Cour Cassation Civile 8 Novembre 1978

appliquait le droit du juge saisi. Pour la Cour le choix doit être fait en considérant chaque article, en tenant compte des objectifs de la convention dans le but d’assurer sa pleine efficacité : arrêt Tessili du 6 octobre 1976, dans lequel au demeurant elle applique la deuxième solution. Par contre elle a retenu la qualification autonome pour l’article 5-5° (litiges concernant l`exploitation d’une succursale), dans un arrêt Somafer du 22 novembre 1978. La CJCE retient une interprétation restrictive

propos des élèves de Malek Ibn Anas. Ces ouvrages sont un mélange de règles religieuses (prière, jeûne, pèlerinage), de règles de droit fiscal (zakat), de règles relatives au partage du butin, de règles de droit civil (mariage, divorce, filiation, héritage…) de règles de responsabilités civile et pénale et de règles de « droit des affaires » (mouamalat) comprenant notamment des dispositions très intéressantes sur la faillite. Ce droit sera enrichi grâce au développement commercial des arabes du VII

internes, et les sources internationales. I Les sources internes A La loi La loi joue un rôle limité en droit international privé, sauf en matière de nationalité. Le code civil comporte peu de dispositions touchant au droit international privé. La disposition la plus importante est l’article 3 du Code Civil. Selon cet article « les lois de police et de sûreté obligent tous ceux qui habitent le territoire. Les immeubles même ceux possédés par des étrangers sont régis par la loi française

qu'elles soient capables de contracter ; encore faut-il que le contenu du contrat respecte les exigences légales. De ce point de vue, deux concepts jouent un rôle essentiel, l'objet et la cause. Comme le rappellent les dispositions de l'art. 1108 du Code civil, là encore, la liberté contractuelle n'est pas sans limite. Pour que le contrat soit valablement conclu il faut, d’une part, qu’il ait un « objet certain qui forme la matière de l’engagement », il faut, d’autre part, « une cause licite dans l’obligation

C’est pourquoi est apparu dans la jurisprudence nigérienne un nouveau vocabulaire pour qualifier les règles coutumières issues de cette évolution: la notion des ‘coutumes urbaines’ (voir ci-après). Mais avant de consacrer cette notion, les juges de la Cour suprême ont commencé par préciser que la coutume doit se conformer à “l’évolution générale du pays”. Cette façon de procéder peut être plus compréhensible si l’on connaît la place que tient la coutume dans le système juridique nigérien. La coutume

Université Cheikh Anta Diop de Dakar Faculté des sciences Juridiques et Politiques *********** Année Universitaire 2011/2012 Licence 1 Sciences Juridiques Droit Civil / Groupe A 2nd Semestre Droit civil : les personnes / la famille EQUIPE PEDAGOGIQUE Chargé du Cours : Professeur Mohamed Bachir NIANG Chargés (es) des Travaux dirigés Mme Ndèye Sophie DIAGNE NDIR / M. Sidy Nar DIAGNE / M. Thomas DIATTA / M. Oumar Ahamadou DICKO / M. Cheikhou Oumar DIEYE / Melle Khadidiatou DIOP / Dr. Abdoul Aziz

pouvoir du consentement 5 Section I La dette solidaire des époux 5 A/ Le principe de l’article 220 du Code civil 5 1/ Conditions d’applications 5 2/ Dépenses exclues de la solidarité 6 B/ L’acceptation conditionnée de la solidarité ménagère pour le remboursement d’un prêt d’argent 7 C/ Intérêts / Dangers 8 Section II. La dette conventionnelle des époux 9 A/ Le principe de l’article 1415 du Code civil 9 1/ Les conditions d’applications 9 2/ L’étendue du droit de poursuite des créanciers 10 B/ Le pouvoir

Sommaires de jurisprudence annotés de la Cour de cassation − Droit immobilier CASSATION − CONSTRUCTION ET URBANISME − CONTRAT D’ENTREPRISE − LOTISSEMENTS − VENTE, par Michel Peisse 33 DROIT Distinction JANY-GABRIEL PARISE, COMMANDEUR DANS L’ORDRE NATIONAL DE LA LÉGION D’HONNEUR 41 Rendez-vous Le droit des étrangers cinq ans après Amsterdam (Saint-Denis – 25 novembre 2004) − Les garanties du contribuable : les avancées possibles (Paris – 29 novembre 2004) − Collectivités territoriales

DROIT CIVIL Les nullités en matière contractuelle I./. Questionnaire : Définissez le terme de « nullité ». Quelles sortes « d'imperfections » du contrat sont susceptibles d’entraîner laullité d’un contrat ? Quelles sont les caractéristiques de la nullité « relative » et de la nullité « absolue » ? Quelles sont les grandes hypothèses dans lesquelles un contrat peut être considéré comme nul de nullité relative ou de nullité absolue ? Quels sont les effets traditionnels des nullités ? Un contrat

apparus. Par exemple, les risques liés aux animaux. Par exemple, avec les chevaux. Les premiers à réagir sont les anglais qui ont créé à la fin du 17e siècle la première compagnie d’assurance qui garantissait les risques d’incendie, la responsabilité civile en tant qu’auteur et victime. Pour la première fois, un état autorise ouvertement qu’un contrat vue comme un contrat commercial, est réputé pouvoir porter avec une forme de spéculation sur la vie humaine. Début de l’assurance moderne. Côté française