Cour des miracles

lecteur. très forte rupture avec le récit marqué par le pronom personnel je -> désinvolture de La Fontaine qui mène sa fable comme il l'entend. Satire des courtisans (grâce à l'antithèse au chiasme et à d'autres procédés) rendu tel par l'usage de la cour Les hommes sont des automates sans personnalité marionette du roi Pour La Fontaine les courtisans sont inférieur aux animaux La Fontaine animalise les coutisans par des métaphores et il humanise les animaux -> anthropophormisme contraire de réitification

Commentaire de texte : Le Lion, le Loup et le Renard, Jean de La Fontaine. Introduction Jean de La Fontaine est un poète et moraliste du XVIIème siècle. Il a été tenu à l'écart de la cour du roi Louis XIV pour des raisons politiques, mais a connu le succès grâce à ses Fables et ses Contes. Ses Fables sont du genre de l'apologue, c'est-à-dire que c'est un récit plaisant et imaginaire, contenant une morale. La Fontaine renouvelle la forme de la fable grâce à son écriture poétique. Cette fable

animaux pour montrer les injustices de son temps. Il en a vécu une, celle de la lettre de cachet qui envoya son protecteur Fouquet en prison. Dans Les obsèques de la lionne, la fable 14 du livre VIII le fabuliste peint les mœurs hypocrites de la cour et relate la façon dont un roi-lion, trop crédule se fait duper par un Cerf très habile. Lecture Problématique Plan Lecture analytique : Obsèques : cérémonie humaine. v1 : rentre immédiatement dans l’histoire et pose le premier élément (élément

l’exemple Association animal/humain : « rougir/patois » Vers 11-13 : 3 rimes masculines qui donnent de l’eclat Langage antique : «  Messieurs les courtisans » expression pompeuse et arrogante Vers 17-23 : La Fontaine interrompt son récit : Cour=pays, distinct du reste de la France : changement des courtisans : rapidité de ces changements par le rythme et l’ordre complet des mots : antithèse : « Tristes, gais » + renversement ® chiasme. Hommes sans personnalités. Des le vers 20, le reproche

empire sur l'esprit même de ses sujets »). Il y est comparé ironiquement à un magicien ce qui fait ressortir le ridicule de la Cour qui l'entoure. Son coté belliqueux est aussi traité, il semble combattre pour de fausses raisons (« n'ayant d'autres fonds que des titres d'honneur a vendre » le « que » montre l'incrédulité du personnage). Le pouvoir royal semble tenir du miracle (« grand magicien », « prodige », « il n'a qu'à les persuader qu'un écu en vaux deux ») La hiérarchie manipulatrice dénoncé

Ces dernières années le débat pour la légalisation des drogues douce a fait couler beaucoup d’encre au Canada comme dans le monde entier. La légalisation de la drogue apparaitrait comme la solution miracle. Mais de nos jours, la demande et l’offre explosent et les pays ayant fait des expériences tel que les ‘’ cliniques américaines ‘’ , ‘’British System’’ semble avoir échoué tout l’expérience de la légalisation de Stockholm, en Hollande ou encore en Espagne. Le problème relève du fait que les drogues

Cette histoire provient des Evangiles. On en distingue deux : Evangile selon saint Matthieu : En ce temps là, Hérode le tétrarque a pris ce qu’on publiait de Jésus/ Et il dit à ceux de sa cour, « C’est Jean-Baptiste : il est ressuscité d’entre les morts, et c’est pour cela qu’il fait tant de miracles. »/ Car Hérode avait fait arrêter Jean, et l’avait fait lier et mettre en prison au sujet d’Hérodias, femme de son frère ; / Parce que Jean lui disait : «  Il ne vous est pas permis d’avoir cette

princesse à son mari (de « Eh bien, Monsieur » à « ce que je n'ai pu faire ») 1. Pouvez-vous relever dans cette phrase une subordonnée conjonctive circonstancielle ? Justifiez.« Il est vrai que j'ai des raisons de m'éloigner de la cour, et que je veux éviter des périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge . »Cette phrase est une phrase complexe certes mais elle ne comporte pas de subordonnée conjonctive circonstancielle . Cette phrase compte deux subordonnées conjonctives

L’ancien français (12e-13e s.) - On continue à écrire en ancien français pour la littérature. - Pour la justice /politique, il y a quelques textes administratifs en ancien français (c’est nouveau). - À la cour royale on voit l’usage du francien s’imposer. Le moyen français (14e-16e s.) - François 1er publie un édit qui impose le francien pour la justice/ la politique au lieu du Latin. - La langue française évolue

la tentation. Avant notre extrait, Mr de Clèves est mort de jalousie, se croyant trahi. La princesse de Clèves s’isole de la cour et de M. de Nemours, et prend conscience de sa culpabilité. Cette entrevue est organisée à l’insu de la princesse par le vidame de Chartre. Elle a décidé de ne pas céder à l’amour de Nemours mais elle n’a pas encore choisi de se retirer de la cour. En quoi cette scène montre-t-elle que le roman est conforme à la vision des classiques ? Dans un premier temps, nous nous