Cour suprême d'Israël

SOMMAIRE INTRODUCTION PARTIE I I.Présentation de l’état d’Israël A. Aspects géographiques B. Aspects démographiques C. Aspects économiques D. Aspects politiques E. Évolution du tracé de la frontière Israélo-palestinienne 1. 1947, le plan de partage 2. 1949, l’armistice 3. 1967, Après la guerre des 6 jours 4. 2000, L’état actuel F. Jérusalem, une ville millénaire 1. Une ville « trois fois sainte » 2. Une ville bipolaire G. Les relations internationales 1. Tour d’horizon des relations les plus fortes

moralité de la peine capitale. À partir de la dernière moitié du XXe siècle, un nombre croissant de chefs religieux, notamment au sein du judaïsme et du catholicisme romain, ont fait campagne contre la peine capitale. Elle a été abolie par l'État d'Israël pour tous les délits, à l'exception de la trahison et des crimes contre l'humanité, et le pape Jean-Paul II l'a condamnée comme "cruelle et inutile". Arguments pratiques La question de savoir si la peine capitale peut être administrée d'une manière

où Rabbi Gershom ben Yehudah (960 à 1030 de notre ère) a émis un décret contre elle. Les communautés juives sépharades qui vivent dans les pays musulmans ont perpétué cette pratique jusqu'à aussi tard que 1950, année où une loi du rabbin en chef d'Israël le leur interdit.  Le Coran permet une polygamie limitée "n'en épousez qu'une seule". Cette phrase se trouve dans un verset de la sourah an-Nisa du Coran:"Il est permis d'épouser deux, trois ou quatre parmi les femmes qui vous plaisent, mais

contrastes fortement revendiqués (tous les pays du Moyen-Orient à l’exception du Liban et de l’Israël sont majoritairement musulmans). Cependant, la plupart des gouvernements politiques revendiquent en eux leur religion, par exemple : le judaïsme d’Israël est la principale raison de la création de cet Etat. On peut donc mêler la religion au sein des tensions politiques (exemple : le conflit israélo-palestinien). Les Frontières politiques sont donc en quelque sorte religieuses également. Les idéologies

...............................................................................................................................p. 17 1 UNJF - Tous droits réservés La Constitution a une valeur symbolique autant qu'une valeur juridique de règle suprême, car elle justifie la fondation d'un Etat, comme ce fut le cas aux Etats-Unis d'Amérique et dans les Etats africains après la colonisation. L'idée d'une « Constitution européenne » dans les années 2000 obéissait à cette logique, même si l'Etat européen

la machine normative. Le pouvoir juridictionnel, le contrôle de l’application, n’est pas tellement efficace car les États sont souverains et donc sont libres d’accepter ou non les juridictions. La France a par exemple refuser la compétence de la Cour internationale de justice. Les moyens de coercition sont faibles, la décision est donnée au conseil de sécurité. Le problème c’est que les États ne vont pas accepter la juridiction, par exemple il suffit de se retirer du traité d’anti-prolifération

légalement une personne à un État (ressortissant d’un État). La détermination du lien de nationalité appartient exclusivement à l’État. Ce caractère exclusive a été affirmé par la CPJI (Cours Permanente de Justice Internationale) c’est l’ancêtre de la Cour International de Justice (CIJ). Elle l’a affirmé dans un avis de 7 février 1923. « Affaire des décrets de nationalité en Tunisie et au Maroc » En 1921, le gouvernement français exerçait son protectorat sur la Tunisie et le Maroc. Dans le cadre de

globalement admis que les personnalités politiques catholiques présentent une plus forte probabilité d'être contre la peine de mort, ils sont alors susceptibles d'être reçus et honorés par le pape[162],[163]. Pour ce qui est du judaïsme, l'état d'Israël n'applique pas la peine de mort, l'on peut citer en appui les dires de Moïse Maïmonide : « Il est plus satisfaisant d'acquitter des milliers de coupables que de mettre à mort un seul innocent[164] ». Le Dalaï Lama est également opposé à la peine

les Hébreux ont longuement séjourné à Sumer. - Sargon, roi des Akkadiens, a-t-il servi de modèle à Moïse ? Sharukin (Sargon) a une naissance mystérieuse. Il est trouvé, comme Moïse, dans une corbeille sur le fleuve. Recueilli et élevé à la Cour du roi de Kish, il devient jardinier, puis renverse son bienfaiteur et lui succède. Naram-Sin, petit-fils de Sargon, se donnele titre de «roi de l’univers» et de «dieu d’Agadé». La croyance de diverses cités en un dieu commun apparaît comme un

Hormis cette référence à la table des peuples (Genèse, X, 15-19), les Cananéens sont d'origines diverses et organisés en clan jusqu'à ce qu'ils disparaissent complètement à la fin du deuxième millénaire av. J.-C. Vers la fin du règne de Salomon, roi d'Israël, les Cananéens étaient pratiquement assimilés au peuple hébreu sur lequel ils semblent avoir exercé une influence religieuse. Tous les peuples s'installèrent au pays de Canaan avec leurs dieux. Aussi, de la rencontre de ces peuplades naquit une