Courbe de niveau

(dérivée : fonction continue)] *reste valable en cas d’utilité totale ordinale : valeur symbolique B. La courbe d’indifférence On fixe un niveau d’utilité donné. Elle représente l’ensemble des combinaisons de (x ;y) permettant d’obtenir ce niveau d’utilité. Propriétés : - courbe décroissante - courbe convexe - plus la droite s’éloigne de l’origine plus l’utilité est élevée - deux courbes ne peuvent pas se croiser Les biens ne sont pas aimés/Un des deux n’est pas aimé/Les biens sont équivalents/Les

l'aide de courbes d'indifférence. Les courbes d'indifférence représentent toutes les combinaisons de paniers de biens auxquelles un individu est indifférent (c'est à die qui procure la même satisfaction). Le consommateur préfère toujours un panier « au-dessus » de la courbe d'indifférence à un panier « sur » la courbe d'indifférence. De même, le consommateur préfère un panier « sur » la courbe d'indifférence à un panier « au dessous » de la courbe d'indifférence. Les pentes des courbes d'indifférence

poursuivent leurs propres objectifs maximisent le bénéfice total que la société dérive d’un marché compétitif : on peut alors dire que ce marché est efficace. Dans un marché de biens normaux, en concurrence pure et parfaite, le prix du bien s’établit à un niveau qui équilibre l’offre et la demande. La quantité d’équilibre est efficace en ce sens qu’elle maximise le surplus du consommateur et du producteur. Ainsi le marché alloue les ressources de manière à maximiser la valeur accordée par les consommateurs

Nord-Est. On peut voir cela dans le graphique 1 : Partant du point A, et tenant constante la quantité consommée du bien x, un passage à B (une augmentation de la consommation de y) procure un niveau d’utilité plus élevé (une courbe d’indifférence plus éloignée de l’origine). Atteindre un niveau d’utilité plus élevé en consommant davantage est synonyme d’une utilité marginale positive : chaque unité supplémentaire procure de la satisfaction, pas du dégoût. Y Graphique 1

c’est créer de l’emplois et inversement ne pas avoir de croissance c’est développer du chômage. La croissance correspond en général à un accroissement de richesse, de niveau de vie, de bien-être. Cette notion est très importante pour les pays en développement (les pays les plus pauvres), elle correspond à une amélioration de leur niveau de vie. Aujourd’hui notre modèle de croissance est remise en cause : trop de pollution, de gaspillage… La croissance doit être limitée. On voit une certaine perspective

DANS LA SOCIÉTÉ........................................... 25 1.1 La possibilité de production et la nécessité des choix.................................................... 25 1.2 La courbe des possibilités de production ....................................................................... 26 1.3 Déplacements de la courbe des possibilités ................................................................... 26 II. LA FIRME, SES OBJECTIFS ET SES CONTRAINTES............................................

politique monétaire plus souple, plus adaptée à la croissance, contrairement à l'Europe qui a eu du mal avec l'unification monétaire. - Le rôle du marché du travail. L'Europe connaît un taux de chômage moyen qui est, en moyenne, plus du double du niveau américain. La croissance plus forte des Etats-Unis explique que le taux de chômage soit plus faible, mais la causalité inverse est possible. 2. L'Union Européenne Le PIB de l'Union est de 8147 milliards d'euros. Son taux de croissance tournait

Les courbes d’indifférence Pour un consommateur donné, une courbe d’indifférence est constituée d’une multitude de paniers de biens représentés dans l’espace des biens, chaque panier procurant le même niveau de satisfaction à celui qu’on appelle consommateur. La courbe d’indifférence ne peut être que décroissante (respecter la monotonie des préférences). La courbe de satisfaction est croissante. Ces courbes doivent être toujours parallèles entre elles. Il y a une infinité de courbes d’indifférence

dérivées partielles : ou encore l’utilité marginale d’un panier de biens est la somme des utilités marginales partielles ie de chaque bien. b) Représentation graphique Voir graphique en annexe 1.2 ) Théorie de l’utilité ordinale ( courbe d’indifférence et TMS) 1.2.1 ) L’étude des préférences des consommateurs a) Théorie de l’utilité cardinale ou de l’utilité ordinale ? Sur le plan méthodologique, on fait face à un problème dans l’approche marginaliste. L’approche marginaliste

a pour objectif la détermination du niveau de revenu global et du taux intérêt de telle façon que les marchés des biens et services (IS) et le marché de monnaie (LM) soient en équilibre simultanément. La courbe IS représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux intérêt et du niveau de revenu compatible avec l’équilibre sur le marché des biens et services. La courbe LM représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux intérêt et du niveau de revenu compatible avec l’équilibre