Courbe De Phillips

caractéristique de la situation du début des années 70 - 1973 après le 1°choc pétrolier pour être plus précis). Le phénomène de stagflation remet en cause les théories de PHILLIPS qui établissaient une relation entre le taux de chômage et le taux d'inflation. Le chômage baisse lorsque l'inflation monte et vice versa. La courbe de Phillips est remise en cause depuis les années 70 au cours desquelles il a été observé qu'un niveau élevé d'inflation n'était pas incompatible avec une augmentation du taux de

clivage peut être effectuée sur la question du chômage. D’un point de vue micro, le niveau de l’emploi est déterminé sur le marché du travail par la rencontre entre la courbe d’offre des travailleurs et la courbe de demande des entreprises. Dans cette représentation, le marché du travail est décrit comme n’importe quel marché et les courbes d’offre et de demande sont déduites de l’analyse de l’équilibre de l’agent individuel. Il s’agit pour tout travailleur de maximiser son utilité (ou satisfaction) sous

de rétablir l'équilibre sur les marché B°) La courbe de Phillips et la tradition keynésienne Dans la théorie de Keynes à l'origine, l'inflation n'est pas vraiment un problème cruciale, en effet ce phénomène ne peut apparaitre que lorsque le pleine emplois est réalisé en effet avant ce niveau, les ajustements ne ce font pas par les prix mais par les quantités. Les choses vont changer à partir d'une étude empirique menée en 1958 par Phillips, cette étude rencontre d'une relation entre le taux

possible, ni souhaitable une ne baisse du salaire nominal w, la baisse du salaire réel w/p suite à une montée de l'inflation symbolisée par une hausse de p est pour lui possible. Cela conduira le courant de la synthèse néo-classique à utiliser la courbe de Phillips dans le cadre d'arbitrages entre inflation et chômage. 1.1.2 Les composantes de la demande effective En économie fermée la demande effective D est égale à la somme de la consommation (C) et de l'investissement (I). 1.1.2.1 Consommation et

penser, la stabilité des prix étant un préalable à une activité économique soutenue. Cependant, si on admet qu'il n'existe pas d'arbitrage à long terme entre stabilité des prix et activité économique car la monnaie est neutre à long terme (la « Courbe de Phillips » de long terme est verticale), l'unique objectif de long terme de la banque centrale doit être le maintien de la stabilité des prix. Dans cette hypothèse le niveau de croissance potentiel dépendant de facteurs multiples (productivité, stock

économique ( i.e néo-classique), et savent par exemple qu'un accroissement de la masse monétaire doit se traduire par une hausse équivalente du niveau général des prix. Enfin, les nouveaux classiques reconsidèrent l'arbitrage inflation/chômage (courbe de Phillips) en s'appuyant sur l'hypothèse d'anticipations rationnelles. R.Barro montre qu'une politique de déficit budgétaire financée par l'emprunt reste sans effet sur l'activité économique (Théorème d'équivalence ou de Barro-Ricardo), dans la mesure

possible, ni souhaitable une baisse du salaire nominal w, la baisse du salaire réel w/p suite à une montée de l'inflation symbolisée par une hausse de p est pour lui possible[N 1]. Cela conduira le courant de la synthèse néo-classique à utiliser la courbe de Phillips dans le cadre d'arbitrages entre inflation et chômage. Les composantes de la demande effective [modifier] En économie fermée[8] la demande effective D est égale à la somme de la consommation (C) et de l'investissement (I). Consommation

globale/quasi-demande globale La macroéconomie keynésienne est une macro à prix fixe. On a fait juste qu’à maintenant comme si les prix étaient fixes et du coup comme si l’offre globale infiniment élastique aux sollicitations de la demande globale. La courbe d’O est donc horizontale. Une augmentation de la demande globale par des politiques conjoncturelles monétaire ou budgétaire expansionniste se traduit par une augmentation du produit globale =>O dans la même proportion sans incidence sur les prix

à mesure que les points s'éloignent du centre. 5) Critique du carré magique A) La relation ambiguë entre ces quatre paramètres -La relation chômage inflation: a court terme et selon une approche Keynésienne, en 1958 est créé la courbe de Phillips mettant en évidence une relation négative entre le taux de chômage et l'inflation. L'augmentation des salaires nominaux (salaire horaire) est source d'inflation car elle accroît les coûts de production des entreprises et celles-ci sont contraintes

hausse du PIB nominal : a) b) c) d) e) fait augmenter la demande de monnaie mais laisse le taux d'intérêt inchangé fait diminuer la demande de monnaie car les prix sont plus élevés fait augmenter la quantité demandée de monnaie sans déplacement de la courbe fait augmenter la demande de monnaie et, conséquemment, le taux d'intérêt n'amène aucun changement 2.8 Parmi les énoncés suivants, lequel est un stabilisateur automatique? a) b) c) d) e) les dépenses gouvernementales pour l’éducation les dépenses