Courbe De Phillips

années I.3.b évolution du taux d’inflation dans les dix dernières années I.3.c Le type d’inflation du Sénégal II. INFLATION ET CHOMAGE II.1 La courbe de PHILLIPS II.1.a la courbe de Phillips initiale II.1.b La courbe de Phillips augmentée II.1.c Les critiques de la courbe de Phillips II.1.d Friedman et la courbe de Phillips II.1.e Courbe de Phillips et anticipations : Friedman et les nouveaux classiques II. 2Relation entre inflation et chômage au Sénégal II.2.1 Le chômage au Sénégal II.2

(déflation, qui n’est pas à confondre avec la désinflation qui correspond à un ralentissement de la hausse des prix et non pas à leur diminution), plus le chômage augmente. C’est ce que l’économiste néo-zélandais Alban William Phillips a mis en évidence, en 1958, dans une courbe à laquelle on a donné à tort son nom. Dans ce graphique, il a observé une relation empirique négative (relation décroissante) entre le taux de chômage et l’inflation. Ainsi, Philips observa une relation négative entre la hausse

qu'elle tend à faire baisser les taux d'intéret qui incite les investissement productifs car les perspectives s'améliorent. Partie 2 ) les théories monétaires à l'épreuve des faits A) La suprématie keynésienne sur la base de la courbe de phillips De la fin de la seconde guerre mondiale aux années 1970 le keynésianisme est triomphant, certes il y a une inflation rampante mais c'est le prix à payer de la croissance et de l'emploi. Donc la période des "trentes glorieuses" est

Evolutions structurelles Evolutions conjoncturelles Evolutions à CT Evolutions à LT Chapitre 1 : Le chômage Chapitre 2 : L’analyse des fluctuations à CT et le modèle ISLM Chapitre 3 : Le modèle AD AS Chapitre 4 : L’inflation Chapitre 5 : La courbe de Phillips Chapitre 6 : Les fluctuations à LT et l’analyse de la croissance La consommation dépend du revenu et du taux d’intérêt. Le revenu a un effet positif sur la consommation, contrairement au taux d’intérêt. Si le taux d’intérêt augmente, on

délais d’ajustement de la main-d’œuvre, chômage technologique dû aux innovations et au progrès technique, chômage technique, chômage saisonnier,… En 1958, l’économiste néo-zélandais A.W. PHILLIPS établissait une corrélation entre le taux d’accroissement du salaire nominal et le taux de chômage. La courbe de Phillips était née et montrait une relation inverse entre les deux variables, l’augmentation du chômage serait associée à une diminution du salaire nominal et inversement un accroissement du salaire

Origines, principes et hypothèses Le marché des biens et la courbe IS Le marché de la monnaie et la courbe LM L’équilibre du modèle Les politiques économiques Chapitre 2 : Extensions et controverses Controverses autours de la fonction de consommation : vérifications empiriques et nouvelles formulations (Duesenberry, Modigliani, Friedman) Monétarisme et théorie quantitative de la monnaie Troisième partie : La courbe de Phillips et l’arbitrage inflation/chômage Chapitre 1 : L’énoncé

à équilibres multiples et politiques hétérodoxes ; d. Le problème du taux de change. 2. Hypothèse de PPA (parité du pouvoir d’achat) ; 3. Modèle de BP (balance de paiement) ; 4. Théorie quantitative de la monnaie ; 5. La courbe de Phillips el l’intervention de M. Friedman. III. Critiques adressées au monétarisme ; Conclusion. * Introduction Courant de pensée théorique, le monétarisme accorde à la monnaie un rôle important dans les mouvements économiques. Tombé

commerciale excédentaire, une forte croissance, un chômage nul et zéro d’inflation. L’Etat est ainsi chargé par son intervention d’améliorer la conjoncture. Les travaux de Phillips qui analyse le rapport entre la variation des salaires nominaux et le chômage sont repris par d’autres économistes sous le nom de courbe de Phillips qui posera les bases de l’arbitrage entre chômage et inflation. L’inflation est la hausse généralisée des prix tandis que le chômage désigne l’état d’un individu privé involontairement

constituent une convergence entre le cadre IS-LM et l'approche DSGE basée principalement sur les anticipations rationnelles et les fondements microéconomiques. Le modèle de base incorpore trois blocs : le bloc de demande représenté par une courbe IS, une courbe de Phillips représentant le bloc d’offre et un bloc de la politique monétaire reproduit par une fonction de réaction de la banque centrale (ex : règle de Taylor). Or, le modèle que j’envisage construire est une représentation augmentée et plus élargie

puisque tous les facteurs de production sont utilisés, donc dès que la demande augmente cela provoque de l’inflation car l’offre est rigide. Les politiques qui privilégient une économie de plein emploi sont donc source d’inflation. L’économiste Alban Phillips a établie à partir de données de l’économie britannique entre 1867 et 1957 une relation décroissante entre le taux de croissance des salaires nominaux (Il sera démontré plus tard par les travaux de Samuelson et Solow que le taux de croissance des