Courbe des taux

Lorsque la pente de la tangente à la courbe d’ENGEL à des points considérés est positive et coupe l’axe représentant le revenu soit ici l’axe des ordonnées alors on dira que le bien est un bien supérieur. Lorsque la pente de la tangente à la courbe d’ENGEL à des points considérés est positive et coupe l’axe représentant la quantité de biens soit ici l’axe des abscisses alors on dira que le bien est un bien normal. Lorsque la pente de la tangente à la courbe d’ENGEL à des points considérés est

douanier afin de protéger son industrie naissante. Dans un tel cas, on peut considérer que la courbe de l'offre étran gère par rapport au pays choisi est élastique à l'infini. En d'autres termes, une politique commerciale ou d'autres types de stimulants à l'industrie naissante ne sauraient affecter le niveau des prix inte rnationaux. Regardons le graphique I et supposons qu'un pays produise au point Po de sa courbe de possibilités de production et commerce avec l'étranger de telle sorte que son niveau

3 Les courbes d’indifférence ................................................................................................................................7 3.4 Exemples de préférences ..................................................................................................................................7 3.5 Les préférences normales .................................................................................................................................8 3.6 Le taux marginal

pour en déduire les facteurs d’augmentation des coûts. Comment la courbe de Phillips permet de comprendre l’augmentation des coûts ? Nous répondrons à cette question en voyant tout d’abord ce qu’est la courbe de Phillips, puis comme elle met en relation les salaires nominaux, le chômage et l’inflation, et finalement comment la hausse des salaires due aux demandes des syndicats influence le cours de cette courbe. La courbe de Phillips, mise au point par l’économiste néo-zélandais Alban William

Exercice : Chômage et inflation 2.1 Courbe de Phillips 1. Si les prix augmentent, (Wt/Pt) diminue, et donc le profit augmente également. 2. L’inflation correspond à la perte du pouvoir d’achat de la monnaie, et donc une augmentation générale et durable des prix. Pourquoi des gens plus nombreux feraient des profits ? Peut être parce que les personnes qui avaient tendance à épargner, n’épargne plus et diversifient leur achats. Les profits sont sur du court terme plus importants car les prix augmentent

Panier de marché A B D E G H Aliments (unités) 20 10 40 30 10 10 Vêtements (unités) 30 50 20 40 20 40 Microéconomie (L2) Chap 2 8 / 97 2. Les préférences du consommateur 2.1 Les hypothèses sur les préférences 2.2 Courbe d’indifférence 2.3 Taux marginal de substitution 2.4 Utilité Microéconomie (L2) Chap 2 9 / 97 2.1 Les hypothèses sur les préférences Complétude : Les consommateurs peuvent comparer et classer tous les paniers possibles. Transitivité : Si un consommateur

vie » est importante. 4) La recherche du plein emploi ou la lutte contre le chômage : le plein emploi ne signifie pas le taux de chômage est égal à 0. Plein emploi : situation où les individus qui cherchent le travail, et ils sont prêts à accepter les salaires du marché. Chômage volontaire : les gens qui ne veulent pas accepter les salaires du marché. Pour la France, quand le taux de chômage est égal à 6%, les tensions apparaissent sur le marché du travail (France < 10%). Il est très difficile de pouvoir

d’exécuter un nombre défini d’heure de travail. Le comportement des travailleurs est agrégé par la courbe d’offre de L croissantes avec les salaires. Demande de travail : La firme demande du travail, elle a pour objectif de maximiser son profit. Pour cela elle décide du type d’employés dont elle a besoin, du nombre et des horaires. Le comportement de la firme est résumé par la courbe de demande de travail, décroissante avec les salaires. Equilibre : Il y a conflit d’intérêt entre

 z2) alors (x1, x2)  >~ (z1, z2) 2 Synthèse Micro­économie  Thomas Deneux Les courbes d'indifférence : x2 Grâce aux courbes d'indifférence, on  peut dire que : ­ X > Y ­ a < b Biens  + désirables a X x2 3 b 2 Y biens  – désirables 1 x1 x1 Les courbes ont cette forme là car  moins on a de bien 1, plus il devient  rare.  Il vaut donc plus que le bien, il  représente plus par rapport au bien 2. /!\ les courbes d'indifférences ne  peuvent pas se croiser. Exemples de préférences : Les substituts parfaits : 

 z2) alors (x1, x2)  >~ (z1, z2) 2 Synthèse Micro­économie  Thomas Deneux Les courbes d'indifférence : x2 Grâce aux courbes d'indifférence, on  peut dire que : ­ X > Y ­ a < b Biens  + désirables a X x2 3 b 2 Y biens  – désirables 1 x1 x1 Les courbes ont cette forme là car  moins on a de bien 1, plus il devient  rare.  Il vaut donc plus que le bien, il  représente plus par rapport au bien 2. /!\ les courbes d'indifférences ne  peuvent pas se croiser. Exemples de préférences : Les substituts parfaits :